Si l'on a parfois pu reprocher à Microsoft un catalogue d'exclusivités un peu chiche au fil des ans, l'éditeur américain avait eu la bonne idée de transposer l'expérience Forza Motorsport dans un monde ouvert magnifique grâce à Forza Horizon, sorti sur Xbox 360 au crépuscule des consoles d'ancienne génération. Un premier essai chaleureusement accueilli par la critique et les joueurs malgré quelques faiblesses. Difficile donc de freiner notre enthousiasme quand fut annoncé Forza Horizon 2, les attentes autour de cette suite étant à la mesure de son nouveau support, la Xbox One. Une semaine avant sa sortie officielle dans nos vertes contrées, et après un premier GSY Live entièrement consacré au jeu de Playground Games, nous vous livrons notre verdict sur le premier road trip de cette fin 2014.
Changement de décor ! Après les routes boisées et désertiques des États-Unis, c'est en Europe que Playground Games vous convie pour un nouveau festival destiné aux conducteurs branchés et fortunés. Ça tombe bien, c'est tout à fait nous, les rédacteurs de Gamersyde possédant comme chacun le sait la fine fleur du parc automobile mondial. Comme il y a deux ans, l’introduction donne vite le ton, l'ambiance est à la bonne humeur et à la flambe et, quelques cinématiques mises à part, Forza Horizon 2 ne s'embarrasse pas d'une quelconque intrigue pour justifier votre fulgurante ascension vers les sommets de la course automobile. Car en effet, vous êtes là pour gravir les échelons et ravir le titre tant convoité de champion, soutenu comme il se doit par les compliments du sosie de Geoff Keighley après chacune de vos victoires. La gloire et l'argent donc, les crédits amassés restant la motivation principale, ceux-ci permettant de profiter des 200+ bolides disponibles au lancement du jeu. Pas de gros bouleversements pour l'habitué du premier volet qui enchaînera tout naturellement les nombreuses épreuves de la dizaine de championnats nécessaires avant d'atteindre la phase finale. Une structure assez dirigiste malgré la possibilité de sélectionner le type de championnat de son choix (chacun étant lié à une catégorie particulière de voiture), ce qui tranche d'ailleurs quelque peu avec les ambitions open world affichées par le titre. La ligne d'horizon serait-elle plus proche qu'on ne le pense ?
Il est bien évidemment possible de laisser le festival de côté pour partir à l'aventure à la recherche des (trop ?) nombreux panneaux d'expérience à détruire, ou pour découvrir les trésors cachés dans les fameuses granges qui renferment les épaves de voitures de prestige. Pourtant, seul, l'envie de poursuivre la progression de manière classique est souvent plus forte pour des raisons que nous évoquerons un peu plus tard. Mais même si vous ne cédez pas aux sirènes de la promenade à quatre roues, le jeu vous incitera malgré tout à arpenter les routes pour atteindre votre prochaine course, le Fast Travel se voulant assez limité au départ. Première raison, son coût. Au début du jeu, il vous en coûtera en effet 10 000 crédits pour avoir le droit de vous téléporter à une nouvelle antenne du festival. La découverte de pancartes Fast Travel - également à détruire - vous permettra de réduire la note petit à petit, mais à moins de partir dans une longue chasse de panneaux très scolaire, il vous en coûtera un peu d'argent un petit bout de temps si vous désirez en gagner (du temps). Deuxième raison, l'impossibilité de se téléporter à n'importe quel endroit du réseau routier avant d'avoir débloqué la capacité (ou perk) correspondante. Le Fast Travel se limite donc aux zones du festival uniquement durant les premières heures de jeu, voilà qui annonce la couleur. Il va falloir conduire. Encore une fois, ça tombe bien, nous sommes là pour ça !
La fin d'un championnat (après quatre courses en général) vous invite à rejoindre la prochaine zone clef du festival le temps d'un petit road trip accompagné par l'IA (donc vos amis les Drivatars) ; une autre occasion donnée pour visiter les paysages chatoyants du sud de l'Europe (France et Italie du nord). Des virées qui ne suivront d'ailleurs pas toujours le chemin tracé par le bitume puisque le GPS vous incitera à traverser champs de lavande et vignobles pour bien vous approprier tout l'espace de jeu. À noter que lorsque l'on fait soi-même le choix d'une destination, le GPS opte toujours pour un itinéraire plus classique puisqu'il prend garde à nous laisser sur les routes et petits chemins fréquentables. Le programme des festivités propose un certaine variété avec des courses plus typées rallye, d'autres plus citadines, quand ce ne seront pas de véritables raids off-road que l'on vous demandera de remporter. La force de Forza Horizon 2 est d'ailleurs bien dans cette capacité qu'il a de nous ramener des années en arrière à l'époque où le genre roulait dans le sillon de titres comme Project Gotham Racing ou RalliSport Challenge. Le lien de parenté apparaît de plus en plus évident à mesure que l'on enchaîne les épreuves en pleine ville suivies des courses à même le gravier des sentiers italiens. Une nouvelle que les fans de ces deux grandes séries de la Xbox accueilleront à bras ouverts évidemment. Mais le menu ne s'arrête pas là.
En effet, certaines épreuves imposant un véhicule prêté pour l'occasion vous demanderont également de vous mesurer au chronomètre (pour atteindre un point précis de la carte), de frôler un nombre donné de voitures en roulant à tombeau ouvert pendant deux minutes, ou encore de prendre de vitesse les adversaires les plus inattendus. Cette dernière catégorie s'avère cependant sans doute la moins intéressante, même si tout est fait pour rendre ces courses dynamiques et grisantes. Pour les autres types de défis, en fonction de votre maîtrise du volant et de votre bonne étoile, la tâche sera plus ou moins aisée mais, dans l'ensemble, quasi toujours intéressante. On souhaite juste bon courage aux téméraires qui oseront braver certaines d'entre elles, car à moins d'être né nyctalope et doué de réflexes matrixiens, le nombre de tentatives pour atteindre la ligne d'arrivée dans les temps devrait être conséquent. Une volonté évidente d'offrir un maximum de variété que l'on retrouve également dans la présence d'une météo dynamique et d'un cycle jour/nuit. Les conditions de course peuvent donc changer radicalement en fonction du temps, ce qui fait qu'on pourra parfois retrouver un tracé déjà parcouru sans pour autant le reconnaître totalement. Si en mode free ride, la météo est régie de manière totalement aléatoire en fonction de variables que Playground Games a voulu réalistes, les courses du championnat auront toujours lieu dans une ambiance définie à l'avance par les développeurs. Ainsi, il sera inutile d'espérer pouvoir attendre le retour du beau temps lorsqu'une épreuve se déroule en pleine tempête.
Après les retours déçus des joueurs du premier volet qui regrettaient les grandes étendues inaccessibles de sa carte, Playground Games et Microsoft ont assez logiquement axé une bonne partie de leur communication autour de la grande nouveauté de cet opus : la possibilité de faire littéralement sauter les dernières barrières de leur série open world. Bien sûr, pour cela, il aura fallu faire quelques entorses au sacro-saint réalisme si cher à une frange irréductible de joueurs. Mais s'il est possible de couper à travers champs avec n'importe quel type de véhicule, le feedback que le joueur ressentira grâce à la manette est heureusement suffisamment bon pour que les sensations soient au rendez-vous. En effet, le pad n'est pas avare en vibrations ce qui, couplé aux tremblements de l'image lorsque l'on joue en vue cockpit ou capot, donne véritablement l'impression de ressentir la moindre petite bosse. De plus, pour ceux qui choisiraient d'activer le mode de dégâts réaliste, une conduite un peu trop imprudente (dérapages incontrôlés dans un arbre, sauts trop appuyés et mal réceptionnés, chocs frontaux avec le décor ou les autres voitures, etc.) pourra rendre votre véhicule quasi inutilisable. Pénalisant lors d'une course, cela vient aussi nuire à vos envie d'évasion en mode free ride, en vous obligeant à rentrer au garage (ou à lancer une épreuve du mode solo pour une réparation instantanée). Autre astuce pour les fous du volant impatients, un petit tour dans le mode photo pour utiliser la fonction de réinitialisation des dégâts - prévue pour obtenir les meilleurs clichés possibles - mais attention dans ce cas, seule l'apparence de la voiture sera réparée.
La conduite hors piste ou sur chemins de terre se veut bien évidemment plus glissante, tout comme sur revêtement mouillé (bitume, terre ou herbe) où les voitures les plus puissantes devront vraiment rouler sur des œufs lors des montées en régime. On aurait bien sûr aimé retrouver la même gestion des flaques d'eau que dans PGR4, qui parsemait la piste de pièges parfaits pour les aquaplanings, mais la pluie de Forza Horizon 2 apporte tout de même des sensations vraiment différentes par rapport à la conduite par temps sec. Que l'on choisisse d'opter pour une absence totale d'aides au pilotage ou bien d'aborder le titre de façon plus assistée, le moteur physique est crédible et rend le jeu très plaisant à prendre en main. L'activation de toutes les aides n'empêchera pas les plus imprudents de faire de jolies embardées, et l'écart entre les deux modes de conduite n'est pas suffisamment marqué pour pénaliser ceux qui ne jureraient que par la conduite sans concession. Bien sûr, la différence est nettement plus notable dans les catégories les plus puissantes (ou avec les modèles plus joueurs et nerveux comme la Caterham par exemple). Quelques réactions sont parfois un peu étonnantes, le contre-braquage brusque n'étant pas toujours synonyme de tête à queue même à grande vitesse, mais dans l'ensemble, les sensations de conduite sont excellentes. Ne vous attendez cependant pas à retrouver toute la subtilité et la finesse d'un Forza 5, dont le mode full-assist est plus difficile à appréhender que le mode simulation de Forza Horizon 2.
Malgré tout, les amateurs de cambouis et d'odeurs d'essence seront heureux de découvrir que Playground Games a inclus un système d'amélioration des véhicules similaire à celui de la série Motorsport. On peut donc acquérir de nouvelles pièces de moteur pour améliorer son véhicule morceau par morceau. Si vous n'êtes pas un fin connaisseur, l'option "upgrade automatique" à la classe que vous désirez atteindre sera là pour vous épargner une perte de temps dans les menus. Une facilité d'accès que l'on retrouve aussi dans la personnalisation complète des voitures, puisque les outils de création n'ont rien perdu de leur légendaire richesse. Jeu dans le jeu, l'éditeur de calques et de vinyles donnera certainement lieu aux créations les plus belles (et les plus atroces), ce dont tout le monde pourra profiter grâce à la possibilité de récupérer le dur labeur des artistes que vous ne serez jamais d'un simple clic. Avec un tel souci du détail à tant de niveaux, on s'étonne cependant de voir que le mode replay n'a pas fait l'objet de toute l'attention nécessaire. En effet, aucun mode ne permet de profiter de la course avec des angles prédéfinis et bien choisis, et c'est au joueur que la tâche incombe de changer les différentes caméras (globalement toutes mal choisies). Dommage quand on sait à quel point il est appréciable de revisionner ses exploits après une course durement gagnée et des courbes parfaitement abordées.
En plus de son approche réaliste du jeu de voiture, Forza Horizon 2 adopte aussi quelques éléments plus propres au RPG, bien que le terme soit ici largement exagéré. L'accumulation de victoires n'est donc pas uniquement motivée par les espèces sonnantes et trébuchantes servant à satisfaire vos envies mécaniques les plus extravagantes. La montée en expérience, en plus de vous permettre de vous la raconter auprès des autres joueurs en arborant fièrement votre niveau de pilote au dessus de la tête, vous donne accès à 25 perks. Ces capacités passives (toujours actives donc, par définition) n'affectent heureusement pas le gameplay lui-même puisqu'elle permettent essentiellement d'obtenir des bonus d'expérience, des réductions sur certains achats, ou encore la possibilité de se téléporter où bon vous semble (moyennant finances comme nous l'expliquions plus haut). Si ce n'est certains bonus alloués à la partie multijoueur, rien ne vient donc déséquilibrer l'aspect racing du titre. Le gain d'expérience donne aussi le droit de tourner la roue de la fortune pour remporter de beaux (et parfois moins beaux) véhicules ou des crédits supplémentaires. Enfin, impossible de ne pas mentionner le système de points d'adresse qui viennent s'ajouter à votre expérience lorsque vous lancez un dérapage ou que vous frôlez une autre voiture. En parvenant à enchaîner les plus belles manœuvres, la jauge de combos se remplit petit à petit, rappelant une fois de plus le système de Kudos mis au point par feu Bizarre Creations.
Tout est donc parfait dans le meilleur des mondes ouverts allez-vous nous dire. Eh bien non malheureusement ! Talon d'Achille du premier opus, la taille de la carte de Forza Horizon 2 risque de nouveau de faire l'objet de bien des débats, alors même qu'elle voulait avant tout être le lieu de tous les ébats (à quatre roues). Pour traverser ce petit morceau d'Europe d'est en ouest, il vous faudra à peine 8 minutes en empruntant une portion de voie rapide en milieu de trajet. Alors oui, en optant pour des routes moins rapides, en flânant un peu dans les grandes étendues de nature désormais accessibles, on peut assurément gagner quelques précieuses minutes pour faire durer le plaisir, mais qu'on le veuille ou non, l'espace de jeu reste encore trop limité. En fait, Forza Horizon 2 donne l'impression d'un jeu pensé à l'ancienne (ce qui n'a rien de péjoratif à nos yeux), un jeu où l'on se plait à passer d'une épreuve à l'autre dans le but de voir la suivante. L'aspect monde ouvert, forcément contrarié par la taille de carte, n'est finalement pas assez exploité et le décor fait surtout office de jolie toile de fond, à la manière de l'Empire Bay de Mafia 2. Le monde ouvert de Forza Horizon 2 sert donc essentiellement à rejoindre la prochaine épreuve, ce qui ne demande jamais très longtemps. Pourtant, le principe même des road trips, pierre angulaire de la scénarisation du jeu, aurait dû amener le joueur à parcourir de longs trajets seul ou avec des amis. Las, on comprend bien vite que ces voyages n'excéderont que très rarement les cinq minutes, brisant alors tous les fantasmes d'explorateur que l'on pouvait encore avoir à la sortie du bateau au début du jeu.
Un contraste entre l'ambition de départ et la forme qui ne vient pas uniquement ternir la partie free ride du titre. Comment en effet ne pas se sentir un brin lésé quand, après une dizaine d'heures passées à jouer, le festival nous fait reprendre le même itinéraire que lors du tout premier road trip pour rejoindre la prochaine série d'épreuves. Comment ne pas sentir poindre le goût amer de la déception quand un nouveau championnat vous demande de refaire une course en tous points identique à celle que vous aviez faite quelques heures plus tôt à bord d'un autre véhicule. Les conditions météo peuvent certes différer un peu, le style de conduite aussi, mais quand le tracé n'évolue pas et que sa simplicité ne demande pas une grande maîtrise de la conduite, on peut légitimement se demander si Playground Games n'est pas tombé dans le piège du serpent qui se mord la queue. En proposant une pléthore d'épreuves et de championnats (avec des défis spéciaux qui se débloquent avec le temps) et une carte aussi réduite, il était évident qu'il allait être difficile d'éviter l'impression de recyclage. Une fois les 6 zones découvertes, on réalise que la plupart des routes que l'on nous fait prendre sont très familières, ce qui déplaira forcément à ceux qui recherchent la variété avant tout. Pourtant, nous ne reprocherons jamais à Forza Horizon 2 la cohérence de son monde, cette unité géographique qui fait que l'on ne passe jamais d'un type de paysage à un autre sans la moindre transition/logique. L'exploration, bien que limitée, offre même de bien belles surprises avec des villes pittoresques ou des paysages uniques qui invitent à la halte et la contemplation.
Car c'est un fait, le dépaysement est bien au rendez-vous, l'Europe n'ayant pas souvent l'occasion d'être aussi joliment représentée dans notre médium. Pour tout vous dire, même si nous avons maintes fois pesté contre le manque d'espace que les vastes champs et forêts ne parviennent pas à compenser, nous avons également apprécié chaque minute passée à admirer la beauté du monde concocté par Playground Games. Le travail sur la lumière tout bonnement ahurissant, le rendu de la pluie et les ambiances qui se dégagent de ce titre, tout participe au sentiment d'évasion que même l'étroitesse de la carte ne parvient pas à ternir. Oui, le jeu aurait mérité d'être plus grand, oui nous aurions aimé pouvoir découvrir le sud de l'Italie, l'Espagne et le sud ouest de la France (DLC ?), mais en dépit de tout cela, Forza Horizon 2 est une bien belle déclaration d'amour à la console de Microsoft. Les voitures, stars du jeu, affichent une réalisation hors paire, avec des carrosseries plus vraies que nature qui poussent à user de la vue externe même quand on n'en est pas un fervent adepte. Tout n'est certes pas parfait visuellement pour qui cherchera absolument la petite bête, mais voilà clairement un titre qui fait honneur à son support. La fluidité du jeu est également à souligner, en dépit de légers (et très rares) micro-freezes en free ride.
La partie sonore mérite elle aussi les éloges. Les sons de moteur sont parmi les plus réussis qu'il nous ait été donné d'entendre, les stations de radio (que l'on peut évidemment désactiver) proposent un choix éclectique et se laissent écouter sans mal (notre préférence allant tout de même à celle qui diffuse de la musique classique), même sans connaître toute la playlist. Techniquement, difficile de prendre le jeu de Playground Games en défaut, mais il nous faut cependant aborder un dernier point qui fera sans doute grincer des dents à certains d'entre vous. On le craignait à la vue des différents extraits de gameplay que nous avions pu voir jusqu'à présent, le monde de Forza Horizon 2 paraît parfois bien vide de vie. Aussi beau soit-il, l'absence de trafic dans certaines zones (on pense notamment aux villes) et de piétons (même si l'on trouve quelques spectateurs du festival égarés sur certains escaliers protégés de Nice) donne parfois l'étrange impression de traverser un monde apocalyptique où les traces de vie sont rares. Pourtant, comme vous pouvez le voir dans la dernière vidéo (Fugue précoce du Festival), on peut tout à fait croiser quelques voitures sur les routes (ou autoroutes) du sud. Cela nous amène à penser qu'il s'agit donc plutôt d'un choix de game design et non à de réelles contraintes techniques. Si tel est vraiment le cas, on ne pourra s'empêcher de regretter de n'avoir pas la possibilité de me modifier dans les options. On comprend bien que de nombreux joueurs auraient pu se sentir rapidement frustrés de provoquer accident sur accident à chaque virage ou carrefour, mais pour les autres, voilà qui fera sans nul doute partie des choses à corriger pour le troisième volet.
Toutes les vidéos présentées aujourd'hui et celles qui seront mises en ligne mardi prochain ont été capturées à la manette, en mode simulation et boîte automatique.
Tous les commentaires (34)
J'ai vraiment envie d'y jouer, mais pff racheter une One...
Je l'ai commandé et ferai des courses entre les missions de Destiny...
pour moi c'est comme un résumé
(pas un system-seller)
Bon sinon c'est une très bonne review, qui donne bien envie malgré les quelques défauts du jeu. J'avais passé 20H sur le 1 malgré tout, pas de raisons que cela ne change! :)
Perso j'ai beaucoup aimé le 1er mais n'ayant pas de One, je me contenterai d'Horizon 2 dans sa mouture 360, si celle-ci est au moins aussi bonne qu'Horizon premier du nom.