Loakum @Driftwood Awesome! I’m loving it! It does show a much crisper picture and the frame rate looks good! I was playing Stella Blade and Dragonball Soarkling Blast! :) (2 Weeks ago)
Driftwood @Loakum: enjoy, the one Sony sent us will be there on launch day. Coverage will follow asap. (2 Weeks ago)
Loakum *takes a large sip of victorious grape juice* ok….my PS5 pro arrived early! So much winning! :) (2 Weeks ago)
Driftwood @reneyvane: non ils l'ont publié le 1er octobre et je crois que tu l'avais déjà linkée. ;) (5 Weeks ago)
CraCra Y a un souci sur les forums ? (8 Weeks ago)
nostradamus very few with religious beliefs are naive or zealots, but for sure don't find amusing their beliefs being thrown in for clout. maybe STFU with that discourse? (11 Weeks ago)
Driftwood Download is now functional again on Gamersyde. Sorry for the past 53 days or so when it wasn't. (> 3 Months ago)
Driftwood Another (French) livestream today at 2:30 CEST but you're welcome to drop by and speak English. I will gladly answer in English when I get a chance to catch a breath. :) (> 3 Months ago)
Driftwood GSY is getting some nice content at 3 pm CEST with our July podcast and some videos of the Deus Ex Mankind Divided preview build. :) (> 3 Months ago)
Driftwood For once we'll be live at 4:30 pm CEST. Blim should not even be tired! (> 3 Months ago)
Driftwood More Quantum Break coverage coming in a few hours, 9:00 a.m CEST. (> 3 Months ago)
Driftwood We'll have a full review up for Firewatch at 7 pm CET. Videos will only be tomorrow though. (> 3 Months ago)
Driftwood Tonight's livestream will be at 9:15 GMT+1, not GMT+2 as first stated. (> 3 Months ago)
J'ai loupé une info qui ne doit pas être arrivé dans ma grotte, depuis que Activision balancent des pack pour leur CoD j’ai jamais craqué.
Je vois pas en quoi j’ai loupé quoi que ce soit pour profiter du jeu.
Celui qui veut se payer un skin ou une arme bling bling c’est son droit, chacun utilise son argent comme il veut...
Jamais eu l’impression d’être lésé et de pas pleinement profiter en n’achetant pas de pack...
Il y à quelques gens de bon sens, qui se disent peut être que c'est pas le meilleur jeu pour y jouer quand solo mais dans les faits comme tu le dis "Moi, je ...", "Les gens font ce qu'ils veulent", "Pour ma pomme, je ne me sens pas concernée".
Microsoft ne sont pas des bleus en marketing, ils veulent augmenter fortement le nombre d'abonnés au GamePass, COD semble donc utilisé pour ça, quand ils font coincider l'augmentation tarifaire avec des nouvelles formules d'abonnement ou on te met le prix du Gamepass-Ultimate à un prix qui t'incite à le prendre, qu'on te dit en plus que sur le GP, tu pourras jouer à l'accès-anticipé dés le 30 Aout 2024.
Dans les faits, ils te vont avaler d'une part, une hausse de tarif, d'autre part de souscrire à une offre au-dessus, qui va pousser en plus certains à utiliser le Gamepass aussi sur une seconde machine, peu importe que la personne collectionne sur pc, les jeux triple A à coup de super promotion.
On peut mettre les mains devant les yeux et demander ou est le problème ? Dans les faits, ceux qui voulaient continuer avec l'ancien tarif, limiter le Gamepass à sa Xbox n'ont pas le choix évident de refuser, quand on te dit que maintenant tu vas payer plus chère mais que pour 1euros de plus, on te file le truc du dessus, même si tu pourrais bien tant passer ?
Tout le monde sait, que l'arnaque du "Pour un euro de plus, tu as tel option de plus dans la voiture", en réalité que tu prennes ou pas l'option, tu la payes, on fait juste semblant qu'on te l'offre pour une misère. C'est pareil pour la nouvelle formule, quant le prix du Gamepass-Ultimate est proposé de façon à ce que tu te dises que tu es à pas grand chose pour l'avoir, même si tu n'avais pas imaginé passer au Gamepass sur pc, tu le prends.
Le débat philosophique de l'oeuf et la poule, est-ce que j'ai pris le Gamepass-Ultimate parce qu'au fond, j'aurais finis par le prendre ou parce qu'un commerciale Américain à bidouillé sur Excel, les bons tarifs pour te pousser à payer plus pour cette abonnement ?
Après, bah évidemment qu'ils essaient de t'attirer vers la formule du GP la plus chère, mais tu dois quand même avoir un peu de libre-arbitre à ton âge, non? Je me suis désabonné de Netflix il y a deux ans car le rapport qualité/prix ne me semblait plus satisfaisant (je m'abonne un mois par année au maximum). Celui du GPU me semble inattaquable, malgré la hausse tarifaire... surtout quand on voit tout ce qui arrive.
Après, bah évidemment qu'ils essaient de t'attirer vers la formule du GP la plus chère, mais tu dois quand même avoir un peu de libre-arbitre à ton âge, non? Je me suis désabonné de Netflix il y a deux ans car le rapport qualité/prix ne me semblait plus satisfaisant (je m'abonne un mois par année au maximum). Celui du GPU me semble inattaquable, malgré la hausse tarifaire... surtout quand on voit tout ce qui arrive.
Même ceux qui n'aiment pas Microsoft ne les prennent pas autant pour des gogos que certains de leurs membres.
En un sens, j'envie des joueurs/consommateur bien plus jeune que moi et qui sont nées à une époque ou c'est naturel de tout possédé via des abonnements, comme beaucoup, je suis né à une époque ou on s'informaient sur des magazines et ou on achetaient beaucoup de jeux/Films en physique et par correspondance, ça à insinué à toutes une génération, l'attachement à avoir le contenu à la maison. Donc l'idée de totalement se tourner vers des offres comme le Gamepass, l'idée n'a pas encore fait son chemin ?
Il y à ce paradoxe d'être conscient de passer tout les jours à côté d'étagères et armoires blindés de coffrets de films, séries et mangas, de jeux datant parfois de plus de vingts ans et que l'essentiel n'a jamais été utilisé depuis cinq, dix ans mais de rester dans ce dogme d'acheter des jeux physique et pester contre les formules type Gamepass, alors que dans les faits, quand j'ai plié un jeu, je n'y reviens vraiment pas souvent ?
L'écart entre l'achat de jeux physiques à l'unité et l'usage via abonnement ne se limite pas à des considérations techniques ou économique. Il y a d'autres choses derrière, et ce n'est pas juste un réflexe de vieux con. Juste du comportementalisme.
La valeur et l'attachement que l'on accorde à quelque chose sont proportionnels à l'effort requit pour l'obtenir mais aussi à la place physique dans ton environnements.
Le jeu pour lequel tu bosses, que tu te déplaces pour acheter, qui va rester chez toi, visible dans ta collection ou ton regard se balade régulièrement, déclenchant de petits flashbacks, des échanges avec les amateurs de jeux qui passent chez toi, il n'a absolument pas la même "valeur" que le truc téléchargé rapido pour "rien" parce qu'inclus dans un abonnement, puis dégagé aussi sec une fois fini pour faire de la place pour le suivant, et qui ne réapparait plus dans ton environnement immédiat. Loin des yeux... Même si le jeu est bon, il a un coté "jetable" et la pléthore des offres par abonnement renforce ce sentiment, parce qu'en diluant le principe de rareté, tu abîmes forcément celui de préciosité, de la valeur.
Et par extension, c'est pareil pour la machine sur laquelle tu joues, parce qu'elle est associée à ces jeux. Ma 360 est une machine pour laquelle j'avais une vrai affection, entretenue par les jeux nombreux jeux que je possède, alors que ma One ou ma Series X pour lesquelles je n'ai acheté aucun jeu, ne sont que des terminaux.
Ce sont sur ces concepts plus abstraits que les considérations purement technique (la Sx est une excellente console) ou économique (le GP est une offre très intéressante) que tu construits une forme de fidélité à long terme.
Et pour être cynique, je dirais que ça aussi, cela se manipule, mais je ne suis pas sûr que MS, entreprise logiciel par essence, l'appréhende aussi clairement que Sony ou Nintendo, entreprises hardware par essence. Si demain, MS abandonne complètement la Xbox pour devenir le GP, je doute que la transition soit fluide.
En quoi une oeuvre peu être plus touchante/marquante par rapport à la manière dont tu l'a eu?
Un film,une musique,une peinture,un jeu peu importe la manière dont je me la procure elle aura le même impact.
Ce qui importe réellement c'est "l'âme" la qualité de l'œuvre qui prime.
Je vais te donner une exemple concret j'en suis pas fière mais à l'époque de la première xbox ma machine était piratée j'avais carrément un disque dur dessus avec tout ce qui sortait,pas un seul ne finissait pas sur le disque dur et pourtant les seuls jeux qui m'ont vraiment marquer c'est ceux qui ont été marquant pour la plupart des gens.
Tu auras beau aller chercher en voiture, le dernier Zelda de la Switch mais si au final, pendant le temps d'installation, tu vois que EGS donne un épisode de Bioshock/TombRaider que tu voulais essayé et que tu as une énorme mise à jour pour ton jeu de survie, la quantité de jeu qui t'intéresse fait que jeu en physique ou pas, payé ou pas, on finit par ne plus autant faire la différence.
Mon attachement pour ma GOTY de Bloodborne ou de certaines séries TV que j'ai en VHS, elle tient entièrement, que ça n'existe sur aucune autre plateforme, si demain, Bloodborne est sur Steam et mes séries en cassette en BlueRay, ça passe d'une vitrine à un vieux carton, pleins de paires de veilles chaussettes !
L'attachement à l'objet physique (une simple boîte en plastique, en gros) plutôt qu'à l'œuvre en elle-même me dépasse un peu. Pour ma part, je rejoins Face2 dans l'idée que c'est l'expérience de jeu qui compte et forge les souvenirs, indépendamment du support matériel. L'essence d'un jeu réside dans l'immersion et les émotions qu'il procure, et ces aspects ne sont en aucun cas modifiés par la nature numérique ou physique du support. Quant à l'effort requis pour obtenir ledit objet, est-il vraiment si différent pour une réception dans ta boîte aux lettres que pour un téléchargement direct sur ta console? Bref, je ne te suis pas du tout.
D'ailleurs, qu'en est-il des films et de la musique? Dans ces deux domaines, mes souvenirs les plus marquants sont souvent liés à des concerts ou des séances cinéma, expériences immatérielles par définition. L'impact émotionnel et l'intensité de ces moments s'expliquent de plusieurs façons différentes (partage collectif, forte immersion, performance en direct, etc.), mais n'ont rien à voir avec la possession d'un CD ou un DVD. Pourquoi en irait-il autrement du JV?
A titre personnel, j'irais même jusqu'à dire que le Game Pass a clairement ravivé mon intérêt déclinant pour le jeu vidéo, en me sortant de mes schémas habituels et en me redonnant le plaisir de la découverte et de la nouveauté par son côté "coffre à jouets" très plaisant. Mais j'arrive à rester très sélectif et à ne pas m'empiffrer, comme certains le feraient devant un bon gros buffet (sans rien apprécier au final).
Mais la façon dont elle imprègne ton esprit, dont elle évolue dans le temps, peut radicalement changer selon la présence ou non d'un support/Souvenir (quel qu'il soit).
Exemple simple : tu prends deux souvenirs importants de ta vie. L'un dont il ne te restera rien d'autre que le dit souvenir, l'autre dont tu as un objet (photo, affiche, disque...) qui reste accroché dans un coin, que tu vois régulièrement, qui agit comme une piqure de rappel inconsciente sur ta mémoire. Sur la durée, le second souvenir sera évidemment plus vivace parce que sollicité plus régulièrement, parce qu'ancrée sur plus de sens (vue, touché, son...). Et en réalité, c'est une mécanique qui va même bien au delà (reconstruction de souvenirs oubliés).
Hors "traumas", c'est juste le fonctionnement mécanique de notre mémoire. C'est comme si l'on jetait toutes les photos, les cadeaux des enfants, les souvenirs des proches décédés en se disant que, parce que l'on s'en souvient parfaitement à l'instant T, ce souvenir, cette relation à l'expérience vécue, ne se détériorera pas au bout de 5, 10, 20, 30, 40 ans... Sauf que ce n'est pas le cas.
Et c'est pareil pour le contexte d'accès aux œuvres. La rareté, l'espacement entre 2 œuvres, cela laisse le temps à une œuvre de se déployer dans ton esprit, de s'y graver. Lorsque tu enchaines des œuvres (et des bonnes), la nouvelle pousse l'ancienne, tu lui laisses mécaniquement moins de temps de "décantation". Notre mémoire n'est pas protégées contre le principe de "surcharge". Ecoute 1 chef d'œuvre musical par semaine pendant 1 mois puis 1 chef d'œuvre musical par jour pendant 1 mois. Il ne va pas t'en rester la même chose même si toutes ces œuvres sont géniales. C'est normal. Et notre société se caractérise clairement par cette frénésie de consommation artistique. On parle plus souvent de produire du contenu que des œuvres.
Même dans l'acquisition d'une œuvre, on retrouve des mécaniques de ce type. L'anticipation, le désirs, l'attente, les obstacles (prix, temps, distance, rareté) t'amène inévitablement à construire un fantasme. L'œuvre vit dans ta tête, marque ton esprit, avant même que tu ne l'ais expérimenté.
Sera-t-elle différente, en terme de qualité intrinsèque, que si tu pouvais l'avoir à l'instant même ou tu la découvres ? Non, bien sûr.
Le souvenir sera-t-il plus marquant sur la longueur ? Oui.
C'est d'ailleurs assez fort de voir que dans notre société ou nombre de ces obstacles ont disparu (prix raisonnable, accès instantané, absence de pénurie), les fournisseurs de contenu font tout pour créer artificiellement cette rareté, à travers des éditions limitées, en jouant sur la FOMO, etc. Parce que cela génère du désir, de l'attachement, de l'engagement. C'est puissant.
Et oui, vous avez parfaitement raison, il y aussi un réel intérêt dans ces nouvelles façons de consommer (la découverte, le confort, la diversité...), c'est pour cela que cela marche. Mais cela ne change rien au fait que l'on perd aussi quelque chose de précieux, et le temps passant, je trouve que cela se voit de plus en plus.
Par ailleurs, j'ai l'impression que vous avez un interprétation étrange du matérialisme. L'opposé du matérialisme, c'est le spiritualisme, par le "dématérialisé".
Un jeu stocké sur un disque dur plutôt qu'un BR, un film diffusé depuis une bobine ou un disque dur sur un écran de cinéma plutôt que depuis un BR sur une télé, une musique jouée sur des instruments et relayée par des enceintes, y compris en concert, un livre lu sur liseuse plutôt que sur papier, cela relève de la sphère matérialiste, dans tous les cas.
On peut en tirer une expérience spirituelle, bien sûr, mais ces œuvres sont pas essence matérialistes. Elles n'existent pas juste dans notre esprit.
La question, c'est plus de savoir si avoir un "souvenir" physique d'une expérience artistique fait une différence sur la longueur, dans notre mémoire de l'œuvre, dans notre attachement. Et je ne vois pas comment il en serait autrement.
On a des souvenirs bien plus vivaces, bien plus imprégnés et bien plus récurrents sans forcément de reliques, que d'autres avec reliques. De la même manière on peut avoir un attachement bien plus important à certaines oeuvres pour lesquelles on a jamais rien possédé de "physique", que d'autres qui accompagnent (inutilement) nos étagères depuis x années. Parfois en parcourant mes DVD/Bluray je tombe sur des films que j'ai appréciés (au point de prendre un collector) et pourtant que je redécouvre (genre "ah mais j'ai ce truc là?!) tellement ils n'ont rien laissé en moi (constat fait a posteriori).
De mon point de vue, le noyau central du lien qui se créé entre toi et une oeuvre est extrêmement complexe à définir. Certains films vont t'imprégner parce que tu les as vus avec quelqu'un en particulier. Parce que tu les a vus à des moments particuliers de ta vie (un paramètre qui n'a aucun lien avec l'oeuvre, sa forme, son médium), parce que tu les a vus au bon moment (plus jeune ou plus vieux ça n'aurais pas eut le même impact), parce que tu les as vu dans un état particulier, etc...
De mon point de vue, il n'y a pas de "mieux/moins bien", de "plus imprégné/plus anecdotique" quand on parle de physique/démat ou posséder/louer. C'est une histoire qui se construit sur tellement de paramètres qu'elle en devient complexe, singulière, presque propre à chacun. Et quand tu parles de te déplacer au magasin, peut-être faire 30min de queue parce que évènement de lancement, payer ton jeu avec de l'argent durement gagner, toucher la boite, parcourir l'épaisse notice (qui n'existent plus :/), glisser la galette dans une machine, etc...tout ça participe à construire ton histoire avec l’œuvre d'une certaine manière. Il y en a d'autres. Et faire cela ne garanti aucunement un lien plus profond, plus marquant. Ça peut. Comme ça peut devenir un souvenir qui finira dans la corbeille de ton cerveau.
Ce qui n'empêche pas que tout ce que tu dis est vrai. Mais ces mécanismes sont bien plus complexes que "démat/physique", "posséder/louer". Et puis ça dépend aussi des personnes je pense. Personnellement je n'ai quasi aucun attachement aux reliques. Je n'ai aucun attachement au matériel. Tu vois j'ai joué à Final Fantasy 7 avec mes frangins. Un jeu et tout un tas de moments puissants qui font que FF7 occupe une place particulière, une fascination qui traverse le temps...mais les reliques matérielles de ça n'ont aucune emprise sur moi, je n'y accorde aucune importance, et je pense que c'est parce que dans ce qui a construit mon histoire avec, elles sont très anecdotiques. Contrairement à mon frère qui, lui, conserve notre version du jeu religieusement depuis des décennies (et pas au fond d'un carton dans son grenier). Je peux aussi évoquer Zelda 2, fait entre frangin également. Si j'ai en mémoire le boite du jeu, elle est immensément moins importantes/associé au souvenir du jeu que le dico d'anglais qu'on sortait pour y jouer. De là à dire que ça fait chier que les jeux soient traduits de nos jours...
Pour la plupart des jeux qui m'ont marqués, dont le souvenir m'accompagne....la machine sur laquelle ils tournaient, l'action de glisser la galette, souffler sur la cartouche avant l'insérer dans la NES/SuperNes/Megadrive ça représente quasi dalle de l'expérience qui reste, de mon attachement à ces jeux (alors que j'ai toujours été fétichiste, soigneux, parcouru avec passion les notices, lu le dos des boites). Après, plus l'objet est soigné, artistique, présente une originalité, plus cela peut participer à embellir une expérience, et renforcer un lien. Bien sûr.
Je suis aussi d'accord pour dire que tous les sens participent à une expérience. Le papier des notices. Le clic des boites de jeux qui s'ouvrent. L'odeur de plastique neuf. La texture du siège de ta salle de cinéma. L'odeur qui y règne. etc...etc...mais encore une fois, tout ça c'est de l'enrobage. Un film, un jv c'est des images/sons sur un écran. Que j'ai dû me déplacer en salles, lancer Netflix, glisser la galette ou cliquer "lancer" sur steam, son essence ne change pas et de mon côté je le vis pareil, je lui consacre la même attention, je lui consacre mon temps...et plus de temps encore après si elle me fascine.
J'ai absolument pas l'impression que le passage au démat ou a des abos soit un quelconque frein, mur entre moi, l'oeuvre et ce qui peut se passer (ou pas) entre nous.
Après, il y a un autre aspect : l'abondance (+marketing/ l'incitation permanente à consommer). Bon là, on connait très bien les effets psychologiques. A chacun sa façon de gérer ça.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Ce n'est pas pareil de posséder un jeuxvidéo en physique et dans disposer uniquement le temps d'un abonnement et de sa disponibilité dans une offre mais quand depuis les Xbox360/PS3 et que l'essentiel des jeux pc passent par une plateforme comme steam, les jeux ont besoins de mises à jour et ont parfois du gros contenus quand dématérialiser. Même chose pour les films ou nous avons tendance à vouloir les regarder dans la meilleures qualités possible, quand tu es réellement fans de quelque chose, que tu l'as en VHS et que ça ressort en DVD, tu le prendra, IDEM quand sortira la version Blu Ray puis pour les mêmes raisons d'améliorations du son et de l'image, tu prendras la version dématérialiser.
Le fait que je ne me retrouve dans quasiment aucun de tes propos (mais beaucoup plus dans ceux de GTB) démontre que ces mécanismes peuvent grandement varier d'une personne à l'autre. Bien que passionné de photographie (un hobby que je pratique depuis une quinzaine d'années), qui peut certes être un vecteur d'émotions très efficace (au même titre que toute autre forme d'art), je ne prête pas aux images des propriétés particulières en lien avec les souvenirs. Bien sûr, la photo peut être un point de référence, une aide au souvenir facilitant la remémoration de certains détails concernant des lieux ou des personnes. Elle peut éventuellement rendre les souvenirs plus clairs et plus accessibles, mais sans intensifier les émotions qui leur sont liées.
Ayant beaucoup bourlingué depuis 2006, toujours avec un appareil photo à portée de main, je me suis amusé à dresser la liste de mes souvenirs de voyage les plus marquants. Résultat? Ils ne sont jamais liés à l'existence d'une photo ou d'une relique (pour reprendre le terme utilisé par GTB). Si je peux associer chacun de ces souvenirs à des événements émotionnellement intenses, qu'ils soient positifs ou négatifs, la représentation visuelle (une photo) ou matérielle (un objet) ne joue aucun rôle. Cela n'enlève rien à la valeur unique et personnelle des photos, qui servent de témoignage visuel de notre vie, créent des liens sociaux et jouent un rôle clé dans la préservation de notre histoire personnelle. Je constate toutefois que, pour moi tout du moins, la formation de souvenirs marquants est complètement indépendante de la présence d'éléments tangibles.
Je ne vais donc même pas entrer en matière pour un objet aussi froid, impersonnel et inintéressant qu'un boîtier de jeu vidéo. D'ailleurs, pour avoir moi-même longtemps souffert de collectionnite aiguë, j'ai complètement changé d'état d'esprit dans les années 2010 et donné mes 800 CD, 600 DVD/blu-ray et une grande partie de mes 1500 livres/BD (éditions rares incluses) à des œuvres de bienfaisance ou à la bibliothèque de ma ville... et je m'en porte très bien! Mon rapport à toutes ces œuvres culturelles qui me sont chères n'a pas changé d'un iota.
Plus que 24h pour profiter de prix cassés sur 157 jeux Xbox avant la fermeture du store 360 !
Remember Halo.
Il est déconseillé actuellement de la réinitialiser pour la vendre et même brancher au live une console qui serait encore sous scellé, comme une édition collector par exemple.
L'article
https://www.xboxygen.com/News/49679-Attention-si-v...
The Dreadful Unit #16 ;)
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Thanks to the team @DigitalFoundry for notifying us about this issue. Game on!
Mafia : Definitive Edition - 13 août dans le GP console/ PC / Cloud
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Remember Halo.
D'ailleurs, pour avoir moi-même longtemps souffert de collectionnite aiguë, j'ai complètement changé d'état d'esprit dans les années 2010 et donné mes 800 CD, 600 DVD/blu-ray et une grande partie de mes 1500 livres/BD (éditions rares incluses) à des œuvres de bienfaisance ou à la bibliothèque de ma ville... et je m'en porte très bien!
"It's a city of dreams...and i'm a big dreamer".
Sans oublier les sorties des autres éditeurs.
De plus si ca permet de peaufiner le jeu pourquoi pas.
Sans parler que si la nouvelle de sortie est pas trop mal, y a aura peut être plus de temps pour en profiter et le découvrir.
On peut pas dire que c'était le jeu le plus attendu par la majorité des joueurs, donc plus de visibilité lui sera peut être bénéfique.
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Inppaussible n'est pas Français.
Moi je l'attends peut être moins que toi, mais j'étais impatient de le voir arriver aussi.
Mais bon pour patienter rien qu'avec le GP j'ai COD, FS2024, Indiana Jones et Stalker2 (si tout va bien) qui même si pas studio xbox sera dans le GP
Y a encore 2 autres jeux je pense mais qui ne m'intéressent pas tout comme les extensions Diablo et Starfield.
Sans oublier les autres éditeurs, je pense qu'il y a de quoi faire et moi clairement vais manquer de temps.
Perso même si tj chiant, je trouve ca pas con surtout que c'était pas la folie autour du jeu et donc ils pourront si ils le veulent (on a vu ca avec Helblade2 :/ ) faire des évents, mises en avant etc dessus
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