Après moult reports, le reboot impatiemment attendu de Tomb Raider s'est enfin livré à nos expertes mains gamersydiennes pour un test sans concession. Comme d'habitude, vous pouvez aussi compter sur une tripotée de vidéos (version Xbox 360 - des vidéos de la version PC seront proposées par Miguel dans le courant de la semaine) pour accompagner comme il se doit notre plantureux article. Nouvelle référence de l'aventure vidéoludique indianaesque ou échec en bonne et due forme ? Nous vous livrons notre verdict sur le retour mouvementé de Lara Croft sans plus attendre !
Plus intellectuelle que femme d'action, la jeune Lara Croft prend part à une expédition visant à découvrir des vestiges du légendaire royaume de Yamatai. Une expédition qui tournera malheureusement court quand le bateau de Lara et ses compagnons, victime d'une tempête aussi violente qu'imprévisible, échouera sur une île étrange et inconnue au large du Japon. Celle-ci étant peuplée d'illuminés adorateurs de la mythique reine Himiko, les Solarii, l'accueil ne sera évidemment pas des plus chaleureux. Isolée et très vite malmenée, la jeune femme devra puiser dans toutes ses ressources mentales et physiques pour échapper à la mort et retrouver ses compagnons d'infortune. Si les personnages secondaires de Tomb Raider n'échappent pas à certains clichés, la narration par flashbacks et le scénario efficace (à défaut d'être terrassant d'originalité) contribuent au final à rendre l'histoire attachante et sympathique. La mise en scène est peut-être parfois un peu trop démonstrative, avec un abus un peu pénible de la fameuse shaky cam, mais cette nouvelle aventure se laisse suivre sans le moindre déplaisir. Quant à Lara Croft elle-même, on redécouvre totalement le personnage via un angle beaucoup plus intimiste et touchant, grâce à un énorme travail d'immersion fourni par les développeurs.
Immersion, voilà bien le mot clé de ce nouvel épisode de Tomb Raider. Rarement aura t-on éprouvé autant d'empathie pour un personnage de jeu vidéo. Éprouvée aussi bien physiquement que psychologiquement, Lara souffre, pleure, crie, et fait montre d'une humanité et d'une fragilité indéniables, renforcées par des animations variées et naturelles et une apparence de plus en plus abîmée au fil du jeu. Mais ce que Lara perdra en innocence, elle le gagnera en expérience et en assurance... un peu trop rapidement, d'ailleurs ; la frêle jeune fille martyrisée se muera vite en prédatrice, massacrant même ses adversaires grâce à des finish moves d'une grande violence, et ce même si les cutscenes continueront de lui en faire baver de toutes les manières possibles - de façon parfois assez maladroite d'ailleurs. Heureusement, cette déferlante de malheurs ne finit jamais par provoquer l'overdose chez le joueur, qui reste donc totalement lié à son héroïne jusqu'au dénouement de l'aventure. Malgré ses maladresses, le travail de Crystal Dynamics porte donc ses fruits, et le but est atteint : Lara Croft est devenue une héroïne vivante et humaine, aux émotions impliquant parfaitement le joueur, totalement en phase avec la baroudeuse en devenir.
Le loot des steppes
Beaucoup craignaient avec ce reboot la transformation de la licence Tomb Raider en un vulgaire Uncharted-like, il n'en est finalement rien. Inutile de nier le côté action bien plus prononcé de ce reboot, mais cette composante de la série est désormais infiniment plus plaisante à jouer. Les gunfights sont réguliers sans pour autant être envahissants, et profitent d'une maniabilité revue et corrigée bienvenue, enfin dans l'air du temps. Fini l'arrosage de plomb en martelant la touche de saut, les combats de Tomb Raider sont maintenant intéressants à jouer et proposent de plus d'excellentes sensations, à commencer par un système de visée libre qui permet de goûter au plaisir des headshots. On n'échappe évidemment pas au classique principe du tir à couvert, mais il faut cependant rester en mouvement autant que possible, car l'ennemi n'hésite pas à servir à Lara des tournées régulières de cocktails molotov et autres bâtons de dynamite.
Des adversaires à l'IA au final assez limitée, capables à la fois d'une visée surhumaine, pour le lanceur de projectiles, et d'une intelligence de taureau en pleine charge, pour le combattant au corps à corps. Crystal Dynamics a fort heureusement privilégié le nombre à la résistance, et nous épargne ainsi la pénible manie des ennemis en kevlar. À quelques rares exceptions près, les échauffourées ne traînent donc pas en longueur inutilement. On ne s'en plaindra pas. La furtivité est d'ailleurs grandement recommandée, en particulier si vous avez opté pour le mode difficile ; Lara étant d'une résistance médiocre (compensée, il est vrai, par la régénération automatique de la santé), abattre les Solarii silencieusement à l'arc ou à coups de piolet dans le dos sera salutaire pour éviter que ceux-ci appellent des renforts et compliquent singulièrement la donne. Soulignons également l'excellent feeling des armes : de la tension de l'arc au recul du pistolet, l'arsenal de Lara n'a jamais paru aussi réaliste, et renforce ainsi le sentiment d'immersion.
Les phases de plateformes profitent aussi d'une maniabilité instinctive qui évite l'automatisation à outrance ; sauts et grimpette s'enchaînent de manière fluide et aisée, avec ou sans accessoires, et les habitués de la série seront ravis d'apprendre que la chute est toujours d'actualité en cas de réflexes tardifs. À ce sujet, il faut noter l'effort de Crystal Dynamics pour intégrer les touches contextuelles à l'écran (hors QTE), comme lorsque Lara doit se rattraper au dernier moment lors d'un saut, ou pour montrer que certains objets sont inflammables. On regrette en revanche un aspect énigme revu à la baisse et surtout cantonné aux sept tombes optionnelles à découvrir. Celles-ci sont hélas bien trop petites, dénuées de pièges (un comble tout de même pour la série) et on ne risque pas la méningite à élucider leurs mystères. Néanmoins, si l'action demeure omniprésente, il faut souligner la volonté des développeurs de varier au maximum les situations, et d'empêcher ainsi toute lassitude ou impression de répétitivité de s'installer au fil du jeu.
Dans le même esprit, l'île maudite profite de décors et ambiances variées, et comblera les joueurs friands de contemplation ou d'exploration en tout genre. Un aspect exploration d'ailleurs essentiel pour la montée en puissance de Lara : points d'expérience et matériaux seront en effet essentiels pour faire progresser votre aventurière. L'expérience pourra être dépensée dans trois catégories de compétences (survie, combat à distance, combat au corps à corps), tandis que les matériaux seront utilisés pour améliorer votre arsenal, qui évoluera également visuellement au fur et à mesure de sa montée en puissance. Pour obtenir l'arc de Rambo, une seule méthode : il faudra écumer les niveaux, fouiller au maximum, piller les cadavres, chasser, cueillir, bref parcourir les environnements en long, en large et en travers, afin de dénicher le maximum de reliques, documents et caisses de matériel, en vue de pouvoir ensuite se reposer au feu de camp le plus proche pour utiliser son bien chèrement acquis.
Des feux de camp qui serviront de checkpoints, et seront les seuls emplacements permettant d'augmenter ses compétences et ses armes. Ces bivouacs permettront une navigation rapide sur l'île grâce à la possibilité de se téléporter d'un feu à l'autre, bien utile pour revenir en arrière et découvrir de nouvelles cachettes grâce aux différents outils découverts en cours de jeu. Un lien de parenté assez évident avec Samus (Metroid) et Raziel (Soul Reaver), puisqu'il devient alors possible de débloquer des chemins inaccessibles jusqu'alors. L'aspect exploration ne déçoit donc pas, contrairement au côté survie pourtant annoncé par les développeurs ; chasse et cueillette ne servent au final qu'au gain d'expérience, tandis que l'amélioration de son matériel se fait de manière automatique, sans qu'aucune interaction ne soit possible exceptée le choix de l'amélioration en question. On aurait aimé pouvoir jouer les MacGyver en herbe de manière plus interactive, ce que aurait permis au joueur de se sentir encore plus impliqué ; croisons les doigts pour que Crystal Dynamics y songe lors d'une éventuelle suite ! Enfin, terminons ce paragraphe en parlant en quelques mots des quelques Quick Time Events qui parsèment l'aventure. Ennemis de nombreux joueurs, ceux qu'on surnomme affectueusement QTE ont heureusement la bonne idée d'être bien implémentés, efficacement mis en scène, et jamais intrusifs. Pour vous dire, il s'est même fallu de peu pour que nous pensions vous en parler dans cet article, preuve que ces séquences cinématiques interactives ne viennent pas se substituer au gameplay trop souvent.
Si le gameplay est sans aucun doute à la hauteur malgré les quelques bémols soulevés plus haut, la partie graphique est également une franche réussite. Protagonistes et ennemis sont parfaitement modélisés, malgré un classique syndrome du clone pour ces derniers. Lara bénéficie également de nombreuses animations, aux transitions certes parfois un peu brutales, mais qui contribuent encore une fois à renforcer l'attachement éprouvé par le joueur ; tout au plus pourra t-on chipoter sur des visages manquant encore un peu d'expressivité. Quant aux décors, ils sont la plus belle claque visuelle du titre : beaux, variés, vivants, les environnements de Tomb Raider sont superbes, et satisferont pleinement les joueurs contemplatifs amateurs de panoramas magnifiques. Les effets ne sont pas en reste, avec des flammes parfaitement rendues ou des conditions climatiques parfois apocalyptiques tout aussi réussies techniquement ; il est d'ailleurs chaudement recommandé de revisiter régulièrement les lieux déjà explorés, leurs ambiances changeant parfois du tout au tout selon le moment de la journée ou les événements vécus. En ce qui concerne l'ambiance sonore, si nous n'avons pas pu juger du doublage français sur notre version, nous pouvons tout de même louer la qualité du travail des doubleurs originaux, notamment de la nouvelle doubleuse de Lara, totalement impliquée et tout à fait crédible. Tour à tour épiques ou tribales selon la situation, les musiques sont elles aussi dignes d'éloges, tandis que les bruits d'animaux et bruissements divers parachèveront une ambiance de jungle plus vraie que nature.
Autre motif de satisfaction, la durée de vie. Alors que la moyenne actuelle tend de plus en plus à la petite huitaine d'heures, on peut raisonnablement dire que celle de Tomb Raider est largement satisfaisante. En effet, il vous faudra une douzaine d'heures en ligne droite pour boucler l'aventure, chiffre que l'on peut aisément gonfler pour obtenir une bonne vingtaine d'heures au compteur si l'on souhaite tout explorer et booster Lara et son équipement au maximum. De plus, une galerie s'étoffera de concept arts et modèles 3D divers au fil des découvertes, même si l'on regrette beaucoup leur taille réduite et l'impossibilité de zoomer sur les superbes artworks débloqués. Sachez également qu'une fois la trame principale terminée, il est possible de revisiter chaque niveau en passant d'un feu de camp à un autre, sachant que vos recherches resteront perturbées par l'arrivée d'ennemis supplémentaires encore mieux équipés que lors de votre premier passage. Enfin, le mode multijoueur, classique mais bien troussé, comblera sans doute un temps les amateurs d'action désireux de continuer à en découdre avec les Solarii une fois la partie bouclée... Difficile de prédire un grand succès à cette partie du jeu, celle-ci étant finalement très classique, mais comme l'aventure solo justifie à elle seule l'achat de ce nouveau volet de Tomb Raider, vous ne risquez pas grand chose à vous y essayer !
Là où skiwi a pu vous fournir un avis des plus éclairés sur l'aventure dans sa globalité, je vais simplement devoir me contenter de vous faire part de quelques impressions fugaces glanées au cours des toutes premières heures de jeu. Comme beaucoup ici, j'ai découvert la série Tomb Raider à sa sortie en 1996 et il n'a pas fallu longtemps pour que je succombe aux charmes de sa jeune héroïne, jusqu'à la suivre dans toutes ses aventures, même les plus mauvaises. Pourtant, au delà des courbes de moins en moins saillantes de Lara Croft, Tomb Raider me fascinait surtout par son mélange réussi d'aventure, de plateforme et de mystères. Aussi, lorsque Crystal Dynamics a décidé de reprendre la franchise pour lui redorer un blason depuis longtemps terni, je n'ai pas hésité une seconde à les suivre dans leur trilogie très respectueuse de l'héritage Tomb Raider, un brelan de jeux qui reste encore aujourd'hui d'excellente facture.
Pourtant, malgré cela, les ventes peinent à soutenir la comparaison avec le renouveau de l'action/aventure incarné par la série de Naughty Dog. À la question "fallait-il que Tomb Raider s'affranchisse de son passé pour mieux renaître ?", la réponse est sans nul doute oui. Tout le monde ne sera évidemment pas d'accord, mais il était nécessaire que Lara prenne un nouveau départ pour espérer rester dans la course. Le résultat est un habile mélange entre ce qui était et ce qui devait changer pour être enfin au goût du jour. On retrouve donc le plaisir de l'escalade, avec un sentiment d'assistance moins important que dans Uncharted, les tombes secrètes (optionnelles) apportent leur lot de petites énigmes à résoudre en souvenir du bon vieux temps, mais tout le reste a indubitablement pris un coup de jeune. Mise en scène, narration, combats, si tout n'est pas toujours dénué de maladresses, tout l'archaïsme d'autrefois respire maintenant la peinture fraîche.
Dès le début de l'aventure, l'ambiance prend littéralement aux tripes, soutenue qu'elle est par des graphismes et des animations qui n'ont rien à envier aux prouesses du Vilain Chien. On nous l'a expliqué des dizaines de fois, Lara n'est pas encore celle que l'on connaît, et si l'on peut clairement regretter la vitesse avec laquelle celle-ci devient une véritable machine à tuer, la relation qui s'établit entre elle et le joueur n'en demeure pas moins très forte. Blessée, transie de froid à cause de la pluie, sur le qui-vive au moindre grognement de loup, Lara devient pour la première fois un véritable être humain. Loin de l'aventurière en contrôle permanent des événements, la voici donc enfin capable de donner au joueur ce qui lui manquait depuis toute ses années : un véritable processus d'identification. Plus besoin de s'appeler skiwi pour enfiler le débardeur de la jeune Anglaise, tout se fait le plus naturellement du monde. Le soin apporté à la mise en scène n'est bien sûr pas étranger à tout cela : les changements d'angles de caméra très cinématographiques sont toujours audacieux et mettent en exergue la fragilité du personnage, mais aussi sa détermination farouche.
Un désir de survie qui se voit cependant facilité par divers choix de l'équipe de développement qui ne plairont pas à tout le monde. Alors que l'environnement s'y prêtait totalement, il ne sera pas nécessaire de panser les blessures de la belle exploratrice, ou de partir en quête de nourriture pour ne pas mourir de faim. Tout ce qui touche de près ou de loin à la chasse ou à la cueillette n'apporte en effet que de simples points d'expérience qui permettent de débloquer des compétences - dont une partie semble d'ailleurs assez inutile, puisque justement axée sur les aptitudes de chasseresse de Lara. Malgré tout, difficile de résister au plaisir de fouiner un peu partout dès que les zones s'ouvrent un peu (ce qui arrive de plus en plus régulièrement à priori), l'occasion de se laisser aller au plaisir de la contemplation. Car oui, je le répète encore, Tomb Raider est vraiment un jeu splendide, et pour dire le contraire, il faut tout de même afficher une sacrée mauvaise foi !
Les choses qui fâchent maintenant ? Sur mon temps de jeu, elles ne sont pas très nombreuses. Commençons par l'IA. Même en mode difficile, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle ne fait pas toujours preuve de beaucoup de jugeote, allant jusqu'à rester à couvert alors que Lara s'avance tranquillement pour le headshot fatal. Le surnombre peut parfois être difficile à gérer, surtout quand les adversaires se décident à venir au contact, mais cela n'empêche pas quelques situations assez ridicules en quelques occasions. Autre cocasserie, les automatismes de Lara quand elle se baisse seule pour se mettre à couvert ou en position furtive. Le mouvement a beau se faire avec beaucoup de naturel (et de classe), il a beau s'avérer bien pratique, quand les choses commencent à mal tourner, difficile de ne pas pester quand on la voit continuer de courir jambes fléchies alors qu'un ennemi la suit de près (on pense par exemple aux pénibles adversaires affublés d'un bouclier...).
Étrange également de voir que l'île entière regorge de carquois, qu'on se balade dans un sous-bois, un village, ou un bunker de la seconde guerre mondiale. On imagine que les développeurs ont dû penser qu'il serait malheureux de se trouver à court de munitions trop souvent, mais tout de même. Difficile en effet de rester la proie bien longtemps avec un tel arsenal, ce qui est d'autant plus dommage que le début de l'aventure est une franche réussite dans le genre. Plus anecdotique, les superbes effets de propagation du feu (qui rappellent d'ailleurs ceux du malheureux Alone in the Dark) manquent de réalisme, la faute à une combustion du bois bien trop rapide et efficace (les débris qui bloquent la progression disparaissent en effet en un simple battement de cil). Pour le reste, en dépit de timings un peu serrés lors de certains QTE, les choix de Crystal Dynamics vont dans le bon sens, à commencer par les gunfights qui ressemblent enfin à quelque chose. Une vraie bénédiction quand on repense à tous les épisodes passés.
Tous les commentaires (126)
PS : Sinon, j'ai contacté Dr Chocapic de GK, et selon lui aussi, le Tress FX serait également géré par la cartes Nvidia.
Vous avez intérêt à la lire au moins deux.
Relis bien le texte ta réponses est dedans :) Je m'y colle aussi.
Les animations sont top, la mise en scène classe. Vraiment ça donne envie de jouer!
Le son a l'air top aussi, et si la durée de vie suit et que l'histoire tient la route, on tient la une pépite. Enfin un triple A qui fait l’unanimité?
Le jeu respire la réussite, ça fait plaisir. Je le jouerai un jour...
On voit les joueurs s'insurgés déjà par le manque d'énigme,le coté action trop présent alors rajouter un coté survival ça les auraient surement achever mais j'espère vraiment qu'ils vont aller droit dans cette direction pour le prochain épisode.
Espérons que CD continuera cette mutation dans le bon sens et en douceur avec un épisode 2 qui corrigera certains défauts déjà.
Au fait, vous conseillez de commencer à quel niveau de difficulté? Difficile j'imagine pour être un peu de challenge.
Aller je suis un ouf je matte les vidéos :p
edit: Globalement rien à signaler au niveau du framerate donc? On est dans du autour des 30fps stable?
j'attends impatiemment vos vidéos de la VERSION PC avec le fameux TressFX activé :)
je ne veux pas regarder les vidéos mais comme je suis aussi faible que GTB :)
Sinon le mode normal porte bien son nom, à toi de voir si tu veux transpirer un peu pendant les combats ou non ^^
Si je l'ai lundi, je sais pas encore si je vais partir direct à l'aventure ou attendre mardi voir si un DLC vo est dispo. Rah vivement les vost systématiques, prout!
edit: Et les vidéos GSY ça me change des vidéos qualité de merde que je me tape depuis hier. Alleluia!
EDIT: Sinon j'ai commencé la préparation de ma femme, pour qu'elle joue avec moi (et ne me regarde pas d'un œil circonspect comme à chaque fois qu'elle me voit jouer aux JV), alors j'ai balancé du "mais tu voiiiis, c'est une fiiiiiiille, alors ça va te plaiiiiiire, au début elle est nulle comme toi (hum...) et puis elle devient une super warriooooor, c'est cool, y a de l'aventuuuuuure"... Bon ça a l'air de marcher à peu prêt, elle a l'air emballée. ^^"
Je rejoins face2locuste pour le côté survie, il a l’air tout de même excellent ;)
2 reviews pour le prix d'une, bonne idée :)
Par contre, peut-on avoir recours à l'infiltration à peu près tout le temps si l'on essaie fort, ou bien doit-on souvent se résoudre à employer les grands moyens?
Textes instructifs en ce qui me concerne.
Je me laisserai peut-être tenter du coup. :)
J'ai cependant peur de ne pas pouvoir y jouer avant sa sortie officiel étant donné les ultimatums posés par les activation via internet...
Parce que dans le genre je pioche à peu près tout ce qui caractérise le jeu apparu depuis le début de la génération PS360, il se pose en maitre ce reboot....
Je comprends pas ensuite qu'on puisse autant critiquer les autres jeux (i.e. faire son blasé sur Uncharted par exemple; oui, j'en ai vu ici...), et venir ensuite nous dire que ce reboot, c'est comme s'il avaient vu la vierge.
Ah ouais mais non là c'est CD, eux ils ont un passe-droit tu comprends, interdit de dire que c'est de la merde et qu'il ont fait de TR un TPS de plus, aussi générique que toute la brassée de TPS sortis avant lui.
Les QTE font chier tout le monde, mais dans ce TR... ils sont bien ^^. Les ennemis adoptent une IA conne comme un âne, mais dans ce TR ça passe super, ça nique pas le jeu. L'aspect énigmes -caractéristique de TR- a été revu à la baisse (voire même devenu carrément optionnel à ce que je comprends :o), comparé à l'action qui a vraiment pris le dessus, mais hop, tout ça, comme une lettre à la poste... :D Pas bien grâve, vous en conviendrez.
Ah mais oui, c'est con d'oser critiquer, ça fait genre on n'a pas beaucoup d'ouverture d'esprit. Mieux vaut savoir ouvrir son f..., c'est sûr.
Vous avez compris... perso je suis archi pas convaincu. Driftwood avait réussi à me vendre Underworld (que j'avais pas trop trop mal aimé, malgré les bugs entrainés par les animations archaïques de Lara. Comparé au côté smooth de celles de Nathan Drake), mais là celui là... j'attendrai une réédition HD dotée du TressFX sur console nextgen pour pouvoir (peut-être) m'y essayer.
En tous cas hors de question de payer plein pot et encourager CD à continuer à faire du shoot tout ce qu'il y a de plus générique, et qui n'hésite pas à répudier ses origines sur le sacro-saint autel du dieu argent.
Enfin ouvrir son commentaire sur "Nia nia si c'était pas une femme skiwi n'aurait pas aimé..." c'est la chose la plus débile que j'ai lu sur ce forum depuis des mois. Le type fait l'effort de jouer au jeu après les autres sites puisqu'on l'a reçu assez tard. Il arrive à le terminer et à rédiger une review conséquente et tout ce que tu trouves à dire c'est qu'il est pas capable de juger un jeu avec une femme pour personnage principal. Franchement si j'étais lui je viendrais t'insulter. De plus il n'évoque même pas Uncharted dans sa critique. Jeu que presque tout le monde adore dans notre équipe et sur le site. Bref. La prochaine fois tu peux éviter tes pavés ridiculement négatifs et plutôt blessants pour des gens qui font tout ça gratuitement.
Bref, chacun son avis pourvu qu'il soit un minimum constructif.