Tout a été dit sur l'idée apparemment saugrenue et hautement mercantile d'Ubisoft de nous sortir un nouvel Assassin's Creed tout juste un an après son prédécesseur. Nous autres à Gamersyde, comme tant d'autres, ne croyions pas une seule seconde que ce nouvel épisode puisse être autre chose qu'un add-on basique accompagné d'un mode multijoueur. Ubisoft ayant d'ailleurs choisi d'avant tout promouvoir ce mode, ces doutes semblaient fondés. Et pourtant. Et pourtant... Assassin's Creed Brotherhood est le meilleur de la série à ce jour. Et après l'excellent Assassin's Creed 2, c'est tout juste un exploit. Les détails dans le test !
MAJ : Impressions sur le multijoueur ajoutées.
Brotherhood continue l'histoire d'Ezio très exactement là où on l'avait laissé à la fin d'AC2, du moins après un intermède pour le moins intriguant montrant le grand méchant de l'histoire aux prises avec notre assassin favori. C'est donc dans les tréfonds du Vatican que l'on reprend les commandes, et après quelques péripéties (voir notre vidéo des 10 premières minutes) le jeu se rouvre sur une séquence de reprise en main/tutoriel, pour remettre le joueur dans le bain tout en douceur. Les habitués du site sauront exactement ce qui se passe après le retour de notre héros à Monteriggioni, puisqu'il s'agit de la présentation du jeu à L'E3 dernier, où les troupes de Cesare Borgia prennent d'assaut la forteresse Auditore, avec une fin malheureusement prévisible.
C'est à la conclusion de ces événements pour le moins tragiques que l'autre héros du jeu vient nous prouver lui aussi ses capacités d'athlète. Desmond est bien entendu lui aussi de la partie, plus que jamais même, puisqu'il est maintenant de sa responsabilité de trouver un chemin dans les souterrains d'un Monteriggioni légèrement modernisé afin de s'y cacher d'Abstergo et de leurs moyens d'espionnage moderne. Une fois tout ceci en place, il est enfin temps de passer aux choses sérieuses avec une nouvelle plongée dans l'Animus, cette fois, à Rome.
Une fois dans la capitale, le jeu reprend son déroulement habituel, mélange habile de missions principales scénarisées, d'exploration de la gigantesque ville, de missions annexes de longueurs variables, d'exploration d'endroits plus ou moins abandonnés (cette fois liés à la confrérie de Romulus), et tout ce qui avait fait le succès d'Assassin's Creed 2.
Toutefois, Brotherhood n'est pas juste un copier/coller de son prédécesseur transposé dans une autre ville. Parmi les nouveautés, il est en particulier important de mentionner un système de combat revu et corrigé, rendant ceux ci beaucoup plus nerveux car permettant d'aligner les « one shot » kill les uns à la suite des autres si l'on a la coordination et les réflexes nécessaires. Avec pas mal d'entraînement, il est tout à fait possible de finir un combat contre une dizaine d'adversaires en une trentaine de secondes, chose impossible dans les précédents volets. Les combats faisaient d'ailleurs partie des éléments les plus rébarbatifs de la série, et même s'ils restent quand même encore un peu brouillons, ils sont maintenant beaucoup moins gênants, en particulier grâce à l'autre grosse nouveauté du jeu.
Si ce nouvel Assassin's Creed se nomme Brotherhood, c'est justement pour bien souligner ce nouvel aspect plus ou moins primordial : La confrérie des assassins, dont Ezio est le grand maître. Introduite après quelques heures de jeu, la confrérie offre à notre héros la possibilité de recruter jusqu'à 10 assassins, et de les entraîner afin qu'ils lui donnent un coup de main, parfois salvateur, lors de ses missions. Le recrutement se passe toujours la même façon : Ezio sauve une personne agressée par des gardes Borgia, et cette personne lui prête allégeance. Il est alors possible de l'envoyer en mission un peu partout en Europe, lui permettant alors de monter en niveau et d'obtenir au passage de meilleures armes et armures. Une fois le niveau dix atteint, la recrue devient alors un assassin à part entière, toujours toutefois dédié à la cause d'Ezio bien entendu. Les missions sont, comme il se doit, de difficulté variée, et il est presque toujours indispensable d'envoyer plusieurs recrues à la fois afin de leur éviter une mort prématurée et augmenter leurs chances de réussite.
S'ils ne sont pas en mission à l'étranger, les assassins sont accessibles à tout moment par une simple pression du bouton au dessus de la gâchette gauche, les envoyant immédiatement sur l'ennemi ciblé pour un assassinat instantané, ou, selon les cas, un long combat. A part de rares occasions où leur IA rencontre quelques difficultés à les faire rejoindre leur cible, ces alliés se montrent un atout majeur dans les missions les plus difficiles du jeu. Vous serez en effet maintes fois soulagés de les voir arriver à la rescousse, vous laissant alors le champ libre pour continuer à avancer vers votre cible principale, sans plus avoir à vous préoccuper outre mesure des ennemis de base.
La dernière grande nouveauté du titre est l'ajout d'un nouveau type de tours. En plus des simples tours à escalader et « synchroniser » pour ouvrir un peu plus la carte du jeu, le jeu nous propose maintenant de prendre d'assaut des tours gardées par un capitaine Borgia et ses acolytes. Ces missions rappelleront un peu le déroulement des assassinats du premier Assassin's Creed, où le joueur devait se débrouiller comme il pouvait pour rejoindre sa cible dans un endroit peuplé d'ennemis. Même si l’on n’en atteint bien entendu pas la complexité, ce retour de l'improvisation est plutôt bienvenu au milieu des missions très scénarisées de l'histoire principale. Il est bien entendu parfaitement possible dans la plupart des cas de foncer tête baissée et d'user des capacités de la confrérie pour simplement tuer tout le monde, mais l'infiltration et l'assassinat en toute discrétion sont toujours, ou presque, possibles.
Il reste bien entendu tout plein de petites nouveautés, voire même quelques unes à l'importance indéniable, mais il est hors de question de vous gâcher le plaisir de leur découverte !
Graphiquement Brotherhood ne déçoit pas non plus, ce qui est au moins tout aussi étonnant que la quantité de contenu de ce jeu développé en un an. Même si le moteur reste bien entendu globalement inchangé, les développeurs ont mis en place un système « d'ambiance » selon les quartiers, ajoutant une légère mais importante surcouche de couleur à la palette principale. Résultat, l'image devient nettement plus contrastée et agréable que celle d'Assassin's Creed 2, qui était parfois un peu délavé visuellement. Ces changements d'ambiance se font relativement brutalement, par simple fondu de couleurs, en passant d'un quartier de la ville à l'autre, mais vu leur apport en termes visuels, c'est un petit défaut totalement pardonnable. Brotherhood semble aussi légèrement plus fluide que son prédécesseur, mais ce n'est peut être qu'une simple impression. A part quelques combats très chargés en ennemis, il est en tout cas rare que les ralentissements deviennent perceptibles, ou qu'ils finissent par nuire au gameplay.
La partie sonore reste quant à elle identique qualitativement à celle d'AC2, qui avait placé la barre déjà bien haut avec d'excellents doublages, et des musiques très appropriées de Jesper Kyd. On reprend les même et on recommence ! Signalons quand même un petit bug de mixage sonore, où le jingle signalant qu'une mission de nos recrues vient de se terminer est parfois joué avec un volume beaucoup plus élevé que le reste du jeu. Rien de très grave, mais c'est parfois particulièrement désagréable quand cela ce produit en plein milieu d'une cinématique. Ce soucis est peut être toutefois corrigé dans la version du commerce, mais nous n'avons pas encore pu nous en assurer.
Pour compléter cette excellente review de Sir Blim, je vais vous parler un peu du mode multi du jeu. A l’occasion d’un tournoi organisé par Ubisoft lundi soir, nous avons en effet pu tester cette partie du jeu dans une véritable atmosphère de compétition. Nous n’avons malheureusement pas brillé durant ce tournoi, faute d’entraînement sur la bêta, mais l'important étant avant tout de participer, on oubliera vite cette légère contreperformance.
Non content de nous offrir un mode solo riche et accrocheur, Assassin's Creed Brotherhood s'accompagne également d'un mode multi qui devrait, lui aussi, faire grand bruit. Avec un gameplay à la fois original et fidèle à toute l’atmosphère d’Assassin’s Creed, le menu est on ne peut plus alléchant. Point de missions scénarisées ici, l’objectif est simple : assassiner votre cible tout en évitant vous aussi de faire les frais de l’assassin qui vous poursuit. À la fois prédateur et proie, le joueur découvre donc une nouvelle sensation dans la série : la peur de se faire surprendre par un assassin dissimulé dans la foule.
Pour vous acquitter de votre mission, tous les moyens sont bons. Vous pouvez y aller franco ou décider d'agir plus discrètement en vous mêlant à la foule. Une dizaine de personnages sont proposés avec chacun leur propre style, en découle diverses animations jouissives quand vous atteignez votre but. Le médecin utilisera sa seringue pleine de poison, la courtisane son éventail tranchant et le boucher son bon vieux hachoir plein de sang. Comme dans d’autres jeux du marché, un système d’expérience vous permettra, entre autre, de gagner en habilités et d'améliorer votre capacité de détection de vos cibles. Pour inciter les participants à jouer de façon plus posée et réfléchie, les assassinats discrets rapportent évidemment beaucoup plus d'expérience que le charcutage musclé façon Conan le Barbare.
Ne vous attendez pas à marteler le bouton d’attaque et pouvoir vous lancer dans de véritables combats de mêlée, une simple pression au bon moment et votre cible est à terre. Vous pouvez également humilier votre proie, si vous souhaitez faire durer le plaisir et marquer un bonus de points au passage. Rapide, efficace, voir furtif si le cœur vous en dit, le plus dur est de repérer votre ennemi dans cette foule compacte. En effet, les maps grouillent de pauvres citoyens innocents, pour la plupart revêtus des skins que le joueur peut incarner. Il n’est donc pas rare de confondre votre cible avec un badaud qui vaque à ses occupations, vous faisant par là même repérer par l'assassin qui vous recherchait…
Heureusement, pour vous aider dans votre tâche, un radar vous indique la direction dans laquelle se trouve votre contrat. Une fois proche de lui cependant, les indications disparaissent et c’est à vous de vous débrouiller pour l’identifier. Si vous êtes sûr d’avoir repéré votre ennemi, vous pouvez même le marquer pour être certain qu’il ne vous échappe pas si d'aventure il venait à s'enfuir ou se mélanger aux badauds. Courir vers votre cible est certes un moyen rapide de se débarrasser d'elle, mais, à l'évidence, pas très discret. Si vous êtes repéré, votre proie peut avoir toute l'habileté et l’équipement nécessaire pour vous échapper (selon son niveau d’XP, les moyens mises à sa disposition varieront), voir vous surprendre pour vous prendre à votre propre jeu. J’ai d'ailleurs eu moi-même l’occasion de pouvoir tuer mon assassin après une poursuite effrénée. Étant parvenu à me cacher sans me faire voir et fait preuve d'un peu de patience, j'ai attendu de pouvoir passer dans son dos pour en finir avec lui. Inutile de dire que dans ce genre de moments, on se sentirait presque le roi du monde.
En termes d’équipement, on trouve un certain panel d'armes ou de gadget très utiles pour se sortir d'un mauvais pas. Bombes fumigènes paralysant toute personne se trouvant à proximité, armes de poing fonctionnant comme AC2, camouflage permettant de changer d’apparence pour brouiller les pistes, etc. L’environnement propose lui aussi des moyens efficaces de semer votre poursuivant comme ces portes qui se ferment derrière votre passage., le système de contrepoids qui permet de s’envoler sur les toits, sans oublier les classiques meules de foin toujours très pratiques.
Pour ceux qui veulent agir en toute discrétion et gagner un maximum de points d'expérience, marcher est la règle absolue. Il faut profiter des groupes de gens pour passer inaperçu tout en observant bien les alentours pour repérer vos adversaires. Il m’est arrivé de trouver ma cible sans être détecté et de la croiser en marchant épaule contre épaule avant de me retourner et frapper, ni vu ni connu. Ce qui donne au passage un bonus de point, car il ne faut pas oublier que le but final est tout de même d'obtenir le plus gros score, et non pas d'accumuler bêtement le plus grand nombre d'assassinats (ce qui aurait certainement transformé le jeu en simulateur de boucherie).
Le multi de Brotherhood propose donc un style de jeu relativement simple à prendre en main, qui peut même se jouer en équipe de deux. Le nombre total de joueurs étant de huit maximum, il est donc possible de faire s'affronter quatre équipes de deux joueurs. Les seuls reproches que l’on pourrait formuler à l'égard de la partie multijoueur tiennent surtout au HUD et aux informations présentes à l'écran qui surchargent un peu le tout et à certaines maps un peu trop petites pour profiter pleinement de la partie. Rien qui permette de tourner le dos à ce mode multi cependant, d'autant plus qu'il est bien parti pour obtenir le même succès que celui des anciens Splinter Cell et de leur mode Spies vs. Mercs. Et c'est bien tout le mal qu'on lui souhaite.
Tous les commentaires (48)
Merci :)
Merci.
Mais la review m'en aurait presque donné envie. ;)
Ha oui quand même. Super review une fois de plus. C'est décidé ACB sera dans ma ps3 d'ici la fin de l'année.
Mais la review m'en aurait presque donné envie. ;)
Excellente preview qui ne fait que confirmer mon attente pour ce jeu, c'est achat day one obligé.
J'aime le fait qu'Ubi Soft ne se repose pas sur ses lauriers et propose un épisode encore plus abouti, c'est la grande classe.
Shura> Pour moi AC fait partie des séries que je retiens de cette gen et que je garde (avec Bioshock, Gears, par exemple).
Typique, je trouve la réalisation un poil décevante. Le clipping est bien plus prononcé qu'avant (pas étonnant vu la taille de Rome) et il y a avait une bonne raison à l'absence des chevaux en villes. Depuis qu'ils y sont, on voit des bugs de collision partout. Les visages sont toujours aussi moyens.
De plus, certains aspects, comme les assassins, relève un peu de l'illusion. Sorti de l'aspect "gestion" purement abstraite (tableau only), on se retrouve avec une mécanique d'assistance finalement proche des Mercenaires. Mais bon, ce n'est pas un point négatif et en réalité, l'illusion prend sur ce point, comme sur d'autres.
Bref, c'est du bon et j'ai adhéré à fond au Multi (surtout la version chacun pour soi en fait).
Merci Gamersyde !
Il y a des packs de prévus pour ce jeu ? Ca m'arrangerait bien. :P
Quoiqu'il en soit cette review me donne vraiment envie de me replonger dans l'univers des assassins et de retrouver avec joie Ezio et Desmond pour de nouvelles aventures. Je suis ravi d'apprendre que le système de combat à enfin évolué vers plus de dynamisme façon Batman AA !
Merci GSY !
Il y a des packs de prévus pour ce jeu ? Ca m'arrangerait bien. :P
Sur Amazon par exemple :
http://www.amazon.fr/Console-PS3-noire-Assassins-C...
Merci GSY !
Les points importants :
- si l'on se plante de cible (mauvais joueur ou civil), on foire le contrat (le jeu attribue une nouvelle cible).
- si la proie nous repère et parvient à nous perdre de vue (il y a des portes qui se ferment, des "ascenseurs" express et les planques habituelles) ou que la poursuite dure trop longtemps, on foire le contrat.
- si la proie nous colle une humiliation (en gros une mandale qui assome mais ne tue pas), on foire le contrat.
- le meilleur joueur n'est pas celui qui tue le plus de proies mais celui qui engendre le plus de points, or le système de points fonctionne un peu à la façon de The Club : tout est noté. Courrir après un gars en se faisant repèré pour le planter bêtement ne rapporte presque rien. Par contre, le tuer en ayant la jauge de discretion au max, en réalisant une accrobatie ou en le choppant de face rapporte un max (si vous enchainez des contrats sans crever, c'est le jackpot).
Ce dernier point implique évidement que le rush est loin de garantir la victoire, surtout face à des joueurs de haut niveau, car comme dans COD, on gagne de l'XP qui débloque divers attributs à sélectionner. On peut avoir des armes spéciales (comme une bombe fumigène), des compétences (courrir très vite, changer instantanément d'apparence pour un moment), etc. Bref, la charge de la cavalerie n'est pas une technique très payante.
Du coup, on expériemente des situations très variées (tout cela est du vécu).
Parfois, on se retrouve embarqué dans un train : notre cible s'est fait repérée par sa propre cible et commence à le courser, donc on s'emballe aussi et un coup d'oeil dans le dos permet de voir que l'on a son prédateur au fesse. Cela devient une course assez poilante, d'autant qu'il arrive que des trains se croisent, ajoutant à la confusion.
Parfois, vous avancez tranquillement quand un personnage assis sur un banc se lève et vous plante (le prédateur patient).
Au détour d'une ruelle, on approche discrètement sa cible et on se retrouve face à un groupe de 4 personnages strictement identique (1 joueur, 3 civils). Grosse hésitation qui s'est soldée par une humilation.
Un de mes moments les plus mémorables : grosse poursuite avec mon prédateur au basque, je choppe un ascenseur qui me propulse sur le toit, de là je saute dans un chariot en contrebas, transformation, je resors du chariot et reste immobile à coté (comme d'autres badauds), mon prédateur débarque d'une réelle adjacente et se jette directe sur un civil qui a mon ancienne apparence, à 2 mètres de mon perso. Jouissif !
Evidemment, le gameplay est très influencé par les maps. Certaines sont très verticales, d'autres ont des petites ruelles ou de larges places, plus ou moins de civils...
J'ai un peu tenté le jeu en équipe (2v2v2) qui était rigolo mais très bourrin vu que les joueurs ne se connaissaient pas...
Allez hop, c'est parti pour un achat pas prévu au programme ! :D
Mais j'ai encore quelques questions ^^:
- Est-ce qu'on peut faire des partie sans HUD? (J'ai fait tous les AC sans HUD)
- Tu dis que lorsqu'on s'approche de la cible, elle n'est plus indiqué. A partir de quelle distance à peu près? Sur les vidéos beta youtube le cercle indique toujours la cible jusqu'à 3 pas d'elle quoi -_-. Bref en clair, ultra assisté et aucun effort n'est requis pour repérer sa cible sur ces vidéos. Ca ampute une grande part de l'intérêt là.
- A partir de quand une poursuite s'engage-t-elle? Question de distance, de repérage. C'est assez obscure là. J'ai un indicateur de cible, je m'approche, pour x raisons je perds ma cible. Il se passe quoi là? Parce que c'est pas parce que je l'ai perdu 1)qu'elle m'a grillé 2)Que je ne peux plus la retrouver avec l'indicateur.
- Donc du coup, est-ce que ta cible peut t'avoir grillé sans que tu sois au courant? (et du coup te semer sans forcément engager une poursuite)
- Ta cible est-elle indiqué en permanence?
- La vision d'aigle est-elle active dans le online?
- Les maps sont-elles grande? Sur les vidéos beta youtube, les mecs bougent rarement de plus de quelques rues, ça foisonne d'humain partout. Et Genre ça zigouille à tire larigot.
- Est-ce qu'il y a un intérêt autre que les points de faire un assassinat discret? (Genre des gardes ou que sais-je)
- Est-ce qu'il est vraiment difficile de repérer les humains? Ce sentiment parano est vraiment présent? Parce qu'encore une fois, sur les vidéo beta youtube mais on les grille tous et à 3km. Et pas que quand ils sont sur les toits. Ils ne se déplacent pas du tout comme l'IA.
Voilà pour l'instant :p. Je sais je suis chiant, mais le online de Brohterhood pourrait être celui que je squatte le plus depuis Gears 2 tellement c'est prometteur donc je suis très intrigué par la pratique :).
Mes principales craintes sont d'être trop assisté pour repérer ma cible, que l'espace soit trop réduit pour avoir une vrai dimension recherche/observation/assassinat propre, que les coupures (fin de contrats) viennent remplacer une carence d'éléments interactifs immerssifs.