Série née au lancement de la Playstation 3, Resistance n'a pour beaucoup jamais été retenu comme une licence forte aux côtés des autres exclusivités-phares de la machine de Sony. Pourtant servi par un gameplay efficace, les deux premiers opus n'ont donc pas forcément toujours bien convaincu la critique, ce qui ne les a pourtant pas empêché de se vendre très bien. D'où l'arrivée en cette rentrée de Resistance 3, premier FPS à se lancer dans le bal de fin d'année avec une petite longueur d'avance sur la concurrence. À ceux qui penseraient qu'il ne mérite finalement pas de s'y intéresser plus que cela, attention, vous pourriez bien manquer l'un des premiers hits de la rentrée. Explications.
Super Résistant
Les événements de Resistance 3 débutent environ quatre ans après ceux du deuxième volet, laissant donc la place de personnage principal à Joseph Capelli pour des raisons évidentes que je tairai pour ne pas risquer de gâcher le final de Resistance 2 à ceux qui ne l'auraient pas encore terminé. Bien décidé à continuer à vivre malgré l'envahisseur, le nouveau héros se marie et devient même père d'un petit garçon. Si l'on ne peut évidemment pas parler de vie paisible, le petit camp de survivants dans lequel la famille s'est installée offre malgré tout un semblant de cocon familial à tous ceux qui y résident.
Malheureusement, vous vous en doutez, l'heure n'est pas à l'oisiveté et à la farniente, et le groupe se trouve bientôt obligé de fuir devant la menace chimérienne. Une menace qui survient par la faute du professeur Malikov, parti à la recherche de Joe, seule personne capable de l'aider dans sa tâche. Le vieil homme conduit donc malencontreusement l'ennemi au refuge et ne reçoit pas un accueil des plus chaleureux de la part du héros. Celui-ci n'est d'ailleurs absolument pas disposé à suivre Malikov jusqu'à New York dans sa quête suicidaire pour tenter d'éviter la propagation d'un hiver mortel sur le pays. Évidemment, Joe finit par accepter à contrecœur, pour des raisons que je vous laisse découvrir par vous-même. Commence alors une traversée des États-Unis semée d'embûches, une aventure haletante à l'issue bien incertaine.
Plat de Resistance
Le gameplay de Resistance 3 s'articule évidemment autour d'une succession de moments de bravoure, tous plus intenses les uns que les autres. Pendant les 7-8 heures que dure l'aventure solo (en mode normal), Joe n'aura de cesse d'affronter des situations de plus en plus difficiles, passant des ruines de bourgades américaines au long fleuve peu tranquille du Mississipi, ou encore d'une forêt mal fréquentée de nuit à une balade en train mouvementée. Si les différents lieux traversés ne gagneront sans doute pas la palme de l'originalité, on ne peut absolument pas leur reprocher leur manque de variété, l'ambiance changeant d'ailleurs assez radicalement selon la zone traversée. Bonne nouvelle pour les puristes des FPS d'antan, Insomniacs a décidé de réintégrer un système de vie à l'ancienne (comprendre, qui ne se régénère pas comme dans le deuxième épisode) qui oblige à beaucoup plus de prudence. Il faudra donc régulièrement partir en quête de kits de soin si vous voulez espérer vous en sortir, les Chimères ayant pour mauvaise habitude de viser juste.
Resistance étant connu pour son arsenal inspiré, il n'est pas étonnant de voir que ce nouveau volet ne déroge pas à la règle. Vous aurez donc à votre disposition un total de 12 armes différentes, aux effets aussi pratiques que variés : tir à travers les murs (moins amusant quand on en est la cible), rayon glaçant, balles traçantes ou incendiaires, pas de quoi s'ennuyer donc. En les utilisant, il est possible de les faire monter en niveau, ce qui débloque alors de nouvelles fonctions encore plus dévastatrices. Les combats sont nerveux, alternant phases en environnement restreints à celles où le champ de bataille est plus vaste et plus propice aux chemins alternatifs. Cela donne d'ailleurs lieu à quelques situations quasi désespérées où l'on se sent réellement acculé, comme si toute résistance était vaine. Heureusement, le jeu sait se montrer clément lors d'un échec puisqu'il vous redonne toujours quelques munitions supplémentaires lorsque vous reprenez au checkpoint précédent.
Un peu à la manière du célèbre Half Life², ou, plus récemment, de Metro 2033, le jeu distille de temps en temps des moments d'apaisement nécessaires après (ou avant) la tempête. Beaucoup plus réussis que dans le médiocre Homefront, on partage donc un peu la détresse et le désarroi des survivants obligés de se cacher des Chimères. Mais ces séquences de répit ne prennent pas toujours la forme de passages de quiétude et de repos, elles sont aussi l'occasion de maintenir le joueur dans un stress permanent, de le mettre à l'affût du prochain danger qui guette. Jamais trop longs ni inutiles, ces passages font aussi partie intégrante d'une histoire qu'on se prend à suivre avec plaisir, grâce notamment aux cinématiques réussies et aux divers documents (lettres ou enregistrements audio) que l'on trouve ici et là.
Cette volonté affichée de proposer un univers riche et immersif explique d'ailleurs sans doute pourquoi on a l'impression de sentir la présence d'Half Life² en filigrane de l'aventure. Certains lieux d'abord, comme le pendant de Ravenholm à la sauce Insomniac, ou encore la mine infestée de créatures belliqueuses ; mais aussi des petits détails, comme les cachettes des survivants indiquées à la craie jaune, ou ces sentinelles qui recherchent les survivants à la trace. Au total, tout un tas de petites choses qui rappellent le jeu de Valve sans jamais tomber dans la pâle copie. On pense aussi à The Walking Dead quand Joe se retrouve face à des hommes littéralement déshumanisés par l'invasion, presque plus dangereux encore que les Chimères. Un patchwork de situations qui ne perd cependant jamais l'empreinte d'Insomniac Games qui parvient enfin à proposer un jeu à la mesure de son univers.
Chimère Buddy
De jouxtes impliquant 60 joueurs dans le deuxième épisode, Resistance 3 change son fusil d'épaule et limite les parties à un total de 16 participants. Régression sur le papier, le choix de diminuer le nombre de joueurs part surtout d'un souhait de rendre les modes multi moins brouillons et plus intenses, sur des cartes pensées pour (bien que certaines maps fassent leur retour). De façon très classique, jouer en ligne permet de gagner de l'expérience, ce qui donne accès à différentes spécialisations ou aptitudes. Une façon comme une autre de ne pas figer la montée en grade et d'offrir au joueur le choix de son style de jeu. De quoi se construire une équipe polyvalente et redoutable sur le terrain.
Dans la pratique, les cartes disponibles proposent de ne pas se limiter aux seuls États-Unis et de visiter un peu l'Europe, l'Amérique du sud ou l'Afrique par exemple. Leur taille raisonnable permet de s'amuser même lorsque les 16 slots ne sont pas remplis, et les divers passages qu'elles offrent donnent l'occasion de surprendre au mieux ses adversaires. Les modes sont globalement classiques (deathmatch, capture the flag) mais on retrouve également le mode Breach déjà présent dans le premier épisode et qui consiste à travailler en équipe pour détruire le réacteur adverse. Plus "original", le mode Réaction en chaine demande aux joueurs de prendre le contrôle de différentes zones pour ouvrir ou refermer le tunnel spatio-temporel. Efficace malgré quelques problèmes de connexion me concernant, le multi devrait largement satisfaire les amateurs de la série.
Enfin, précisons que Resistance 3 propose à deux joueurs de vivre ou revivre l'aventure principale en ligne ou en local, un fait suffisamment rare pour mériter qu'on le souligne. Les performances du jeu s'en trouvent bien sûr quelque peu affectées, mais l'ensemble reste acceptable, malgré le choix pour le moins discutable de ne pas afficher le jeu sur toute la largeur de l'écran. Mieux vaut donc posséder un écran de bonne taille pour se lancer dans l'aventure, mais même sur une télévision 40 pouces, on pestera sur la taille de l'écran de jeu. Au final, autant opter pour l'expérience coop en ligne, qui allie convivialité et confort visuel.
Techniquement irrésistible ?
Salués par la critique sur la partie technique de Ratchet & Clank à sa sortie sur Playstation 2, les développeurs d'Insomniac n'ont pas toujours fait l'unanimité sur la génération actuelle. Si la migration de leur série fétiche sur Playstation 3 a su se faire sans trop de heurts, on ne peut pas dire que Resistance 1 et 2 avaient réussi à convaincre par rapport aux autres exclusivités de la machine. On peut donc affirmer sans exagérer que l'on n'attendait finalement pas de miracle avec cette suite. Grossière erreur tant les progrès sont flagrants dès le lancement du jeu. Doté d'un filtre graphique assez cinématographique, Resistance 3 affiche un rendu très réussi, même si tout n'atteint pas encore la précision d'un Killzone 3 ou d'un Uncharted 2. Les effets de particules donnent vie aux différentes zones traversées, le vent balayant la poussière tout en malmenant les malheureux arbres encore debout. Il n'est donc pas rare de lâcher quelques exclamations admiratives devant le travail d'Insomniacs, d'autant plus que les éclairages savent mettre en valeur la majorité des environnements.
Tout n'est cependant pas parfait. Le travail sur les textures est assez inégal, bien qu'on ne s'en rende finalement pas vraiment compte à moins de coller son nez sur le moindre morceau de décor. L'aliasing pourra aussi en agacer quelques uns, celui-ci étant plus ou moins présent selon les niveaux. Les animations n'atteignent pas non plus le réalisme de celles de Killzone, allant parfois jusqu'à être complètement ratées lorsque Joe entreprend de monter à une échelle. Plus gênant, le framerate est trop souvent mis à mal par un trop plein d'ennemis ou lors des séquences les plus spectaculaires. Pourtant, jamais la jouabilité ne souffre de ces ralentissements qui n’entament donc heureusement pas le plaisir de jeu. Côté IA, quelques petits bugs persistent encore et l'on verra parfois un adversaire planté là, sans bouger, à attendre de prendre un peu de plomb dans l'aile - ce qui arrive paradoxalement plus dans le camp humain.
Des détails donc, de ceux qu'on finit vite par oublier grâce à une bande son très immersive et des doublages en anglais vraiment réussis - à noter d'ailleurs qu'on ne pourra pas jouer en anglais sous-titré français et qu'il faudra configurer sa console en anglais pour profiter des dialogues en version originale. La VF s'en tire bien avec notamment Patrick Bethune (alias Jack Bauer) dans le rôle de Joe, mais on regrette que les acteurs principaux se chargent aussi de jouer certains résistants lambdas, donnant l'impression d'un casting un peu trop limité. Ceci mis à part,le niveau d'interprétation et d'implication est largement digne d'un film sur grand écran. Ajoutez à cela une bande originale excellente et très hollywoodienne et vous aurez là le parfait environnement sonore pour en prendre plein les oreilles.
Verdict
Tous les commentaires (103)
Meilleur que Killzone 3, ce ne sera pas difficile je pense.
Je découvre la série Resistance avec ce troisième épisode (je me juste bien renseigné sur le scénario des deux autres pour bien comprendre le contexte) car les précédents ne m'avaient vraiment pas donné envie de m'y mettre. Ce qui prouve d'ailleurs qu'on peut se lancer dans cette suite sans avoir fait les autres et y prendre beaucoup de plaisir.
Resistance 3 est un vrai divertissement du début à la fin. Il a ses défauts, mais, pour moi, il surclasse aisément en un jeu ce que Killzone a pu faire en trois. Après, c'est aussi une question de goûts. :)
grand fan du 1er (aussi bien solo que multi) le 2ème m'avait pratiquement dégouté à vie de la série, tant son solo m'a paru chiant, mal cadencé, level design pourri et gunfights beaucoup trop rentre dedans sans queue ni tête (j'ai du me forcer plusieurs fois pour remettre la galette).
mais là effectivement, à la vue des vidéos, j'ai ressenti la nostalgie du 1 ce qui est bon signe. On a plus l'impression de participer à une guerre et pas seulement à un ball-trap à la Unreal.
techniquement, il m'a l'air aussi en net progrès, notamment les intérieurs, qui faisaient super pitié dans le 2 pour un jeu PS3.
pour la comparaison avec KZ3, c'est un peu dur à mon avis, le feeling des armes et l'IA helghast me paraissent tout de même un cran au dessus, sans compter que l'ambiance et l'univers (plus réaliste dans KZ) n'offre pas le même trip entre les 2 licences.
à voir quand ce R3 sera en promo, ça pourrait combler un moment calme niveau sortie durant 2012^^
Franchement avec ce troisième opus Insomniac à clairement marquer l'essai, ça donne envie ;)
La tu critique un jeux avec une ambiance de folie, avec une touche artistique et techniquement au point. Tu bois quand tu testes les jeux non ? En plus tu dit découvrir la série avec le 3.
La tu critique un jeux avec une ambiance de folie, avec une touche artistique et techniquement au point. Tu bois quand tu testes les jeux non ? En plus tu dit découvrir la série avec le 3.
Et je ne vois pas en quoi le fait de ne pas avoir fait les deux premiers Resistance m'empêche de penser que ce troisième épisode est plus réussi ludiquement que les trois Killzone (que j'ai faits au passage...).
J'ai l'impression que dès qu'on touche à tes sacrés exclusifs à Sony tu t'emballes un peu pour un rien.
Tu excuseras mon ton un peu sec, mais j'ai un peu de mal avec les gens qui manquent de courtoisie.
En manque de conflit ? T'aime pas les débats ? Lire l'article, au vue des 2 autres opus que j'ai fais, le 1er était pas mal avec une bonne ambiance, le 2 comme la si bien dit @Namotep avais un aspect bizarre et le 3 tu ma donné envie de le tester j'avoue mais de la à dire qu'il est mieux que tout les KillZone réuni surtout que KillZone 3 est quand même énorme mais court !
Maintenant excuse moi si j'ai mal compris ton post, mais entre les lettres qui manquent et son contenu qui est contraire à ce que je dis dans le test (je critique quoi au final selon toi, Resistance ou Killzone ??? Aucun des deux au final...), tu n'aides pas beaucoup. L'enchainement de tes phrases et la façon dont tu les tournes me laissent parfois en effet perplexe si tu veux tout savoir.
Killzone 3 était bon, sauf son final qui est une vaste blague, mais il ne m'a jamais vraiment impliqué dans son histoire. Pour moi, la série Killzone a toujours eu un background très riche mais affreusement mal mis en scène dans les jeux. ?8a n'est pas pour ça que je n'ai pas apprécié le jeu (cf la review de l'époque).
Je trouve Resistance 3 meilleur dans sa construction, dans la façon dont il est mis en scène, je le dis et je l'assume. Tu n'es pas d'accord, très bien, mais le mieux avant de me donner tort, ça serait quand même d'y jouer...
PS : Je ne vois absolument pas ce qu'Ico vient faire là dedans à la base.
" Resistance 3 est un vrai divertissement du début à la fin. Il a ses défauts, mais, pour moi, il surclasse aisément en un jeu ce que Killzone a pu faire en trois. Après, c'est aussi une question de goûts "
Pour moi la tu critique KillZone ou je dois être vraiment con et ne plus comprendre le Français oO ?
Mais le prend pas mal surtout c'est de bonne guerre je t'aime bien et je respect se que tu fait mais juste que defois avec l'exemple de ICO ou tu à était un des seul à critiquer la partie technique du jeux...
Tu aimes les jeux vidéos, aucun doute là-dessus, mais aimes tu partager avec tes lecteurs? Être curieux de comprendre pourquoi ils aiment tel ou tel jeu? Communiquer pour aller dans le même sens quoi! Ou préfère tu imposer ce que tu penses?...
Ne prends surtout pas cela comme une attaque personnelle s'il te plait! Je le dis pour que tu te poses la question (car si ça gène c'est qu'il y à ici un petit problème) et que tu deviennes un reporter encore plus accompli que tu ne l'es déjà, car tu fais déjà du très bon boulot, et je t'en remercie! :)
Préfère Resistance 3 ne signifie pas qu'on apprécie pas Killzone 3.
Les moyens techniques ou marketing mis en œuvre par Sony pour supporter les titres de Guerilla ne nous oblige pas à préférer le FPS star de la PS3 au détriment d'autrestitres non?
Et c'est un avis, ça reste subjectif mais tout aussi légitime que le tien (a condition qu'il soit argumenté.... )
C'est quand même grave d'être obligé de le préciser pour que certains ne partent pas dans des délires conspirationnistes...
Je me suis plus éclaté sur Resistance 3 que sur Halo Reach. Dans votre logique, ça veut dire que je pense qu'Halo Reach est mauvais ? Ou que je suis un partisan de Sony ? Si je dis que je me suis plus régalé sur Alan Wake que sur GT5, on me dira l'inverse ?
Quand à ça :
Il s'agit d'un test. Un test (ou critique), malgré toute l'objectivité qu'on essaie de lui donner (points positifs et négatifs blablabla), sera automatiquement le reflet des goûts de celui qui le rédige. Il n'a pas pour ambition d'être une vérité universelle. Je donne mon avis, j'explique que, malgré des lacunes techniques (et une plastique moins aguicheuse que celle de Killzone), Resistance 3 m'a beaucoup plus accroché. Contrairement à d'autres sites, tu as même des vidéos qualité HD pour te faire ta propre idée avant l'achat.
Reste que je ne comprends vraiment pas ce que tu me reproches ici et pourquoi tu en arrives à la conclusion que je dis sûrement n'importe quoi (la boisson tout ça). Enfin bref...
Edit : merci appero, je me sens moins seul. ^^
Sanglierpuceau : je suis tellement peu objectif que dans ma review de Killzone 3, je disais que c'était nul du début à la fin. Mais ça c'est parce que le chèque de Sony est arrivé trop tard... :p
Je descends ton précieux ? Celui pour lequel tu bombardes la shoutbox ou le topic de liens à longueur de journée ? Non, j'ai dis que ce n'était clairement pas le jeu que j'attendais et j'ai évoqué des réserves sur la partie solo que j'ai pu essayer sur PS3 parce que la démo présentée ne montrait rien de plus qu'un énième COD/MOH. Si le solo du jeu s'avère bon au final, crois bien que je saurais le dire. Maintenant, ne me demande pas de m'exciter à la moindre vidéo youtube du jeu, car en effet, je ne l'attends pas. :)
OKay j'arrête la, tout est dit.
Vous avez quel âge pour ne pas comprendre que préférer un film/jeu à un autre, ce n'est pas dénigrer celui qui nous fait moins d'effet. Je vais arrêter là le "débat" (haha), de toute façon, vous n'écoutez pas.
Là, tu me fais juste peur... Oui je l'ai trouvé complètement nul.
On ne peut pas affirmer avoir absolument raison par rapport au plus grand nombre. Dire que les majorités sont connes est un peu facile dans ce cas là, en plus d'être inapproprié (j'anticipe! ^^). Si les gens qui ont matière à penser que telle ou telle chose est ainsi et que Driftwood arrive et affirme le contraire, il fait preuve d'un manque d'objectivité. Il a un avis qui va à l'encontre de l'avis général. Il à alors un avis d' "extraterrestre"! ^^
Un avis d'extraterrestre est super intéressant à entendre, mais il faudrait alors qu'il seconde un avis de terrien! :)
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