Loakum @Driftwood Awesome! I’m loving it! It does show a much crisper picture and the frame rate looks good! I was playing Stella Blade and Dragonball Soarkling Blast! :) (6 Days ago)
Driftwood @Loakum: enjoy, the one Sony sent us will be there on launch day. Coverage will follow asap. (1 Week ago)
Loakum *takes a large sip of victorious grape juice* ok….my PS5 pro arrived early! So much winning! :) (1 Week ago)
Driftwood @reneyvane: non ils l'ont publié le 1er octobre et je crois que tu l'avais déjà linkée. ;) (4 Weeks ago)
CraCra Y a un souci sur les forums ? (7 Weeks ago)
nostradamus very few with religious beliefs are naive or zealots, but for sure don't find amusing their beliefs being thrown in for clout. maybe STFU with that discourse? (10 Weeks ago)
Driftwood Download is now functional again on Gamersyde. Sorry for the past 53 days or so when it wasn't. (> 3 Months ago)
Driftwood Another (French) livestream today at 2:30 CEST but you're welcome to drop by and speak English. I will gladly answer in English when I get a chance to catch a breath. :) (> 3 Months ago)
Driftwood GSY is getting some nice content at 3 pm CEST with our July podcast and some videos of the Deus Ex Mankind Divided preview build. :) (> 3 Months ago)
Driftwood For once we'll be live at 4:30 pm CEST. Blim should not even be tired! (> 3 Months ago)
Driftwood More Quantum Break coverage coming in a few hours, 9:00 a.m CEST. (> 3 Months ago)
Driftwood We'll have a full review up for Firewatch at 7 pm CET. Videos will only be tomorrow though. (> 3 Months ago)
Driftwood Tonight's livestream will be at 9:15 GMT+1, not GMT+2 as first stated. (> 3 Months ago)
En fantasy, je vous conseille Glen Cook : La Compagnie Noire et ses suites Trop d'la balle. Best bouquins de Fantasy Ever! ;)
Sinon, les grands classiques,
Weis et Hickman : Les Portes de la Mort,
Moorcock : Elric,
Terry Pratchet : De Bons Presages,
Raymond-E Feist : Les Chroniques de Krondor,
Roger Zelazny : Le Cycle des Princes d'Ambre (pourquoi il est mort avant de finir!?!? :ouin: )
Richard Matheson : Je suis une Légende
fanboy pro-ps2, anti-xbox
Press ALT-F4 to speed up your PC
BlimBlim, Tyran.
youpiiiii !!!
Hypérion et ses suites
C'est tout :D
Press ALT-F4 to speed up your PC
youpiiiii !!!
Le tome 10 du Trone de Fer est sorti
Voilà, voilà, je quitte la civilisation pendant 2/3 jours...
Inppaussible n'est pas Français.
Connu pour sa trilogie du mal ("L'âme du mal", "In tenebris" et "Maléfices" dispos en poche) il a aussi sorti "Le sang du temps" et tout récemment "Les Arcanes du chaos" que je suis en train de dévorer (et pour l'instant c'est du tout bon comme d'hab, mais difficile à dire si il verse dans le fantastique comme son 1er roman dont je vais parler après, ou si l'ambiance se rapproche de sa trilogie où on avait l'impression d'être dans une histoire surnaturelle et ou tout finissait par s'expliquer rationnellement).
Sinon son 1er livre écrit sous un autre nom (Maxime Williams) "Le 5e règne" sorte de mélange entre Tom sawyer et les Goonies à la sauce Stephen King ^^, donc plus fantastique que ses derniers romans et qui avait remporté le prix du roman fantastique du festival de Gérardmer.
Moi c'est mon gros coup de coeur car c'est un plaisir à lire et on accroche jusqu'au bout! ^^
Every cloud has a silver lining...
The Dreadful Unit Xboxyde
Ben quoi ?!
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le site de la xbox : http://jeuxtests.free.fr
Le seul roman que j'ai lu de mon plein gré (car j'en ai lu au college/lycée mais sous l'obligation) c'est celui de Ken Folett : La Marque de Windfeild : ctait énorme !!!
Mais maintenant je m'ennuie au bout de 30 pages, j'arrive pas à me plonger dans un livre, je prefere le cinéma !!
http://www.extravadaz.info
cinéma, foot, photos, musique
Tout mon univers dans un site web :)
Comme son nom l'indique, c'est un dictionnaire. Si vous êtes studieux, il devrait vous permettre de survivre jusqu'à 2012.
Quelques définitions ( en exclu ) pour vous donner envie de le lire :
Langue n.f. Instrument de travail de celui ou de celle qui veut faire plaisir à un supérieur et grimper dans la hiérarchie de l'entreprise.
Syndicaliste n. Agent soviétique chargé de saboter les entreprises françaises, qui a été abandonné en territoire ennemi au moment de la chute du mur de Berlin et qui ignore que le capitalisme a gagné la guerre.
Tauromachie n.f. Art de gagner beaucoup d'argent en découpant de la viande de taureau sans même avoir le diplôme de boucher.
Matérialisme n.m. Mouvement philosophique de celui qui préfére la chaîne hi-fi dernier modèle la plus chère à la musique qu'elle permet d'écouter.
Sondage n.m. Moyen par lequel on fait croire au plus grand nombre qu'il pense comme le plus grand nombre.
Prophète n.m. Entrepreneur qui se lance dans le business de la foi.
D'autres extraits ici http://stripsjournal.canalblog.com/archives/2005/0...
Bavure : Marion Cotillard tente de réparer sa gaffe. "C'est pas
les américains qui ont détruit les tours jumelles, c'est King Kong."
mocassin nsx 2005 next gen , sponso par scholl new generation of walking beauf
C'est un texte que j'ai écrit cette nuit, ça ne casse pas trois pattes à un canard même si c'est censé être plutôt comique mais, allez soyons fous, j'ai envie de me prendre des sales critiques dans la poire ! :p
Alors, évidemment... je rassure ! C'est de l'humour, même s'il n'est pas toujours de très bon goût, c'est de l'humour ! Rassurez-vous, je ne suis pas aussi malade qu'il n'y parait ! ^^
Trêve de plaisanteries, voici la bête !
La vie à l’état de nature avait forgé Robinson plus qu’il n’aurait pu l’imaginer. Chacun de ses sens s’était vu décupler au fil des années. Le confort, l’indolence et la société de manière générale graisse nos mécanismes, au sens propre comme au sens figuré. Leurs effets avaient cependant épargnés Robinson qui, du haut de ses 37 ans, pouvait se targuer de tenir une forme olympique ! Robinson n’avait jamais porté d’intérêt à l’art de la guerre, la seule poudre qu’il préconisait était la poudre d’escampette. Les armes l’intimidaient, c’était ainsi. La présence d’une hache et d’une tripotée de lances dans son équipement ne se légitimaient que par la sainte nécessité d’en être pourvu « au cas où ». Sperenza n’était pas une île agitée. Quelques pluies tropicales, aussi brèves que soudaines, venaient parfois baigner la tranquille léthargie dans laquelle était plongée l’île toute entière.
Vendredi, le fidèle ami de Robinson, avait passé la matinée à consolider le parc dans lequel paissaient leurs chèvres. Ecrasé par la chaleur ambiante, il prit place sur sa couche en feuilles de bananiers et s’endormit. Robinson profita de la sieste de son compagnon pour s’adonner aux petits jeux dont il raffolait tant. Les caresses insistantes pratiquées sur Vendredi finirent par l’extirper de sa torpeur !
« Quhêsse tuh mfhè enkor shâle pèhrvayre ? Tuh voiha phâ quhe jeuh pionssay sanh fayr schié payrssone ? »
Pour des raisons évidentes de compréhension et car vous n’avez pas pris « Indigène » dans vos choix de langues étrangères, bande de moules ! Je vous livrerai chaque fois qu’il le sera nécessaire une rapide traduction des dires de Vendredi.
« Tiens, mon bon maître ! Quel plaisir délicieux de s’éveiller à vos côtés ! »
« Hum, tiens. Je t’ai réveillé. Pardonne moi Vendredi, je ne pensais pas à mal, tu te doutes bien ! »
Robinson réajustait son pagne gondolé et se préparait à s’éloigner à grandes enjambées en direction de l’épaisse forêt qui bordait leur campement quand un soudain vacarme provenant de la plage le stoppa net dans son élan. Des tam-tam, il s’agissait de tam-tam !
« Ouhou, phûtein ! Schui dhân là mayrdeu ! Yl vônh meûh paytay leuh kûl, say sur ! »
« Diantre ! Les sauvages de mon village, ils reviennent pour me chercher et se livrer sur moi à d’effroyables rituels dans l’unique but de se venger de ma désertion ! »
Car, vous n’êtes pas sans l’ignorer, Vendredi avait été condamné à mort et était parvenu à s’enfuir au prix d’une haletante course poursuite dans les broussailles de Sperenza.
Mais revenons à nos brebis.
Le braquemard turgescent de Robinson arquait toujours son pagne quand une décision héroïque s’échappa de ses lèvres fiévreuses !
« Nous ne nous laisserons point vaincre et s’il le faut, nous verserons le sang ! Plutôt mourir que de m’avouer vaincu Vendredi, tu entends ? »
Et gorgé d’orgueil, il entraina Vendredi en direction de la petite grotte dans laquelle la totalité de leurs armes était entreposée. C’est armés jusqu’aux dents qu’ils apparurent, quelques minutes plus tard.
« Nous devons nous séparer, cela leur rendra la tâche plus compliquée mon grand ! Promet moi de te battre pour moi comme je te promet de me battre pour moi, Ô Vendredi ! »
Il toussota.
« Etant donné que nous ne connaissons point l’issue de ces combats, me serait-il possible d’apprécier une petite fois supplémentaire la douceur de ton sexe Vendredi ? Peut-être pour la dernière fois ? »
La voix de Robinson était piquée par l’émotion.
« Rhâ ! Spah possybleuh sa dhétr tombay sure se sâl payrvayr dheu may kouyilles ! »
Qu’il faut bien entendu comprendre :
« Allons, j’ai plaisir à vous accorder cette petite faveur maître. Mais faites vite, le temps presse ! »
Je vous jure, heureusement que j’assure la traduction derrière, bande d’ignares !
Une flèche perça la végétation et vint effleurer le bras droit de Robinson avant de se planter dans le tronc d’un arbre. Vendredi, vif comme un éclair projeta la hache qu’il tenait dans sa main la seconde précédente en direction de l’agresseur.
:bruitage:
L’homme fût tour à tour stupéfait par la rapidité d’exécution dont venait de faire preuve Vendredi puis par la hache plantée dans son poitrail. En moins de temps qu’il n’en faut à un borgne pour faire un clin d’œil, il était mort.
Robinson remercia rapidement Vendredi avant de disparaître au sein de l’épaisse forêt. Il courait comme un dératé quand il se prit les pieds dans une racine d’arbre qui avait l’outrecuidance d’être carrée.
« Shit ! Da motha fucka ! » s’écria l’homme distingué dans sa langue maternelle.
Il venait de s’échoir à pleine vitesse sur un sauvage qui lui arrivait en face. Aussi sonné que six saucissons, Robinson ne s’en rendit pas compte immédiatement !
Pendant ce temps, Vendredi éliminait un à un les sauvages qui avaient le malheur de croiser sa route. Il plantait sa hache sans vergogne dans la bidasse de ses assaillants. A chacun de ses coups, des gerbes de tripaille volaient en tout sens sans que cela ne lui tire une larme, il était déterminé. Les os éclataient sous la puissance de ses frappes. Rhan, rhan, il cognait dur le sauvage ! A lui seul, il tua 13 hommes, en blessa grièvement 5, fit un croque en jambes à 3 d’entre eux, tira l’oreille à 2 congénères et en vainquit 4 à « Pierre – Feuille – Ciseaux ». La machine à tuer était en marche…
Robinson de son côté s’était remis de ses émotions et avait profité du coup de pouce de la sainte providence pour se décider à écraser une pierre d’une taille très convenable sur la tête du malheureux qui gisait à ses pieds. Bien entendu, la pierre manqua sa cible et tomba lourdement sur les orteils de notre héros.
« Oh, bordel de merde ! Oh, putain de sa mère ! J’ai mal, j’ai mal ! »
Vendredi était en nage et en âge de se battre, c’est un fait établi. Lancé comme une fusée, il fit interruption sur la plage, sa hache ensanglantée cramponnée à la main droite.
Ils étaient 7 ou 8 guerriers, en comptant leur chef, à le toiser, tous impassibles. Il s’apprêtait à s’élancer en leur direction, ses muscles bandés comme un arc quand quelque chose attira son regard. Il s’agissait de Robinson qui se tordait de douleur à leurs pieds.
Contraint et forcé, il rendit les armes.
Un campement fut rapidement organisé. Les guerriers s’affairaient à la bordure de la jungle et en revenaient les bras chargés de branches de cocotiers. Ils les disposèrent sur une armature en bois, de manière à former une petite cahute de fortune. Vendredi avait été soigneusement attaché, pieds et poings liés et ruminait de vilaines pensées pour chasser de son esprit la peur grandissante que lui inspirait la présente situation.
Le chef de village, dans un large pagne rouge vif, s’approcha d’un Robinson hagard dont le pied avait triplé de volume. Il donna l’ordre à ses sujets de porter l’homme à l’intérieur de la cabane improvisée et de les laisser seul à seul. C’est en tout cas ce que comprit Vendredi, qui malgré la familiarité du langage utilisé bouffait du sable par tous les orifices. Quand il vit disparaître son ami fidèle, il en oublia toutes les petites misères qu’il avait du supporter jusqu’alors. Il lui fut impossible de maîtriser les deux sillons de larme qui avaient vu naissance sur ces joues. Qu’allaient-ils faire de son maître ?
Les minutes qui s’écoulèrent semblèrent longues à ce pauvre Vendredi. Mais, au bout d’un moment, parurent le chef des guerriers et Robinson, qui se tenaient par la main. « J’ai perdu l’esprit » pensa Vendredi. Il n’en était pas possible autrement ! Le chef ordonna que le sauvage soit détaché. Après avoir conversé plusieurs minutes avec Robinson, ils levèrent le camp et grimpèrent dans leurs pirogues.
Sur la plage, Robinson élançait ses bras en leur direction et criait aussi fort que sa voix le supportait.
« Au revoir mes amis, au revoir ! Plein de bisous pour vous mes loulous ! J’espère vous revoir tous très bientôt ! Rentrez bien, au revoir ! »
Vendredi, aussi interdit qu’un sens du même nom réclama à Robinson des explications. Comment était-il possible que ces sauvages aient concédé à leur libération si facilement ? Qu’avais-donc fait Robinson pour que leur sort trouve cette si soudaine issue ?
Robinson jeta un regard espiègle à Vendredi, s’essuya la bouche d’un revers de manche et répondit, tout sourire :
« Oh, la moindre des courtoisies entre voisins ! »
By San-A ;)
www.sanantonio03.wordpress.com
GT : sanantonio03
Don't put the power on until you know you never have to take it off.
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"Zoey ?"
Ca s'appelle iDead :
J’ai échoué les 75 kilogrammes de ma fragile anatomie en travers de mon pieu, activant mes pouces sur le portage iphonisé de « The Secret of the Monkey Island ». A travers la fenêtre, une pluie aussi drue que la barbe d’un tolard s’abat sur Bordeaux, le temps de merde par excellence quoi.
Les facéties de Guybrush Threepwood me tirent quelques sourires, ce qui est une manière convenable d’amortir son investissement, n’est-ce pas ? Quand j’ai le privilège d’être peinard et abrité, l’écoute de la pluie me détend. Pour d’autres, rien ne vaut un bon coup de poignet sur leur bigorneau malodorant, moi c’est l’écoute de la pluie, c’est comme ça.
Soudain, sans que mon cervelet à double disques durs n’ait le temps de comprendre la situation, une femme jaillit par ma fenêtre. A pleine vitesse, braoum. Le verre vole en éclat, ça fait un boucan de tous les diables. Je reçois des éclats. My God? Je suis tétanisé, abasourdi… un brin surpris quoi, en toute logique. Elle ne me laisse pas le temps de piger quoi que ce soit, en moins de temps qu’il n’en faut à un unijambiste pour plier ses chaussettes, elle est sur moi, la gueule en avant. Je dis « gueule », car c’est d’une gueule dont il s’agit. Exit la mignonne bouche que ton esprit de pervers avait déjà commencé à dessiner, exit la pulpeuse buccosité* (Non, buccosité, ça n’existe pas mais ne nous arrêtons pas à ce genre de considérations bassement littéraires. Vous êtes en train de lire gratos, aux frais de la princesse sur vos moniteurs de PC. Je ne vais pas vous servir de l’alexandrin sur son lit de cresson, non ?)
Non, si cette donzelle a débarqué chez moi, ce n’est assurément pas pour me congratuler l’égo à coups de bisous sucrés. Non, ce piège à loups, cette effroyable mâchoire d’acier en veut à ma gorge… à ma jugulaire plus précisément… Elle me toise, de l’écume sur le bord des lèvres… Elle me toise et bondit… D’un coup, zou… comme un seul muscle qui se crisperait… Rapide comme un éclair au chocolat, j’ai effectué une roulade sur le côté, cramponné à mon iPhone. Oh, shit ! Elle est déjà sur le lit, ses innombrables ratiches en avant… Elle me loupe la conne… mais de peu… Je te jure, je portais un sari qu’elle me le mettait en pièce la vilaine. Allez, on se reprend ! Je me relève …c’est que la situation commence à méchamment urger ! Vraaan ! La revoilà qui me charge… comme une mule… En un instant, je suis au sol… Elle s’écrase contre le mur, j’en profite… un saut de biche plus tard, je suis dos à la fenêtre explosée… au milieu de l’encadrement éclaté et des débris de verre… Le choc n’a pas semblé la faire broncher… Elle ne vacille pas… et me fixe, avec l’intensité d’une ligne à haute tension… Je prends le temps de la dévisager… C’est avant tout, et je te l’ai déjà dit, une gueule ! Une gueule ensanglantée… une gueule et un de ces regards. Rha, je ne te raconte pas cette paire d’yeux, effroyable ! C’est le mot qui convient… Effroyable… M’est avis que je ne m’amuserai pas à jouer à « je te tiens, tu me tiens par la barbichette » avec cette drôlesse… Elle s’avance maintenant vers moi… à pas lents… Un détail attire mon attention… Je m’aperçois que ses bras sont crispés le long de son corps et ses poignets vrillés… Étrange ! C’est à ce moment-là que je me décider à lancer mentalement la totalité de mes programmes de survie et d’autoconservation en tâches de fond… C’est qu’elle en veut à ma peau l’autre dégénérée… Il me vient alors une idée… Une idée totalement stupide, j’en conviens volontiers… Mais il est trop tard pour en débusquer une autre… La putréfaction ambulante n’est maintenant plus qu’à quelques mètres… Avec la promptitude d’exécution d’un guitariste de chez Dragon Force, je tapote l’écran tactile de mon iPhone. Zou, je double tapote… Pendant ce temps, elle s’avance… Un morceau de verre s’enfonce dans son pied gauche car, fait étrange (again), elle n’a pas de grolles… Elle ne bronche pas et continue inlassablement de se rapprocher, produisant des bruits de gorge à la limite du supportable… Un écran de chargement plus tard, je suis paré. Je prends alors mon regard le plus mauvais et je pointe l’iPhone en sa direction… au culot… sans vraiment y croire !
Elle marque un temps d’arrêt et s’arrête même de brailler ! C’est du tout bon ça ! Allez, courage mon grand… tu vas t’en tirer ! Reste plus qu’à la jouer fine maintenant…
Je prends mon intonation de voix la plus « Conservatoire de Bordeaux pendant deux ans, poussez-vous s’il vous plait » et enchaîne :
A la manière dont son sourcil gauche se relève, je pige qu’elle ne comprend pas ce que je lui demande… et pire, là voilà qui se remet à hurler comme une perdue… Mais c’est qu’elle ne veut pas fermer sa gueule la bestiole !
Ce qui suit va très vite… Je décale subtilement ma ligne de mire pour ne plus tenir en joue la monstruosité qui squatte ma chambre… et soudain, sans prévenir, je presse l’écran de l’iPhone à deux reprises…
En lieu et place de la double détonation que j’attendais, un bruit de pet énorme s’échappe des enceintes de mon simili-pistolet… Malheur, ce n’est pas la bonne application…
Sans avoir eu le temps de dire ouf, ni atchoum, la créature est sur moi… Je lâche l’iPhone à mes pieds… C’en est donc fini de moi…
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Don't put the power on until you know you never have to take it off.
Il y a quelques mois j'ai eu un Shakespeare entre les mains, je l'ai dévoré...et finalement j'ai lu toute les œuvres connus de cet auteur. Ma mie, qui s'y connait en livre, m'a alors conseillé de continuer dans le théâtre. J'ai débuté un Molière.....miam, j'ai dévoré presque l'œuvre complète.
Surprise, ma chérie me dirige alors vers Corneille...miam.
Et puis là je débute Bérénice de Racine....re-miam.
Bref, c'est pour répondre à Daz plus haut, au collège on est peut-être pas prêt à absorber les classiques, mais au final, qu'est-ce que c'est bon.
Voilà, c'était "Musi se la pète" :)
Ce sont les utopistes qui gagnent!
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[3615MyLife]
Il y a un an, ma cousine qui allait se marier m'a demandé d'écrire une poésie sur sa future union. J'ai accepté sans réfléchir, me disant que j'arriverais bien à pondre quelque chose le moment venu... Et puis, panne d'inspiration (faut dire qu'un sujet comme le mariage, à part balancer 2-3 mièvreries à l'eau de rose, c'est pas bandant !), je me suis torturé l'esprit pendant plusieurs nuits (je n'écris que la nuit :vampire:) avec sa pression quasi journalière ("le livre d'or est commandé, il nous faut ton texte maintenant, dépêche toi !") et j'ai finalement accouché d'un texte dont je ne suis pas trop fier mais qui a au moins le mérite de leur avoir plu (ouf, l'honneur était sauf !).
[/3615MyLife]
Parti comme ça, on pourrait penser que je vais t'envoyer bouler ma petite balite, mais que nenni, je suis joueur ! Évidemment, je ne promets rien de merveilleux mais ça me plait bien de m'y risquer ! ;)
Mes amis, à vos lance-requêtes !
:regrettedéjà:
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