Malgré un fin d'année en demi-teinte chez la plupart des éditeurs (dont Sony), le mois de novembre s'annonce assez chargé avec un joli paquet de sorties prévues sur les machines du moment et sur les plus anciennes. On commence par celle qui retient certainement le plus l'attention des joueurs Xbox (et PC), Forza Horizon 5 arrivant dès demain pour les heureux possesseurs de l'édition ultime (les autres attendront le 9 novembre). Comme on fait toujours les choses avec l'amour du travail bien fait sur Gamersyde, on vous a concocté une review écrite aux petits oignons ainsi qu'une vidéo commentée s'intéressant aux différentes versions du jeu et à son aspect technique. En complément de tout cela, nous vous invitons à nous rejoindre pour un live en fin de matinée à partir de 11h00. Nous reviendrons évidemment sur notre test tout en mettant un point d'honneur à répondre à toute les questions que vous pourriez vous poser.
Avec déjà cinq épisodes à son compteur, la série Forza Horizon est bien installée dans l'esprit des joueurs. Tant et si bien qu'il est finalement assez difficile d'aborder l'écriture de cette review sans tomber dans la redite. Globalement, rien n'a véritablement changé depuis les volets précédents. Vous êtes conviés à un nouveau festival et après les USA, le sud de la France et l'Italie, l'Australie et enfin le Royaume-Uni, c'est au Mexique que vous allez poser vos valises. Un espace de jeu assez varié qui va d'ailleurs reprendre certains aspects des anciennes destinations, comme le désert, les canyons ou les ruines historiques. L'introduction donne le ton sans réellement surprendre, d'une part parce qu'elle a déjà été dévoilée officiellement (c'est bien dommage d'ailleurs), et d'autre part parce que l'on commence à connaître la formule Playground Games. Le studio est en effet passé maître dans l'art de mettre en scène des courses scriptées spectaculaires qui s'appuient généralement sur des cascades vertigineuses et une vitesse de défilement de l'image à décoiffer un Olmèque dans les Mystérieuses Cités d'Or. Mais on a beau connaître la recette du studio britannique sur le bout des doigts, impossible de résister à l'appel du bitume et des chemins de terre. Oui, l'ambiance m'as-tu-vu branchée ne sera toujours pas du goût de tous, mais on reste dans un ton nettement plus supportable que dans le dernier jeu Ubisoft, Riders Republic pour ne pas le nommer. Comme dans les précédents opus, l'argent et les voitures coulent à flot dès le début du jeu, surtout si vous bénéficiez des véhicules gracieusement offerts si vous avez déjà pratiqué certains Forza Horizon ou Motorsports par le passé. La progression se déroule donc de manière fluide, sans pénaliser le joueur pour ses défaites, avec un niveau de difficulté tout aussi paramétrable qu'auparavant (ce qui influe toujours sur le total des gains obtenus à l'issue d'une course). À ce titre, l'IA souffre toujours un peu d'un comportement adaptatif qui peut être agaçant. Ainsi, une fois dépassée en mode moyen (ou juste au-dessus), elle reste souvent collée à nos basques sans oser le dépassement, mais dans les difficultés supérieure, il n'est pas rare de voir le premier prendre le large même s'il ne dispose pas d'un véhicule plus rapide que le nôtre. En conduisant bien, il reste possible de le rattraper évidemment, mais quelques erreurs cumulées peuvent vous empêcher de le rattraper. Heureusement, l'utilisation du rewind permet de corriger les mauvaises trajectoires pour éviter de devoir recommencer l'épreuve en cours quand on vise absolument la première place partout. Une option que l'on peut tout aussi bien désactiver pour gagner plus d'argent et éviter la tentation.
Si la structure du jeu reste très proche de ce que l'on connaît déjà, elle varie légèrement des précédents tout en s'en inspirant un peu. En effet, à votre arrivée au Mexique, vous allez devoir engranger de l'expérience pour débloquer petit à petit les différentes zones du festival, chacune étant dédiée à une discipline spécifique : Baja, course sur terre, sur asphalte, course de rue (de nuit), défis routiers (zone de drift ou de vitesse, sauts uniques, radar, etc.). À ces différentes antennes, il faut évidemment ajouter la toute première, qui correspond au centre névralgique de tout le festival. Quand on a engrangé suffisamment de distinctions (en réalisant tout un tas de choses allant de l'exploration aux victoires en course en passant par des achats - par exemple), on nous demande de choisir une expédition parmi ces six antennes. Les expéditions s'apparentent plus ou moins à ce que Forza Horizon 2 appelait les road trips, à la différence près qu'ici, tout est scénarisé. On accompagne donc généralement un personnage jusqu'au lieu du festival consacré à la discipline choisie et on est parfois amené à accomplir diverses tâches, avec à l'occasion des activités à remplir dans une zone donnée (activer un appareil, prendre une photo, atteindre le sommet d'une pyramide, etc.). Quand une nouvelle antenne du festival est débloquée, vous avez encore la possibilité d'accéder à d'autres types d'événements (toujours en faisant progresser votre barre de distinctions) comme les histoires par exemple. Dans le but de proposer un maximum de variété, Playground Games a en effet intégré des petits morceaux narratifs qui se divisent en plusieurs segments de gameplay autour d’une même thématique. N’allez pas vous imaginer que le fond de ces récits vole particulièrement haut, il y est par exemple question du passé de pilote d’un certain Papa Fernando qui va vous lancer sur les traces de son véhicule de prédilection, une vieille Coccinelle qui passera par différentes formes en fonction des chapitres joués. Ces histoires vous donneront aussi l’occasion de rendosser votre costume de cascadeur pour un film (une activité déjà croisée dans l’épisode précédent), de suivre une photographe pour lui ramener des clichés de statues historiques, ou encore de faire vos preuves au volant pour un catcheur mexicain. Parmi les activités liées à chacun des festivals, vous trouverez bien sûr les showcases, ces courses scriptées qui opposent le joueur à des véhicules improbables (Monster Truck, train, avion, jet-ski) et qu’il est généralement assez difficile de perdre à moins de s'y prendre très mal. Ce sont sans doute ces séquences qui sont les moins réussies du lot tant elles ne surprennent plus vraiment après cinq volets. Les fans continueront d’y trouver leur compte à n’en point douter, mais de notre côté, c’est sans réelle passion que nous les avons découvertes cette année.
Pour le reste du contenu solo, eh bien vous savez déjà plus ou moins à quoi vous attendre si vous connaissez la série. Les épreuves s’accumulent au fur et à mesure de la montée en niveau, habillant la carte au point de la rendre moyennement lisible d’ailleurs, mais comme un système de filtre existe pour y voir un peu plus clair, ce n’est jamais gênant. Comme d’habitude, le jeu propose un habile mélange entre des courses sur circuit fermé et des spéciales (off-road ou non) où il faut obligatoirement passer par des checkpoints et batailler dur pour obtenir la première place (du moins dans les niveaux de difficulté supérieurs). Il est toujours possible d’acquérir une ou plusieurs maisons de différentes tailles et qui viennent parfois avec quelques bonus (comme une ou plusieurs roues de gain à faire tourner). C’est chez vous (ou dans chacune des antennes du festival) que vous pourrez admirer vos voitures dans le mode Forza Vista, les personnaliser, les mettre en vente ou acheter de nouveaux modèles, mais encore une fois, on nage en terrain parfaitement connu ici. C’est également le cas en ce qui concerne les sensations de conduite, toujours aussi excellentes avec une approche à mi-chemin entre l’arcade et un comportement réaliste. Opter pour une direction simulation ajoute un peu plus de subtilité dans la gestion des braquages et contre-braquages, désactiver l’ABS oblige à faire preuve de doigté au freinage sous peine de bloquer les roues et de partir tout droit, mais Forza Horizon reste avant tout un titre accessible où même les bolides les plus taillés pour la course sur route peuvent être maîtrisés en off-road. On y perd évidemment un peu en adhérence par rapport à un véhicule dédié, cela peut rendre certaines courses plus délicates de ce fait, mais à moins d’activer les dégâts mécaniques (qui ne touchent hélas que le joueur et non les IA), rien n’empêche de foncer tête baissée dans les champs au volant d’une Bugatti Veyron. À tout le contenu solo (que l’on peut évidemment pratiquer en coopération), il faut ajouter toute la partie multijoueur. Conditions de test oblige, nous n’avons pas vraiment eu le loisir de nous essayer à tout, mais nous allons tout de même évoquer une partie de ce qui est proposé dans ce cinquième volet. Pour commencer, des zones sobrement nommées Forza Arcade apparaissent régulièrement sur la map, invitant les joueurs présents à s’y rendre pour accomplir une série de défis coopératifs dans un temps donné. Le Forzathon est toujours d’actualité vous vous en doutez, avec un système de saisons et d’objectifs à remplir pour obtenir des récompenses (la Delorean en fait partie par exemple). Ces derniers sont assez variés, vous demandant de réaliser certaines tâches (avec un véhicule dédié ou non) en solo ou en multi. On peut bien sûr toujours créer ses propres courses et les partager, mais également préparer des défis “scénarisés” que l’on soumettra ensuite à la communauté (sauter sur une distance donnée, atteindre un certain score dans une épreuve de drift, etc., le tout avec une voiture fournie pour l’occasion). En un mot comme en cent, il y a largement de quoi faire avec l’aspect communautaire, sans compter que les clubs sont toujours au menu (celui de GSY vous attend d’ailleurs les bras ouverts).
Bon, maintenant qu’il est établi que Forza Horizon 5 est tout aussi bon que les précédents opus et que cela n’étonnera personne, il est temps d’aborder la partie technique de ce premier épisode à sortir sur Xbox Series S et X. Mais avant de nous attarder sur ce que la génération actuelle de machines a à offrir, revenons quelques instants sur les versions dites d’ancienne génération. Car en effet, Forza Horizon 5 sort également sur la bonne vieille Xbox One (la Fat de fin 2013 et la S) et sur la plus solide Xbox One X. Au risque de donner l’impression d’être un vieux 45 tours rayé, pas de surprises non plus de ce côté là, Playground Games a accompli un travail d’adaptation assez phénoménal. Même sur la grosse brique noire de 2013 avec son disque dur d’origine, le rendu global force le respect pour une machine de cet âge. Assez logiquement, l’affichage maximal ne dépasse le 1080p, avec un système de résolution dynamique qui a déjà fait ses preuves par le passé. Le filtrage des textures est certes limité, avec des détails nettement moins foisonnants dans les paysages lointains, le LOD est aussi plus agressif, mais tous ces compromis permettent au jeu de conserver un framerate à 30 images par seconde fluide et agréable pendant les phases de gameplay. Sur Xbox One X, l’aliasing est nettement plus discret grâce à la 4K (elle aussi dynamique) et le jeu affiche un rendu très proche de celui de la Series X, en dehors des textures de sol bien plus floues. L’animation reste parfaitement fluide quelle que soit la situation et si ce n’est l’absence d’un mode performance à 60 fps, il n’y a rien à regretter de cette version, qui prouve une fois de plus combien le moteur de Playground Games est paramétrable et évolutif. Même si les différences visuelles existent bel et bien entre les consoles d’ancienne et de nouvelle génération, ce qui choque le plus tient finalement plus aux écrans de chargement, beaucoup plus longs sur Xbox One et sur One X. Par exemple, sur One X, il vous faudra environ une minute trente pour aller de la page d’accueil du jeu à votre maison là où la version Series X ne vous imposera qu'une petite vingtaine de secondes. Il en va de même pour le chargement des différentes épreuves (une quarantaine de secondes sur old gen contre dix environ sur Series X) ou le voyage rapide (quasiment instantané sur les consoles actuelles). On perd donc très clairement en confort de jeu quand on pratique Forza Horizon 5 sur Xbox One, tout particulièrement pendant l’introduction du jeu où chaque changement de voiture impose un temps de chargement plus ou moins long (nous n’avons pas pu vérifier si c’était aussi le cas sur One X), mais dans les courses classiques, on profite heureusement d’une expérience fluide et sans coupures intempestives.
Sur Series X, deux choix s’offrent à vous comme on en a désormais l’habitude. Dans les deux cas, vous profiterez cependant de la netteté de la 4K, mais libre à vous de lui adjoindre des graphismes plus poussés en 30 fps ou une fluidité accrue à 60 fps grâce au mode performance. Sachant que nous avons passé l’essentiel de notre temps de jeu sur le mode qualité, il va sans dire que l’expérience est parfaitement agréable, aussi bien visuellement que du point de vue du gameplay. Le 30 fps de la série est de toute façon légendaire pour son excellent rendu, mais compte tenu qu’ici, la version console profite enfin du meilleur motion blur possible, avec une vitesse d’obturateur allongée, le ressenti est encore plus impressionnant. Le pop-in, bien que présent parfois (sur l’herbe ou certains éléments du décor en arrière-plan), y est beaucoup moins perceptible que dans le mode 60 fps, où le changement du niveau de détail des arbres se remarque assez facilement lorsque la route défile à plus de deux-cent kilomètres à l’heure. Un détail auquel on s’était facilement habitués sur la génération précédente, mais que certains verront peut-être d’un mauvais œil. Qu’à cela ne tienne, il leur suffira de se rabattre sur le mode qualité, qui devrait leur procurer entière satisfaction. Et si vous craignez que le fait de jouer à 30 fps ait une incidence négative sur la latence dans les contrôles, soyez rassuré, ce n’est pas le cas. Le studio britannique a toujours fait un excellent travail à ce niveau et ce cinquième épisode ne déroge pas à la règle. Reste que les bienfaits du 60 fps n’ont rien d’une légende urbaine, même si nous pensons qu’il est plus difficile de trancher entre les deux modes dans le cas de Forza Horizon 5. Très clairement, les mouvements de la caméra en mode drone sont moins “perturbés” par le motion blur dans le mode performance, ce qui donne à l’image un rendu plus net (mais moins cinématographique) de ce fait. Mais les différences avec le mode qualité, bien que plus subtiles, ne s’arrêtent pas tout à fait là. En effet, il faut compter sur des effets spéciaux un peu moins précis et poussés quand on fait le choix d’un taux de rafraîchissement plus élevé. Les débris environnementaux sont par exemple moins nombreux au sol quand on s’y attarde un peu, mais rien d’aussi notable que la différence de gestion du LOD que nous évoquions plus haut. Le mode qualité est également le seul à proposer du ray tracing, mais cela se limite au mode Forza Vista et l’apport visuel est très anecdotique (car à priori limité aux reflets de la voiture sur elle-même). Au final, le choix est donc bien plus cornélien qu’il n’y paraît sur le papier à la base, mais comme il n’y a pas de réels impacts négatifs dans les deux modes proposés, il s’agira surtout d’une question de goût ou d’humeur en fonction du moment.
Nous n’avons pas vraiment parlé de la version PC, mais en dehors de la flexibilité qu’elle apporte avec un panel d’options graphiques qui permet d’adapter le jeu à son matériel, il n'ajoute aucune réelle plus-value par rapport à la version console. Le jeu ne propose aucune implémentation du DLSS, mais Playground Games a intégré une option de résolution dynamique qui fonctionne plutôt bien pour maintenir un framerate fluide. Pour avoir testé cette possibilité sur un i9 9900K soutenu d’une RTX 2080 Ti, certaines zones de la carte plus gourmandes en tiraient très largement profit, même s’il nous est encore arrivé de constater quelques légères accroches en 4K. Dans l’ensemble, de ce que nous avons pu en voir, cette version PC demande un peu plus de ressources que le précédent volet, mais tout le monde devrait pouvoir jouir d’une expérience optimale en fonction de sa configuration. Notez que le ray tracing est également cantonné au mode Forza Vista et qu’il ne semble pas plus poussé que sur Series X. Pour revenir au rendu plus global, il est indéniablement réussi quelle que soit la machine sur laquelle on joue. Sur les plus récentes, les effets volumétriques sont superbes, le rendu de la lumière encore plus réaliste (les ciels sont sublimes en HDR) et si ce n’est l’absence d’antialiasing temporel pour gommer certaines imperfections dues au MSAA, il n’y a vraiment pas grand chose à redire sur la plastique du jeu. On s’étonne juste un peu qu’après avoir été autant mises en avant dans la communication, les tempêtes de sable soient finalement si discrètes en dehors des séquences scriptées qui les mettent en scène. Sur la vingtaine d’heures que nous avons passé sur le jeu jusqu’à maintenant, il ne nous est jamais arrivé de tomber sur un tel événement en nous promenant sur la map et c’est bien dommage. De même, ce que l’on pouvait déjà reprocher aux précédents épisodes est encore vrai dans Forza Horizon 5, dont un monde qui souffre une fois de plus d’un cruel manque de vie. Tout d’abord, en dehors des différents sites du festival, on ne croise quasiment aucun habitant sur la carte. On aperçoit bien certains d’entre eux penchés à leur balcon en ville (très bien fichue au passage, avec ses nombreux dénivelés, ses ruelles étroites et ses passages souterrains), mais à côté de cela, leur absence se fait cruellement sentir. Le trafic n’est pas très dense non plus, surtout quand on joue en ligne, où les quelques joueurs croisés ne font pas illusion bien longtemps. Quand on passe hors ligne, on croise déjà plus de Drivatars, ce qui donne l’impression d’une circulation plus dense, mais cela implique de jouer seul sans interaction possible avec la communauté. Même la faune se fait assez discrète, puisqu’en dehors de quelques chiens et autres flamants roses, on croise très peu d’animaux dans le Mexique virtuel de Forza Horizon 5. Rien de bien dramatique vous en conviendrez, mais on aurait pu espérer un petit sursaut de ce côté avec l’avènement des consoles de nouvelle génération. Ce qui fait plaisir par contre, c'est la taille de la carte qui, sans aller flirter avec l'indécence de celle de The Crew 2, offre un terrain de jeu moins étriqué que dans les précédents volets. Les quelques courses qui demandent de faire le tour de la map ne s'étalent certes pas pendant des heures, mais elles ont le méritent de proposer un vrai dépaysement et de donner l'impression de voir du pays !
Tous les commentaires (19)
Bravo pour le suivit en tout cas :)
Ps : j’espère que c’est de bonne augure pour l’autre mastodonte qui doit sortir en fin d’année, celui dont on ne doit pas prononcer le nom…😇
Vivement le 9/11.
Tres grosse couverture du jeu concernant la partie technique. Je n'ose pas imaginer le temps que cela a du te prendre pour tout faire ^^ (le planning et le montage/post prod).
Bravo !!
Je sais pas si le contenu du jeu est aussi fournis que ton taf sur cette review.Bravo et merci surtout.
Bon vivement que je test mais ça fait plaisir on a l'impression de retrouver le Microsoft de la belle époque il souffle un air de Pgr ou de Rallysport challenge sur cette licence.
Très très hâte de volr Fable.
Belle couverture Drift
La review rassure sur la taille de la carte en tout cas. Je viens de me réabonner au gamepass pour jouer au jeu! Hâte de voir ce que ça donne en HDR!
Même remarque pour les replays. Red Dead Redemption 2 y arrive bien lui avec son mode caméra cinématique du tonnerre.
Sinon, j'avais peur d'une grosse impression de déjà vue et même si le jeu ne réinvente pas la roue, il est tellement riche, dense et absolument magnifique qu'il te bouffe comme une croquette !!
J'invite tout le monde à décapoter sa Ferrary Portofino. Spectacle garantie !
Une tuerie totale ce jeu en fait.
Avec Flight Simulator 2020 et ce Forza Horizon, la Xbox Series X commence vraiment à avoir de belles exclu.