Non content de voir l'arrivée de la Xbox One X, cette semaine est aussi placée sous le signe de la Playstation 4, avec la sortie du DLC The Frozen Wilds pour Horizon: Zero Dawn. L'excellente exclusivité de Sony se dote en effet d'un tout nouveau scénario prenant place dans une nouvelle région enneigée de l'univers imaginé par Guerilla Games. Nos premières impressions et nos vidéos (enregistrées sur PS4 Pro, pour la plupart en 1080p, avec le jeu configuré en mode résolution) vous attendent à l'intérieur. Pour ceux qui désireraient en voir un peu plus, nous vous donnons rendez-vous ce soir dès 21h50 dans un nouveau livestream.
Tout commence sur le Rempart, la forteresse marquant la frontière du territoire carja. Alors que la neige tombe aux portes du désert, Aloy croise la route d'un marchand, qui attise sa curiosité en lui parlant, entre autres choses, d'une nouvelle machine présente sur les terres des Banuks. La jeune héroïne aux cheveux de feu ne résiste pas bien longtemps à l'appel de l'aventure et découvre une toute nouvelle région. Là bas, elle y trouve une tribu en difficulté, les machines semblant devenir de plus en plus agressives et dangereuses à cause d'une nouvelle forme de corruption répandue par des sortes de tours mécaniques. Commence alors une longue épopée qui devrait vous prendre une bonne quinzaine d'heures de jeu, à condition d'avoir atteint le niveau 30 requis pour y accéder au préalable.
Si la présence de la neige n'est pas totalement nouvelle dans le jeu de Guerilla Games, son omniprésence apporte un dépaysement bienvenu, bien que modéré. Les tempêtes ne sont pas rares, les flocons tourbillonnant alors dans un ballet désordonné, affectant grandement la visibilité de nuit. La poudreuse permet d'admirer le travail des développeurs sur les animations d'Aloy et ses interactions physique avec la neige, même si cela ne change pas fondamentalement la manière d'aborder les déplacements. Jeu en monde ouvert oblige, Frozen Wilds dispose d'un certain nombre de quêtes annexes, qui font toujours un effort de scénarisation pour donner vie au monde et aux personnages rencontrés.
Les Grands-Cous sont également de retour, même si le contexte glacial modifie quelque peu les choses. Ainsi, notre première rencontre avec l'un d'entre eux nous a tout d'abord obligés à le remettre en état de marche, ce qui nous a amenés à affronter un certain nombre de machines. Ces dernières avaient en effet pris possession des pièces détachées nécessaires à la réparation du Grand-Cou en sorbet découvert un peu plus tôt. Enfin, une fois remis sur patte, il nous a fallu trouver le moyen d'atteindre le haut de sa tête pour être à même de le pirater et obtenir des informations sur la zone. Avec un peu de chance, vous pourrez même admirer les environs et profiter d'une petite balade, à moins de vous retrouver, comme nous, en pleine tempête de neige et de nuit.
La quête principale nous met assez rapidement sur les traces d'une shaman ayant subitement quitté son village après une attaque de machines qui avait mal tourné. Aloy se retrouve alors en plein jeu de piste, perdue au beau milieu de galeries souterraines gelées, cherchant son chemin grâce aux totems et carillons en bois validant la voie du shaman. Une séquence qui reste bien sûr assez linéaire globalement, mais qui demande toutefois un minimum de recherche à certains moments. Cette mission inclut également quelques affrontements, dont un mémorable contre une nouvelle créature très fâchée contre Aloy, mais aussi des passages de plateforme, avant de se terminer dans des complexes scientifiques similaires à ceux du jeu de base. Leur exploration donne lieu à quelques énigmes un peu plus poussées que celles entrevues dans l'aventure principale, et à l'habituelle collecte de documents (audio et écrits).
Tous les commentaires (7)
commencer ^^
Par contre, les petits cailloux qui sortent de nulle part quand on marche font toujours aussi cheap :(
dès que j'ai passé la grande porte de chéplukoi et qu'on arrive dans le désert, j'ai trouvé que le jeu perdait tout son charme avec des robots trop gros et rapprochés les uns des autres, ce qui tuait un peu l'immersion du open-world.
je sais c'est bizarre comme ressenti, mais ça été instantané. Je me le referais un jour en intégralité, histoire de pas mourir idiot non plus :D