Alors que la Xbox One avait déjà droit à son volant Fanatec depuis 2015, les possesseurs de Playstation 4 ont pu se sentir légèrement lésés pendant une bonne année. Depuis 2016 en effet, le constructeur allemand a enfin proposé une version du CSL Elite compatible avec la console de Sony. La période étant propice aux cadeaux et aux petites folies, la rédaction de Gamersyde revient sur les qualités et les défauts de ce périphérique, dans ce qui sera pour nous la dernière review de cette année 2017. On espère sincèrement que vous apprécierez la démarche et que vous n'hésiterez pas à nous faire part de vos commentaires, qu'ils soient positifs ou négatifs. Bonne lecture et excellentes fêtes de Noël !
Fanatec et Gamersyde, c'est une longue histoire qui remonte à l'époque où nous recherchions un volant polyvalent capable de fonctionner à la fois sur Xbox 360, Playstation 3 et PC. Maître dans son domaine à cette période, le G25 de Logitech était malheureusement interdit de séjour sur la console de Microsoft, et l'investissement dans un périphérique limité dans son utilisation nous freinait énormément. Heureusement est arrivé le constructeur allemand Fanatec, qui affichait déjà un certain savoir-faire, avec une approche artisanale de la confection des volants et de leurs accessoires. On pouvait certes trouver que la finition n'était pas toujours aussi léchée que sur les appareils destinés au grand public, mais la qualité de la fabrication faisait de leurs volants des produits de très bonne qualité en comparaison de ce qui se vendait en tant que volant officiel chez Microsoft (volant que nous avons possédé pendant un temps). En produisant une version multi-plateforme du Porsche 911 Turbo S, Fanatec visait évidemment un public de passionnés un peu plus aisés, mais sans forcément exagérer sur les prix. Le bundle comprenait alors un volant de très bonne facture, un set de pédales en plastique avec un frein qui offrait une résistance bienvenue, et deux shifters (un séquentiel et une boîte en H) assez bruyants mais suffisamment solides pour résister aux pires sévices pendant quelques années. Un premier achat que nous n'avons jamais regretté, avec un affichage LED des boutons de façade qui permettait de passer d'une console à l'autre en affichant les bons symboles ou les bonnes lettres (croix, carré, triangle et rond sur PS3 et A, B, X et Y sur 360). Au passage, précisons que nous avions également acheté le wheelstand de la marque pour jouer plus confortablement que sur un meuble quelconque.
Plus tard, nous avons de nouveau investi dans la première version Clubsport du pédalier, en métal cette fois, avec sa gestion des vibrations de l'ABS pour les jeux qui avaient la bonne idée d'implémenter la fonction. Tout aussi satisfaits de notre nouvel investissement, nous ne pouvions décidément plus revenir à la manette pour les jeux de voiture et, si nos performances n'étaient pas toujours aussi percutantes que nous l'aurions voulu, ce n'était jamais à mettre sur le compte du matériel, globalement précis et agréable à prendre en main. Dernier achat en date, le tout premier shifter Clubsport de Fanatec nous a ensuite enfin permis de nous libérer complètement des nuisances sonores de ceux du bundle d'origine, qui avaient décidément fait leur temps. Une fois de plus, le produit était d'excellente qualité, robuste et agréable à manier, avec une septième vitesse qui n'était malheureusement pas compatible avec la base de volant que nous possédions - qui commençait à dater très sérieusement. Sur PC, il était heureusement possible de contourner le problème en branchant le levier de vitesse en USB, dans les jeux qui autorisaient la chose évidemment. Malheureusement, l'âge avancé de notre Porsche 911 Turbo S allait se confirmer de jour en jour, avec l'impossibilité de l'utiliser sur PS4 et Xbox One, mais aussi du fait de son abandon par quelques studios sur PC, certains ne prenant plus la peine de l'incorporer dans la liste des périphériques compatibles. Bon gré mal gré, nous étions donc obligés de revenir à notre bonne vieille manette, au point d'oublier petit à petit tous les bienfaits que peut pourtant apporter un bon volant. Une réalité qui est finalement revenue nous frapper en plein visage à l'occasion de cette review, Fanatec ayant gentiment accepté de nous faire confiance en nous faisant parvenir un CSL Elite pour Playstation 4 et PC, accompagné d'une roue Xbox One pour rendre la base compatible avec la console de Microsoft.
Première constatation, en une quasi décennie, les prix de la marque allemande ont nettement augmenté, ce qui s'explique avant tout par la qualité accrue des matériaux utilisés. Si en 2009, un bundle volant multi-plateforme 3 pédales/2 shifters (plus palettes) coûtait la bagatelle de 340€, aujourd'hui les choses ont quelque peu changé. Le CSL Elite compatible PS4 et PC est en effet disponible à 519.95€, avec un pédalier modulaire qui ne propose que deux pédales (un kit individuel étant disponible pour en ajouter une pour 139.95€ tout de même). Pour être en mesure de rendre la base compatible avec une Xbox One, il faudra ajouter le prix d'une roue (99.95€) ou même ce modèle qui nous a été envoyé (179.95€), pour un total de 759.85€ ou 839.85€ - sans compter le wheelstand dont vous aurez éventuellement besoin si vous ne pouvez pas fixer votre volant sur une table ou un bureau. Un investissement non négligeable bien sûr, mais qui reste plus intéressant que l'achat de deux volants de la même gamme d'une autre marque dans le cas où vous posséderiez une PS4 et une Xbox One. Vous l'aurez compris, Fanatec s'adresse désormais à une frange de joueurs plus fortunés, sachant que le constructeur propose des wheelbases, roues, pédaliers, etc. nettement plus chers que le starter kit que nous avons reçu. Le marché sim racing étant devenu conséquent aujourd'hui, ce n'est pas une surprise, et compte tenu de la qualité générale du matériel, les tarifs ne nous paraissent pas exagérés. Explications.
Ce ne sont pas moins de quatre colis différents que nous avons reçus il y a de cela un mois et demi. Dans le premier, le volant lui-même (la wheelbase et la roue PS4 de 30 cm de diamètre), ainsi que trois petites plaquettes de boutons proposant des symboles automobiles (frein à main, feux, essuie-glace, réglage du siège, etc.) ou d'autres types de pictogrammes (flèches, boutons +/-, numéros). La boîte inclut également un jeu de touches PS4 supplémentaire, pour un éventuel futur achat d'une roue Clubsport par exemple. Ces boutons en plastique sont donc interchangeables, mais l'opération est un peu délicate quand on veut éviter d’abîmer ceux que l'on enlève avec une pince, la façade en aluminium brossé du volant pouvant également faire les frais des manipulations les moins habiles. Ceci étant dit, cette option de personnalisation est une très bonne chose pour ceux qui souhaiteraient investir dans plusieurs roues dédiées à différents sports auto. La qualité du plastique utilisé pour ces boutons est satisfaisante, même si ce n'est pas à ce niveau que le CSL Elite brille particulièrement. Le bundle inclut aussi un classique système de pince pour fixer correctement le volant à une table si vous ne possédez ni cockpit, ni wheelstand. La version PS4 du CSL Elite est composée d'un mélange de suède avec coutures apparentes bleues (pour un rendu très réussi) et de cuir micro-perforé agréable au toucher, tandis que la roue Xbox One (30 cm également), reçue dans un colis à part, ne propose qu'un habillage à base de daim cousu main (fil rouge cette fois). Sur notre temps d'utilisation, nous n'avons constaté aucune marque d'usure, ce qui semble confirmer nos premières impressions sur la qualité des matériaux utilisés.
La façade du volant en aluminium brossé est quant à elle du plus bel effet, sur PS4 comme sur Xbox One, et elle donne une grande classe à l'ensemble. Les deux roues possèdent également un affichage numérique qui peut servir à afficher le rapport enclenché ou la vitesse de la voiture quand le jeu incorpore ces fonctionnalités. Bel effort également pour les palettes, d'un tout autre niveau que celles du Porsche 911 Turbo S. Plaisantes au toucher, avec le petit clic que l'on est en droit d'attendre d'elles à l'utilisation, elles sont surtout très accessibles, car suffisamment longues sur leur partie supérieure. Chaque roue incorpore évidemment le bouton de "guide" de chaque constructeur, de manière à revenir au menu principal de la console en un clin d'oeil. Un petit joystick permet aussi de naviguer naturellement dans les menus, ce qui donne une ergonomie globale particulièrement bien pensé, avec des boutons nombreux et accessibles. Toutes les touches des deux manettes officielles répondent donc à l'appel, ce qui inclut même celle de la fonction Share sur PS4. Un dernier bouton donne accès aux réglages internes du volant où, comme pour le Turbo S, il est possible de sauvegarder 5 presets de réglages distincts. Là, on peut modifier à l'envi le rayon de braquage, la puissance du retour de force et des vibrations, le déclenchement des vibrations de l'ABS (quand le jeu est compatible et que l'on possède le pédalier Clubsport), le mode drift (pour rendre le volant plus souple - il existe plusieurs valeurs), mais aussi l'amplitude de freinage (on peut par exemple décider de ne pas devoir appuyer sur la pédale au maximum pour atteindre les 100%). Un nouveau paramètre a également été implémenté depuis le mois d'août, le FEi (Force Effect Intensity), donnant la possibilité de minimiser les bruits mécaniques du volant lorsque le retour de force entre en action.
Enfin, parlons de la base du volant, à laquelle on peut donc fixer n'importe quelle roue compatible très rapidement. Précisons tout de même qu'il n'est pas possible de détacher le volant en place sans utiliser la clef Allen fournie. Au delà de ce petit détail, l'opération est d'une simplicité enfantine et demande quelques secondes à peine, ce qui fait que l'on ne rechignera jamais à passer d'une console à l'autre. L'esthétique générale de la base est aussi très réussie, avec une façade en aluminium brossé similaire à celle de la roue, le logo Fanatec étant fièrement plaqué sur sa gauche en lettres blanches. La base dispose d'un bouton power totalement intégré qui donne l'impression d'une finition bien plus travaillée que celui de notre Turbo S de 2009, plus "artisanal" dans sa conception. Sur la partie supérieure de la base, Fanatec a ajouté ce que l'on appelle des Rev-LEDS, qui simulent le compte-tours sur les jeux/machines qui le permettent. Sous le bouton de mise en marche se trouve un autre interrupteur très important pour le fonctionnement du volant, puisqu'il permet de changer de mode pour s'adapter à l'appareil sur lequel il est branché. Sur PS4, la LED peut être de deux couleurs. En bleu, le volant est en mode PS4, c'est à dire qu'il fonctionnera avec tous les jeux qui incluent le CSL Elite dans leur liste de volants supportés. Mais Fanatec a également pensé à ajouter un mode compatibilité, la LED passant alors au violet/mauve. Dans ce mode, il devient possible de profiter du périphérique sur la plupart des titres qui ne le prennent pas officiellement en charge. On pense par exemple à DriveClub, ajouté via une mise à jour du firmware il y a peu, mais aussi Gran Turismo Sport, Polyphony Digital n'ayant toujours pas incorporé de modèles de la marque dans son jeu. Heureusement, cette forme d'émulation fonctionne parfaitement et profite réellement des qualités du retour de force du volant. On ne sait pas exactement comment Fanatec a procédé pour rendre cela possible, mais ce qui est certain, c'est que l'option est une vraie bénédiction. Concernant les autres plateformes enfin, en mode PC, la LED passe au rouge tandis que sur Xbox One, c'est le vert qui confirme la prise en charge du volant par la console.
L'une des préoccupations de tout acheteur de volant est assurément de se renseigner sur les éventuelles nuisances sonores qu'il pourrait provoquer. Au delà du bruit causé par l'action du retour de force et des vibrations, sur lequel on peut agir en partie grâce à la nouvelle fonction FEi intégré au volant (et, si nécessaire, en baissant le niveau des vibrations dans le jeu lui-même), il reste logiquement la question de la ventilation de l'appareil. Il est toujours assez compliqué d'aborder le sujet tant le ressenti peut varier d'une personne à l'autre. En toute objectivité, lorsque les ventilateurs se mettent en marche pour réguler la température de l'appareil, on les entend assez nettement, mais jamais au point de couvrir les bruitages du jeu lancé sur la console ou le PC (lui aussi potentiellement bruyant). Si vous êtes coutumier du casque audio, vous ne serez évidemment pas gêné, mais certains auront peut-être envie de montrer le volume lorsqu'ils joueront sur leur système home cinema. Ceci étant dit, même en faisant passer le son par notre ampli, on ne peut pas dire que nous ayons souffert du bruit occasionné par la mise en route des ventilateurs du volant. Ces derniers ne tournent heureusement pas en permanence, aussi, malgré un bruit notable, nous n'avons pas trouvé que le CSL Elite était spécialement plus bruyant que les autres périphériques du genre que nous avons pu essayer. Tout aussi important pour l'acheteur potentiel, le système inclus pour fixer le volant à une table est fonctionnel, mais très clairement moins efficace que lorsque l'on visse l'appareil sur un stand ou un cockpit. Pour le monter solidement sur ces derniers, il vous sera nécessaire d'enlever deux gros blocs en plastique situés sous la base, la clef Allen permettant de le faire n'étant par contre pas fournie dans le bundle. N'oublions pas non plus de préciser que les volants Fanatec doivent obligatoirement être branchés en USB à la console (ou au PC), mais aussi à une prise murale (via l'imposante alimentation externe).
Habitués au tout premier pédalier Clubsport sorti par Fanatec il y a plusieurs années (l'actuelle version est affublée du numéro 3), nous étions quelque peu circonspects à l'idée de découvrir celui du CSL Elite. Mélangeant une majorité d'éléments métalliques (aluminium) et quelques parties en plastique, la finition était pourtant bien supérieure aux pédales incluses dans le pack du 911 Turbo S en 2009, mais l'idée de passer de la gamme clubsport à celle en dessous nous plaisait moyennement. Mais avant de vous donner notre verdict sur la qualité de l'ensemble, revenons tout d'abord sur le contenu du bundle CSL Elite. Ne disposant que de deux pédales (frein et accélérateur évidemment), il demande tout d'abord quelques minutes de montage, c'est à dire qu'il vous faudra fixer les deux pédales sur leur base. Chose intéressante, le joueur est laissé totalement libre quant à leur placement, même si cette option de personnalisation est surtout pratique quand on en ajoute une troisième. De base, le frein proposé manque un peu de résistance, et pour cause, la pédale deviendra votre embrayage si vous investissez dans le Loadcell Kit. Ce fameux kit que nous évoquions en début d'article comprend en effet une pédale de frein bien plus ferme que celle d'origine, et surtout, entièrement paramétrable. Plusieurs jeux de capteurs de force de différente résistance (65kg/85kg/95kg) sont donc inclus dans le pack, permettant de choisir précisément la dureté du freinage. Cinq de ces petits cylindres en élastomère doivent être placés sur la tige de la pédale, sachant que l'on peut tout à fait mélanger les différentes résistances pour obtenir précisément ce que l'on désire. Cela n'a l'air de rien dit comme cela, mais cette flexibilité de l'installation, qui peut d'ailleurs se faire en quelques secondes une fois le pédalier fixé au stand, est un atout non négligeable. Pour le prix, il ne faudra par contre pas espérer profiter des vibrations pour l'ABS, réservées au modèle Clubsport, qui navigue lui dans d'autres sphères tarifaires. La boîte contient tout de même deux types de coussinets pour les pédales, en caoutchouc par défaut, mais il est également proposé un modèle antidérapant, toujours dans l'optique de donner beaucoup de liberté pour personnaliser son expérience. Un mot rapide sur les connectiques RJ12, remplaçantes des ports PS/2 qui étaient l'apanage de notre ancien volant Fanatec et de notre pédalier Clubsport V1.
Il faut savoir que le CSL Elite utilise quelques éléments de la version Clusport, bien plus onéreuse, de manière à fournir la meilleure expérience FFB possible. Le volant repose sur une motorisation que l'on appelle brushless dans le jargon, ce qui est censé apporter une plus grande souplesse et permettre bien plus de nuances dans la conduite, mais attention, ce modèle n'est pas Direct Drive. Nous détaillerons notre ressenti jeu par jeu un peu plus bas, mais pour parler de façon plus globale, la fluidité avec laquelle la roue tourne amène un confort particulièrement appréciable. La puissance du retour de force, capable de développer jusqu'à 6Nm de couple, est largement suffisante pour une utilisation normale, et il n'est d'ailleurs pas rare de devoir la diminuer légèrement (via le jeu ou le volant) pour éviter de trop se fatiguer (ou de se blesser). La taille de la roue (30 cm on le rappelle) est parfaitement adaptée pour les longues sessions, et à partir du moment où l'on est bien installé et que le jeu est correctement calibré, on ne voit plus le temps passer. Malgré nos premières impressions mitigées sur le pédalier, et plus précisément la pédale de frein d'origine, celle incluse dans le Loadcell Kit s'est avérée plus précise que nous le pensions. Après des débuts moyennement convaincants, elle a finalement su se montrer très efficace, comme s'il lui avait d'abord fallu passer par une courte période de rodage avant de révéler son plein potentiel. On lui préfère toujours notre bon vieux Clubsport V1 pour les matériaux utilisés et les sensations qu'il procure, mais pour le prix demandé, le pédalier CSL Elite est un très bon investissement qui autorise une conduite toute en subtilité.
De tous les jeux que nous avons pu tester sur Playstation 4 Pro, c'est sans nul doute celui pour lequel l'essai avec le volant aura été le moins concluant. À l'inverse de DiRT 4, qui retranscrit assez subtilement les anfractuosités de la piste, tout en donnant suffisamment d'informations au pilote pour qu'il puisse anticiper les pertes d'adhérence, le titre de Kylotonn manque cruellement de feedback. Il existe pourtant une myriade d'options de réglage dans le menu du jeu, mais nous ne sommes jamais parvenus à obtenir un résultat totalement satisfaisant. WRC 7 demeure néanmoins plaisant au volant, et plus exigeant qu'à la manette d'ailleurs, mais il lui manque la précision qu'un périphérique comme le CSL Elite devrait pouvoir lui apporter, ce qui semble difficile à atteindre compte tenu de la gestion du FFB par le jeu lui-même. Il est bien évidemment possible de se tourner vers les réglages internes au volant, suffisamment nombreux pour personnaliser l'expérience en fonction des exigences du joueur, mais le manque de sensations étant plus à mettre sur le compte de l'intégration du volant dans le jeu qu'autre chose, il nous semble difficile d'obtenir quelque chose de véritablement convaincant. Au gré de quelques efforts, nous avons finalement obtenu un compromis acceptable, mais encore loin des bonnes impressions que nous avions ressenties pendant la Gamescom, sur PC il est vrai.
Sans nécessairement devoir passer par de fastidieux réglages dans les menus du jeu, la réactivité du CSL Elite est tout à fait correcte d'entrée de jeu. Que l'on roule sur l'asphalte ou une surface meuble, le titre de Codemasters parvient à restituer comme il se doit les sensations que l'on est en droit d'attendre d'un jeu de rallye. La conduite étant plus exigeante que dans le jeu de BigBen Interactive, il faut immanquablement faire preuve de plus de prudence lors des freinages, qui peuvent assez facilement faire partir la voiture en tête à queue quand on les aborde maladroitement. Heureusement, la gestion du retour de force et des vibrations permet de corriger la plupart de ses erreurs, à condition de ne pas s'y prendre trop tard. Seul petit bémol, la rigidité de la direction qui oblige à mettre les mains dans le cambouis via les paramètres du jeu lui-même et/ou du volant. Le bilan est donc très positif, avec une immersion accrue qui passe cependant par un réel apprentissage des tracés et du comportement des voitures, sous peine de ne pouvoir tirer au mieux parti des forces du volant.
La très bonne surprise de cette série de tests, le jeu de Slightly Mad Studio, toujours assez capricieux à la manette à cause d'un certain manque de précision, prend une nouvelle dimension grâce au CSL Elite de Fanatec. Les réglages disponibles dans le jeu sont assez variés pour permettre de trouver le compromis adéquat, et il existe d'ailleurs trois presets de base avec une explication détaillée de leur nature. En utilisant le réglage Raw, le retour de force est puissant sans pour autant tomber dans l'exagération, et les mouvements du volant restent fluides et souples. À l'inverse de la manette, souvent avare en feedback, on ressent bien les différentes aspérités de la route ainsi que le début des pertes d'adhérence. Conséquence logique, il est bien plus aisé de corriger ses erreurs et d'éviter la sortie de piste. Sur les tracés de rallycross, le constat est tout aussi bon, avec un revêtement meuble que l'on ressent bien via les vibrations constantes du volant, qui n'empêchent cependant pas de percevoir les moments où le train arrière chasse un peu trop. De même, les cahots de la route sont aisément perceptibles grâce à la bonne gestion du FFB. Un jeu que l'on conseille donc à tous avec un bon volant, le CSL Elite de Fanatec se posant comme un excellent choix si votre budget vous le permet.
Moins habitués aux monoplaces qu'aux autres catégories des sports mécaniques, nous avons tout de même lancé le dernier né des écuries Codemasters avec le CSL Elite de Fanatec. Beaucoup plus réactif que la plupart des jeux de voiture, il faut tout d'abord s'habituer à la direction sensible et aux freinages particulièrement efficaces des Formules 1 pour prendre de nouveaux repères. De même, la présence de huit rapports sur les boîtes de vitesses demande un petit temps d'adaptation. Avec la roue circulaire que nous avons reçue, on perd peut-être un peu en immersion dans ce type de jeu, même s'il reste possible d'investir dans une forme plus adaptée pour les plus acharnés.
Jouable avec le volant de Fanatec grâce au mode compatibilité (le studio Evolution n'étant plus depuis mars 2016, seul le constructeur allemand pouvait rendre son périphérique compatible), DriveClub assume sa dimension arcade en restant très simple d'accès, sans forcément obliger le joueur à passer par la case réglages. On garde certes un peu l'impression d'être très assisté dans sa conduite (même en désactivant l'aide à la direction), mais le volant réagit bien et ne manque pas de précision. Un bon petit bonus pour ceux qui désespéraient de ne pas pouvoir s'y essayer autrement qu'à la manette, la liste des volants officiellement compatibles étant vouée à ne plus jamais évoluer. Le travail de Fanatec sur le mode compatibilité est donc une excellente chose, tant sur les titres plus anciens que sur ceux, plus récents, qui n'incluent pas encore le CSL Elite dans leur liste de périphériques pris en compte. Et c'est justement le cas du prochain jeu dont nous allons parler pas plus tard que maintenant.
On le sait, le jeu de Polyphony Digital est encore loin de proposer un contenu satisfaisant, mais compte bien s'étoffer avec le temps, comme en atteste d'aileurs l'arrivée du mode carrière hier. Il en va de même pour la liste de ses volants officiellement supportés, pour le moment assez limitée. À la sortie de GT Sport, Fanatec a annoncé que le studio japonais n'avait pas eu le temps d'incorporer le CSL Elite, mais que cela se ferait certainement dans un futur proche. Las, aujourd'hui encore, rien n'a changé à ce niveau, et il faut toujours se contenter des quelques modèles Thrustmaster et Logitech proposés dans le menu du jeu. Heureusement, le constructeur allemand peut compter sur le mode compatibilité de son volant pour ne pas laisser ses utilisateurs sur le carreau. Si nous ne pouvons à l'évidence pas faire de comparaison entre un volant supporté officiellement et un volant fonctionnant en mode compatibilité, nous pouvons cependant confirmer que les sensations sont excellentes avec le CSL Elite. Un rapide passage dans les réglages du jeu pour assouplir un peu la direction permet d'obtenir un comportement très réaliste et naturel de la roue, aussi bien sur bitume que sur terre. Car en effet, la grosse plus-value d'un volant par rapport à la manette, c'est le regain d'intérêt dont profite l'aspect rallye du jeu. Là où les sensations au pad étaient plutôt mauvaises, avec la désagréable impression de jouer à un Ridge Racer sans saveur et sans réel feedback de la piste, elles deviennent nettement plus réalistes et intéressantes derrière un bon volant. On ira même jusqu'à dire que le bilan s'avère plus satisfaisant que dans certains des jeux dédiés dont nous parlions plus haut, dans une certaine mesure du moins (les tracés laissant tout de même fortement à désirer). Sur l'asphalte, la précision n'est pas en reste, avec des réactions logiques et réalistes du retour de force, et une très grande précision dans la prise de virage. Un bilan enthousiaste donc, pour un jeu qui propose donc d'excellentes sensations à la manette comme au volant.
Titre phare de la console pour tous les amoureux de la simulation automobile, le jeu de Turn 10 Studios demande de passer quelque temps dans le menu des réglages du volant pour être complètement fonctionnel. De base, la dureté de la roue rend les tours de circuits inutilement éprouvants, mais une fois que l'on a cerné la fonction de chacun des nombreux paramètres, on se croirait véritablement dans un bolide taillé pour la course. Nous avons également testé différentes configurations sur le volant lui-même, en baissant notamment la puissance du retour de force, et cette souplesse supplémentaire est indéniablement un plus, d'autant qu'il n'est pas nécessaire de passer par un logiciel externe (l'affichage digital sur la roue permettant de naviguer aisément entre les différentes options et de les modifier à la volée). Sur la Nordschleife, notre circuit de prédilection à de nombreux égards, c'est un réel bonheur d'enchaîner les tours en boucle, ce que l'on ne parvient personnellement jamais vraiment à faire très longtemps en jouant à la manette. Le volant apporte donc un confort et une immersion non négligeables, au point que l'on réalise très vite pourquoi il est important d'investir lorsque l'on possède la place et le budget pour. Si Forza Motorsport 7 est excellent à la manette, il prend une autre dimension une fois derrière le CSL Elite, mais comme tous les périphériques du genre, il ne faut pas oublier que tous les titres du marché ne seront pas obligatoirement plug and play et qu'il faudra passer par la case réglages avant de pouvoir briller sur les circuits.
Reconnu immédiatement dès le lancement du jeu, le CSL Elite de Fanatec est totalement compatible avec le jeu de Playground Games, ce qui n'est pas une surprise puisqu'il partage tout de même une partie de son ADN avec la franchise Motorsport. Ceci étant dit, nous avons trouvé la gestion de la conduite sur terre particulièrement délicate en comparaison du gameplay à la manette. Là où les routes australiennes peuvent être arpentées à plus de 300 km/h sans le moindre souci, il devient nettement plus compliqué de contrôler son véhicule sur les sentiers sablonneux de la map. La voiture a une nette tendance à partir en tête-à-queue, la montée dans les tours ne pardonnant absolument rien en première et en seconde. La gestion de l'accélération nous semble exagérément subtile, mais cela provient peut-être aussi des réglages de sensibilité de l'accélération, mal adaptés pour le jeu.
Étonnamment, le comportement du volant CSL Elite s'est avéré assez différent sur One pour ces deux titres. Avec une roue nettement plus difficile à tourner par défaut, il faut immanquablement modifier quelques paramètres dans les options des jeux pour obtenir un contrôle convenable du véhicule. Encore une fois, c'est du côté de Project CARS 2 que les sensations s'avèrent les plus convaincantes, puisqu'une fois les bons paramètres trouvés, le plaisir de conduite est indéniable. On se sent réellement maître de son véhicule et de la piste, ce qui est loin d'être toujours le cas sur le jeu de Kylotonn. Comme sur PS4, en modifiant un certain nombre de réglages, nous sommes cependant parvenus à améliorer les sensations de pilotage, jusqu'à les rendre plus naturelles. Le manque de vibrations sur le gravier ou la terre se fait toujours cruellement sentir, mais il est au moins possible de prendre du plaisir. Le jeu n'est toutefois clairement pas indispensable au volant sur PS4 et Xbox One.
S'il peut sembler incongru de nous voir revenir une troisième fois sur le jeu de Slightly Mad Studios, il n'est pourtant pas inutile de se pencher sur cette version du jeu et la manière dont elle intègre les volants. En effet, sans que l'on sache très exactement pourquoi, avec les mêmes paramètres d'aide à la conduite et le même véhicule, nous avons trouvé qu'il était beaucoup plus facile de perdre le contrôle de la voiture sur PC que sur les deux consoles. Par exemple, rétrograder directement de la quatrième en seconde avec notre levier de vitesse en H se faisait sans problème lors de notre session sur Xbox One, tandis que sur PC, le risque de sentir l'arrière du véhicule chasser était particulièrement grand. Ce n'est évidemment pas un défaut, car la conduite demande encore un peu plus de subtilité et une attention de chaque instant. Quoi qu'il en soit, Project CARS 2 nous a une nouvelle fois emballés avec le CSL Elite, qui se comporte décidément parfaitement avec le jeu de SMS.
Déçus par les sensations sur le jeu dans ses versions PS4 et Xbox One, nous avons redécouvert le titre de Kylotonn au volant une fois lancé sur PC. On ne doute pas que l'apport des 60 images par seconde n'est pas étranger à cela, le gain de précision dans les contrôles n'étant pas négligeable évidemment. Les différences ne s'arrêtent pas là néanmoins. Effectivement, la gestion même du volant n'a absolument plus rien à voir. Les vibrations y sont par exemple nettement plus présentes, ce qui permet déjà de mieux ressentir les changements de surface. De plus, la manière dont on ressent la moindre bosse, les bas-côtés piégeux et les sauts et atterrissages est largement mieux retranscrite que sur les consoles, au point de rendre les sorties de piste encore plus délicates à négocier. On conseillera néanmoins de ne pas pousser les vibrations trop loin dans les options, le volant devenant alors un peu trop bruyant. Outre les sensations de frottement décuplées sur terre, cette version PC gère nettement mieux la différence de ressenti une fois que l'on arrive sur l'asphalte, la surface au sol devenant alors plus lisse, et les vibrations moins prégnantes. En résumé, nous avons complètement retrouvé le feeling de notre session preview à Cologne avec cette mouture PC, qui nous confirme donc que les différences avec la PS4 et la Xbox ne se limitent pas toujours à des assets graphiques ou au nombre d'images par seconde.
Contrairement à son petit frère, DIRT Rally n'intègre aucune compatibilité avec le CSL Elite de Fanatec par défaut. Heureusement, il est tout à fait possible d'ajouter le volant "à la main" en configurant les touches et les pédales. Si nous avons quelques réserves sur le FFB, même en poussant la plupart des sliders à leur maximum, le jeu répond tout à fait correctement une fois les réglages terminés. Notre shifter en H a été reconnu sans peine, de même que le pédalier, et la précision de la direction ne peut en aucun cas être critiquée. Chaque spéciale nécessite bien sûr une bonne dose d'entraînement afin de réussir une performance correcte, mais l'apport du volant est une fois de plus indéniable. Au passage, on persiste à trouver ce volet de la série DiRT plus intéressant à jouer (et même plus léché graphiquement) que le quatrième épisode. La présence de 6 pays pour les spéciales classiques ainsi que Pikes Peak et les pistes de rallycross rendent aussi cet épisode plus indispensable à nos yeux que le dernier volet en date.
Immédiatement reconnu par le jeu, le CSL Elite procure ici plus de sensations au niveau des vibrations et du retour de force que sur son prédécesseur, même si nous trouvons ses tracés moins intéressants en contrepartie. Comme pour d'autres titres, il ne faudra pas hésiter à passer un peu de temps dans les réglages pour trouver le bon compromis entre souplesse et feedback précis, mais une fois ceci fait, on traversera assez naturellement les différentes spéciales, à condition d'aborder l'étroitesse de la plupart des tracés avec un minimum de maîtrise. Comme souvent, les jeux de rallye demandent un investissement encore plus important que les autres pour y prendre un réel plaisir, et DiRT 4 ne fait pas exception à la règle.
Si son contenu est sans doute moins tape-à-l’œil que ses concurrents les plus connus, il s'avère aujourd'hui bien plus conséquent grâce aux nombreux DLC mis à disposition depuis la sortie d'Assetto Corsa (dont un tout dernier gratuit cette semaine). Assez austère dans sa présentation, le titre de Kunos Simulazioni brille sur la piste, par ses bruitages bien sûr, mais surtout par son moteur physique incroyablement réaliste. Notre expérience sur le jeu avec le CSL Elite s'est avérée tout bonnement excellente, sans même que nous n'ayons à modifier le moindre paramètre dans les options du jeu. Le retour de force est parfaitement intégré, les différents contacts entre la piste ou les barrières envoient les bonnes informations au pilote, ce qui participe grandement à l'immersion et à l'amélioration de ses performances. Quand on sait en plus que la communauté du jeu est très active dans le modding, avec des spéciales de rallye recréées de A à Z par exemple, on voit difficilement comment le possesseur d'un CSL Elite pourrait passer à côté d'Assetto Corsa. Un immanquable !
Passons rapidement sur Wreckfest, toujours en développement et donc loin de proposer une expérience finalisée. Pour preuve, l'impossibilité de sauvegarder le binding des touches sur le volant, dont la configuration se réinitialise à chaque fois que l'on essaie de revenir dans le menu des options pour y modifier quelque chose. Comme cela oblige à recommencer tout à zéro, on vous laisse imaginer la perte de temps et l'irritation que cela occasionne. De plus, on ne peut pas dire que les options proposées soient suffisamment nombreuses pour permettre des réglages très précis au niveau du retour de force et des vibrations. Pour l'instant donc, l'implémentation du volant laisse grandement à désirer, avec une gestion du contre-braquage trop aléatoire et un grand manque de précision dans la direction que le gameplay très porté sur les contacts rend d'autant plus frustrant. Pour autant, il ne s'agit en aucun cas d'un avis définitif, la version actuelle du jeu étant toujours au stade de pré-alpha. On espère toutefois que les développeurs sauront implémenter correctement les volants du marché, car il reste trop peu de jeux d'arcade assumés de ce genre et que nos excellents souvenirs derrière un volant sur les bornes d'arcade des années 80/90 ne suffisent plus à notre bonheur.
Terminons ce petit tour d'horizon de la ludothèque PC par deux titres issus du catalogue Microsoft, et qui malheureusement ne sont pas compatibles avec le CSL Elite PS4 sur PC. Tout d'abord, le jeu de Turn 10 ne réagit pas à la présence du volant, ne ďécelant la présence d'aucun nouveau périphérique branché quand on le lance - au point que les menus du jeu ne proposent que la manette ou le clavier. Après quelques recherches, il semble pourtant que la version Xbox One du volant fonctionne correctement sur PC, ce qui nous amène à penser que malgré l'ajout de la roue Xbox, la base du volant n'est pas reconnue car elle n'a pas encore été intégrée dans la liste des périphériques compatibles. Inutile de dire que ce petit revers nous a déçus, mais la faute en incombe plus à Microsoft et au studio qu'à Fanatec, qui n'a malheureusement rien pu nous confirmer à ce jour. Le scénario est un peu différent pour Horizon 3, puisque le volant est pris en compte malgré son absence de reconnaissance officielle. Ainsi, une fois dans le menu d'options, on ne retrouve pas le CSL Elite parmi les volants Fanatec supportés, mais cela n'empêche cependant pas de piloter les différents bolides avec ce dernier. Par défaut, le résultat est cependant loin d'être concluant, même sur route où les mouvements du volant nous ont paru incohérents et exagérés. Il ne reste donc plus qu'à espérer que les deux jeux auront droit à un futur patch pour inclure cette version plus récente du CSL Elite, même si l'on est en droit d'en douter compte tenu du fait que rien n'a été fait en ce sens jusqu'à maintenant. Affaire à suivre donc.
Tous les commentaires (20)
Ca a l'air d'être un excellent volant vu les fonctionnalités, et c'est très cool de pouvoir alterner les "roues" avec des config différentes.
J'aurais aimé l'avoir sur DIRT. Tant que je n'aurai pas ce genre de volant fini les simu, quand tu vois la difference avec la manette, tu te dis que jouer à la manette c'est faire de la figuration.
bien, malgré un petit soucis au debut qui fut corrigé rapidement par le SAV fanatec ,
je ne peux que le conseiller avec un gros pouce levé ^^
En tous cas une formule de test géniale à l'image du reste. Comme d'habitude.
et bonne fêtes de fin d'année à tous ^^
Ce n'est pas parfait mais pour un premier essai c'est bien réalisé et sympa à suivre.
Bon moi si j'étais riche, après avoir une One X et une Tv 4k, le truc qui me branche grave après avoir eut une expérience trop courte à mon goût, c'est plus l'investissement pour le Dolby Atmos, c'est juste magnifique et c'était avec une barre de son, j'imagine avec l'installation de la mort.
Mais cette feature, propre à la One je crois est souvent citée comme cela vite fait, mais c'est un truc de vraiment super important, dommage que cela coûte une blinde. Mais pour y avoir goûté, c'est mon prochain objectif...
Un bon volant on verra plus tard...
D'ailleurs je me demande ce que donne l'expérience avec des casque de bonnes facture.
Et dans la continuité de "ah si j'étais riche...", vu le prix de l'ensemble et en restant dans le matériel je préférerais investir dans de l'équipement Dolby Atmos.
Après pour être honnête je préfère les carottes râpées.
Donc, c'était dans, les plus de bonnes conditions de jeux, TV, manette, volant... Si j'étais riche pour avoir eut la chance d'avoir une mes premières sensations avec le Dolby Atmos, c'est le périphérique pour le Jv qui me donne le plus envie.
Donc cela reste un léger Hors sujet, lié au matériel.
C'était pas une nécessité absolue de reprendre le hors sujet mais comme Drift adore faire cela. Et pourtant faite ce que je dis et pas ce que je fais ^^ hein
Concernant l'article des volants, je trouve cela génial, d'ailleurs un sur un vrai kit, barre et casque dolby atmos c'est pour quand ^^ plus sérieusement j'ai trouvé le travail dantesque de refaire toute la gamme des jeux de courses pratiquement, avec la capture et tout...
Non pour cela bravo. Mais là +800 €... Non merci d'où la continuité de SweeneyTodd "ah si j'étais riche...." bah pour moi le choix de l'investissement est autre part, même si se volant semble très bien.
Après toi tu as fais ton job et plutôt bien, mais dans les commentaires, c'est pas un dictat non plus, hein cette sélection sert à cela aussi.
Donc oui un volant pour un jeu c'est top, là c'est trop onéreux, et pour le jeu (et évidemment les films... Br en 4k sur One, là c'est un Troll volontaire... Car sur l'Atmos c'était pas mon intention, vraiment, mais ta paranoïa lol) le son c'est ultra important, tout autant que l'image.
Pour conclure ce Hs sur le son, dire que cela m'a bluffé, je cherche même des salles de cinéma (oui avec les carottes, le ciné j'aime cela) équipé Dolby Atmos maintenant.
Fin de l'histoire.
Autant parler d'autres volants d'autres marques serait parfaitement légitime ici, autant changer de sujet en ignorant celui de base et en s'en servant d'excuse pour embrayer sur autre chose, c'est non, non et non. Et c'est valable pour toutes les news.
Et laisse ma paranoïa tranquille, ça n'a rien à voir. On sait parfaitement que si tu fais une fixette sur la Xbox au point de la ramener sur tous les commentaires que tu fais, que c'est juste ton subconscient et pas un troll volontaire. :)
Ça n'empêche que c'est super lourdingue à la longue, surtout quand ça n'a pas grand chose à voir avec le sujet, la preuve.
Le but de l'article n'est pas de faire vendre le produit, car oui, il est cher, et, en effet, il n'est clairement pas pour tout le monde. Le but ici est d'informer ceux qui considèrent peut-être qu'investir cette somme dans un périphérique de jeu qui va leur servir régulièrement n'est pas plus idiot que d'investir dans un écran 4K aujourd'hui - surtout compte tenu du fait qu'il y a très peu de sources disponibles dans cette définition. Tout est question de priorités, celles-ci n'étant pas les mêmes pour tout le monde, assez logiquement.