GSY Review PC PS4 Xbox One

Si notre vidéo preview d'hier est parvenue à attiser votre curiosité concernant WRC 7, celle-ci est sur le point d'être totalement rassasiée grâce à notre review complète du jeu édité par BigBen Interactive. Comme d'habitude, l'article est agrémenté de nombreuses vidéos, présentant un maximum de pays et de conditions de course, mais pour une fois, nous pouvons également vous proposer des extraits de deux versions différentes du jeu pour la levée de l'embargo. Vous allez donc pouvoir découvrir ce septième volet sur PC et PS4 Pro, cette dernière profitant d'un meilleur filtrage des textures et de quelques améliorations visuelles par rapport à sa grande sœur.
Rappel : Nous serons en direct sur le jeu dès ce soir 21h40.

Genre phare des années 90 avec des titres aussi cultes que SEGA Rally, V-Rally et bien sûr Colin McRae Rally, le jeu de rallye a ensuite connu une jolie perte de vitesse après l'abandon de la licence WRC par Sony et Evolution Studios. Sur la génération précédente, il ne restait donc plus que les développeurs de Codemasters sur le créneau, avec une vision élargie de la discipline qui ne plaisait pas à tout le monde. Alors qu'on ne l'attendait plus, c'est en 2010 que la franchise WRC revient sur le devant de la scène avec Milestone, pour un résultat moyennement concluant, dont on retiendra surtout le troisième volet. Cinq ans plus tard, les Parisiens de Kylotonn prennent la succession du studio italien pour relancer la série, non sans essuyer quelques plâtres au passage. Critiqué pour sa réalisation très datée, WRC 5 montre un certain potentiel côté conduite, mais se voit dénigré par beaucoup pour des problèmes de framerate sur consoles, mais aussi parce qu'il subit la comparaison directe avec un certain DiRT Rally. Tandis que Codemasters a décidé d'opter pour une approche très exigeante de la conduite, le compromis arcade/simulation de WRC 5, pourtant très proche de l'esprit des premiers Colin McRae, ne fait pas l'unanimité. Un an plus tard, WRC 6 revient avec des arguments graphiques plus solides, des spéciales affinées et une conduite toujours aussi réussie dans son genre. Malheureusement, une fois de plus, l'accueil de la presse est pour le moins partagé... Avec WRC 7, Kylotonn persiste et signe en faisant un nouveau pas de géant côté visuel, mais cela suffira-t-il pour convaincre ceux qui ne jurent plus que par la série de Codemasters ?

C'est la ouature qu'elle préfère

Bien que le contenu de cette nouvelle édition ne soit pas fondamentalement différent de celui de l'épisode précédent, WRC 7 s'appuie sur une présentation un peu plus soignée, avec l'affichage de modèles 3D des véhicules disponibles dans le jeu en arrière-plan, sur une route assez joliment texturée. La sélection des différents menus donne l'occasion d'observer de jolis mouvements de caméra autour de la voiture, qui changera à chaque retour au menu (ou à chaque lancement du jeu). Ces quelques travelings mis à part, on retrouve un affichage plus classique dès que l'on découvre les sous-menus, une présentation que les habitués de la franchise reconnaîtront au premier coup d’œil. L'aspect solo du jeu se partage une nouvelle fois entre les parties rapides, donnant accès à tout le contenu, débloqué dès le départ (voitures/pays/spéciales), les championnats personnalisés et la carrière. Cette dernière permet toujours de créer son propre pilote (nom et nationalité uniquement) et vous fait débuter au bas de l'échelle avec les WRC Junior. Une fois le contrat de deux ans signé avec l'une des écuries proposées (chacune ayant des objectifs distincts à satisfaire), on se lance dans le premier championnat, non sans avoir reçu au préalable quelques notifications (extraits d'articles de presse, messages de concurrents, etc.). Corse, Sardaigne, Finlande, Pologne, Allemagne, les treize destinations du championnat du monde des rallyes répondent évidemment à l'appel, et offrent à la fois une belle variété de paysages et de surfaces. Entre certaines spéciales, il est bien sûr possible d'effectuer quelques réparations, celles-ci demandant plus ou moins de temps pour être finalisées - tout dépassement sera d'ailleurs puni d'une pénalité plus ou moins négligeable. Il faudra donc ménager sa monture le plus possible, sous peine de voir ses performances baisser et les chances de remporter les spéciales fondre comme neige au soleil.

La fin d'un rallye s'accompagne assez logiquement de la remise des prix aux trois premiers pilotes, mais aussi d'un gain de confiance de votre équipe (ou l'inverse), et d'une série de messages que vous recevrez une fois de retour au bercail. Aucune gestion des emails à prendre en compte ici néanmoins, il s'agit juste de prendre connaissance des encouragements des uns ou des petits défis lancés par les autres. En plus de satisfaire votre équipe, de très bonnes performances peuvent vous ouvrir les portes du WRC 2 avant même la fin de votre premier championnat, mais il est toujours possible de rester fidèle à vos engagements pour être en mesure de débloquer les "accomplissements" correspondant à votre catégorie (une sorte de liste de succès internes au jeu). Votre objectif ultime étant bien évidemment d'accéder au championnat WRC, ne pas se précipiter vous permettra d'apprendre les tracés au volant de bolides moins rapides, et donc de mieux aborder le haut niveau quand le temps sera venu. D'autant que vous êtes toujours limité en nombre de nouvelles tentatives sur chaque spéciale parcourue (ce nombre dépendant du niveau de difficulté choisi au départ), ce qui, cumulé à l'absence de la moindre option de rewind, oblige à maintenir un bon niveau de concentration et à assumer ses prises de risque le cas échéant. Avec 52 spéciales (super-spéciales incluses) au programme, autant dire qu'il va vous falloir un peu de temps avant de bien les maîtriser. On regrette cependant que chaque destination soit limitée à quatre spéciales seulement (dont bien souvent une super-spéciale, modélisée à l'échelle 1:1, mais aussi nettement plus courte que les autres). En résulte parfois la réutilisation d'un tracé au sein d'un même rallye, avec cependant des conditions de course différentes (heure de la journée ou météo). En accédant aux catégories supérieures, on obtient aussi le droit d'accès aux réglages précis de son véhicule, même si ceux proposés par défaut restent tout à fait fonctionnels pour ceux qui ne souhaiteraient pas trop s'investir en mettant les mains dans le cambouis.

Dans l'ensemble, le mode carrière ne surprend donc pas par rapport aux années passées, mais il a le mérite de permettre au joueur d'enchaîner les épreuves dans un cadre officiel, qui lui impose une feuille de route bien établie. On aurait certes pu espérer une expérience un peu plus scénarisée, avec de réelles interactions et des messages qui ne se limitent pas à des lignes de texte, mais il était de toute façon peu probable que le jeu officiel du championnat WRC se risque à ce genre d'exercice, que seul TOCA était parvenu à maîtriser à peu près correctement en son temps. Reste que la variété des environnements traversés rend la progression plaisante pour qui n'a pas forcément envie de passer par un championnat personnalisé qu'il aura dû créer de toutes pièces. Dernière option de la partie solo de WRC 7, le test de conduite, qui offre tout simplement la possibilité de rejouer l'une des courtes séquences proposées la première fois que l'on lance le jeu, de manière à évaluer le niveau du joueur et lui proposer les aides et la difficulté les plus adaptées. En complément, WRC 7 dispose d'une dimension multijoueur, avec la sympathique possibilité de partager l'expérience en local, en écran partagé verticalement, ou en hot seat, c'est à dire chacun à son tour, avec le fantôme du premier joueur affiché pendant le passage du second (et un marqueur sur la barre de progression de la spéciale pour situer son adversaire). Pour les pilotes plus intéressés par les affrontements en ligne, il suffira de créer ou de rejoindre un lobby pour défier le monde entier. Diverses options sont bien sûr proposées pour personnaliser la partie à sa guise (mode de jeu, difficulté, catégorie, étapes spéciales, rallyes et choix de sélection de la spéciale par vote ou par l'hôte). Malheureusement, faute de joueurs disponibles sur les serveurs avant la sortie, nous n'avons pu tester cet aspect du jeu.

Ça se corse

Si les surprises ne sont pas forcément l'apanage du contenu du jeu, il n'en va pas de même pour tout ce qui touche de près ou de loin au gameplay. L'arrivée cette année de voitures nettement plus puissantes viendra déjà bouleverser un peu les habitués des anciennes motorisations (toujours intégrées dans le jeu dans la sélection de véhicules bonus). Plus puissantes, les voitures de la saison 2017 jouissent d'une accélération et d'une reprise assez phénoménales en comparaison de leurs aînées, mais de ce fait, une bonne partie des repères change et l'écart entre WRC et JWRC n'en est que plus grand. La conduite de ce septième volet reprend les bases solides des deux précédents jeux, à savoir qu'elle demeure très réactive mais demande une certaine finesse pour maintenir les meilleures trajectoires. La différence de ressenti entre les surfaces a encore été affinée, avec des sensations sur la neige nettement plus réussies que par le passé, et une gestion des surfaces meubles assez exaltante. Les voitures glissent donc nettement plus sur terre/neige/glace que sur l'asphalte, ce qui, quand on l'ajoute à la bonne utilisation des moteurs de vibration de la manette, donne véritablement l'impression de faire corps avec la machine. Les pertes de contrôle ne sont pas rares pour autant, soit parce que l'on aura voulu repartir trop rapidement en sortie de virage, soit parce que l'on aura omis de relâcher l'accélérateur avant de contre-braquer. À cela, il faut ajouter les nombreux pièges qui parsèment les spéciales, comme la voiture accidentée du précédent concurrent (ce qui arrive aléatoirement), ou bien sûr l'environnement lui-même. Car en effet, non seulement certaines portions s'avèrent nettement plus étroites que par le passé, mais elles sont également particulièrement chaotiques, avec des bas-côtés dangereux et un relief de piste bien plus marqué.

Les spéciales étant toutes relativement longues (même si certaines ne dépassent pas les 4/5/6 kilomètres), chaque étape du rallye devient une véritable épreuve pour les nerfs dans les niveaux de difficulté supérieurs. On se surprend alors à lever le pied en pleine ligne droite au Pays de Galles ou en Finlande, de peur de faire l'erreur de trop qui enverra la voiture dans le décor. Au Mexique ou en Argentine, ce sera la proximité avec les ravins qui devrait calmer les ardeurs des plus téméraires, et les exemples de ce genre sont nombreux. À la manette (nous n'avons pas encore pu tester le jeu au volant, faute de matériel compatible), le contrôle est très naturel, alors que nous craignions pourtant une légère régression à ce niveau lorsque les développeurs nous avaient annoncé que, pour la première fois, la maniabilité du jeu avait été pensée pour les volants. Tous les angles de caméra disponibles sont parfaitement jouables, et certains d'entre eux disposent même d'options de personnalisation dédiées, pour rapprocher ou éloigner la caméra (pour les vues cockpit et externe). On regrette d'autant plus que ce même soin n'ait pas été apporté aux ralentis, qui s'escriment plus à montrer la voiture en gros plan (pendant d'interminables secondes), au lieu d'opter pour des angles plus larges qui nous feraient profiter des trajectoires de la voiture. Frustrant lorsque l'on attend un passage en épingle et qu'il est finalement montré en vue interne, ou pire, rétroviseur. Mais trêve de digression, revenons plutôt au gameplay. Si les changements de surfaces sont bien marqués, il faut aussi féliciter le travail des développeurs qui sont parvenus à restituer des sensations différentes entre deux spéciales au revêtement pourtant identique. Ainsi, l'asphalte de la Catalogne, très lisse, n'a pas grand chose à voir avec celui de l'île de beauté, plus abîmé. Il en va de même pour les épreuves sur surfaces meubles, même si la différence sera sans doute plus subtile pour le néophyte.

Moins nombreux, mais plus longs, les tracés semblent donc avoir fait l'objet du plus grand soin, au point que chacun d'entre eux est toujours intéressant à pratiquer. Même la Suède, qui nous laisse souvent de marbre dans les autres jeux du genre, a su nous rallier à sa cause dans WRC 7. Les changements de surface au sein d'une spéciale (Monte Carlo peut alterner routes mouillées/verglacées et les routes enneigées) ou d'un rallye (la Catalogne, sur asphalte ou sur terre selon le jour) sont aussi très appréciables, tout comme les différentes heures de la journée proposées, qui ont non seulement l'avantage de diversifier les ambiances, mais peuvent aussi affecter la visibilité - quand il fait nuit par exemple. À ce sujet, il est juste un peu regrettable de constater que les spéciales nocturnes se passent dorénavant sous un ciel (superbe) bien moins sombre qu'auparavant, au point que l'on pourrait quasiment se passer de phares sur certaines portions de route plus dégagées - ou lorsque l'on utilise la vue externe. Cela n'entame heureusement jamais le plaisir de jeu, la difficulté montant tout de même toujours d'un bon cran dans ces conditions, surtout dans les zones les plus étroites et encaissées. Le brouillard et la brume semblent par contre avoir abandonné le navire, même s'il subsiste quelques effets de poussière ou de neige en suspension sur la route, et d'une manière générale, même la pluie n'affectera pas énormément la visibilité. Au contraire de ce qu'elle peut faire dans un Project CARS ou un DriveClub. Pour terminer sur les quelques bémols relatifs aux tracés, on peut souligner le fait que certaines spéciales épiques (largement mises en avant durant la promotion du jeu) réutilisent des morceaux plus ou moins longs d'autres spéciales du pays où elle se situe. Pour prendre un exemple, sur les quatre tracés du Pays de Galles, deux sont utilisés en partie pour créer l'épreuve spéciale épique. Ils ont beau conserver quelques portions inédites, empruntant d'autres itinéraires, on aurait préféré pouvoir éviter ce léger sentiment de recyclage.

Tiré à quatre épingles

En arrivant sur le marché avec quasiment une génération de retard du point de vue technique, WRC 5 semblait annoncer la couleur pour les volets à venir. Et pourtant, un an plus tard à peine, l'évolution graphique du sixième volet nous avait réellement surpris. Le jeu restait bien sûr assez inégal, et largement en dessous des ténors du genre, mais l'espoir de constater une progression similaire pour l'année suivante était alors permis. Que les choses soient claires, WRC 7 est de nouveau parvenu à nous étonner par la qualité de ses graphismes, en proposant une amélioration de son rendu général assez phénoménale pour un studio aux moyens plus limités que bon nombre de ses concurrents. Même sur PS4, sur laquelle DiRT 4 et ses premières spéciales au Michigan nous avaient fait crier d'effroi, le visuel est nettement plus homogène que sur le titre de Codemasters. Une performance rendue possible par une concession de taille : le framerate locké à 30 images par seconde. Les années passées, Kylotonn avait toujours opté pour un taux de rafraîchissement d'images débloqué, ce qui avait pour conséquence de nombreux ralentissements et des effets de tearing disgracieux. Cette fois, en bloquant le framerate à 30 fps, le studio assure une expérience fluide sur PS4 Pro (nous n'avons pas eu l'occasion de tester le jeu sur la PS4 de base ou sur Xbox One), tout en proposant un meilleur filtrage des textures et quelques effets supplémentaires. Moins propre que son homologue PC, avec un LOD moins efficace et un pop-up un peu plus visible (mais pas gênant), la version PS4 Pro propose une expérience fluide où les 30 fps ne viennent jamais ternir les sensations de jeu ou le gameplay. Il aurait bien évidemment été plus confortable que pouvoir profiter d'un framerate locké à 60, mais nous pensons que le studio a fait le bon choix pour éviter que le joueur ne souffre de fluctuations énervantes du nombre d'images par seconde.

Les charmants décors traversés doivent assurément beaucoup aux efforts des graphistes de Kylotonn pour les habiller de nombreux détails, mais le travail sur les effets de lumière a également un énorme rôle à jouer dans l'impression que le jeu laisse au joueur. Les ciels sont très souvent magnifiques, tout comme les rayons du soleil qui filtrent à travers les branches, ou les flocons de neige qui virevoltent au gré du vent. Grâce à toutes ces petites choses, les spéciales suédoises prennent une tout autre dimension, et même les environnements d'habitude plus tristounets, comme le Pays de Galles ou les épreuves sous la pluie, gagnent en charme et en personnalité. Une preuve de plus que des effets de lumière savamment disposés peuvent avoir un énorme impact sur le rendu. Sans atteindre des sommets à tous les niveaux, WRC 7 est donc un jeu particulièrement joli, la version PC profitant d'un affichage encore plus net et d'effets plus précis. Pour ne rien gâcher, les problèmes de stuttering inhérents à cette version sur les deux volets précédents ont totalement disparu, permettant enfin de traverser les 13 pays dans une fluidité sans faille. Un vrai bonheur visuel qui s'accompagne d'un résultat tout aussi réussi du côté des bruits des moteurs. Dès WRC 5, Kylotonn avait montré qu'ils ne voulaient pas négliger cet aspect crucial du jeu de course, et c'est encore une fois avec brio qu'ils ont rempli leur contrat à ce niveau. Parce que rien n'est jamais totalement parfait, les indications du copilote manquent toujours de naturel par rapport à celles de DiRT Rally, mais elles ont au moins le mérite d'être suffisamment détaillées (quand on ne se contente pas des indications par défaut) pour guider correctement le joueur. Il est de plus possible de modifier leur timing pour les adapter au goût de chacun. Un bilan technique très favorable donc, les consoles n'étant cette année pas les laissées pour compte de l'équation E=WRC². Tout n'y est certes pas parfait, mais le bond qualitatif est tel que l'on peut difficilement se plaindre du résultat obtenu en un an de travail.

Verdict


Est-ce que WRC 7 est plus accessible qu'un DiRT Rally ? Assurément oui. Cela en fait-il un jeu d'arcade basique sans le moindre supplément d'âme ? Non. Avec ce troisième jeu dans la franchise WRC, le studio Kylotonn prouve toute l'étendue de son talent en proposant une expérience prenante où la conduite crédible procure d'excellentes sensations. Non content d'être réussi dans son gameplay, ce septième épisode affiche également des graphismes très flatteurs cette année, avec ce qu'il faut d'effets pour rendre l'atmosphère des spéciales marquante. En fait, WRC 7 est devenu une alternative à DiRT tellement crédible aujourd'hui que l'on remarque d'autant plus ses défauts, qu'il a d'ailleurs tendance à partager avec son concurrent. Avec plus de spéciales pour assouvir notre soif de nouveaux paysages et de sensations fortes, nous n'aurions sans doute pas eu grand chose à reprocher au jeu édité par BigBen Interactive. Confiants depuis trois ans que Kylotonn avaient le potentiel de ramener le championnat officiel WRC sur le devant de la scène, nous sommes heureux de constater aujourd'hui que nous ne nous étions pas trompés. Et ce, quoi qu'en diront nos bien aimés confrères dans les heures/jours à venir.
  • Les plus
  • Vraiment très joli
  • 13 destinations et 52 spéciales et super-spéciales
  • Un bon compromis entre arcade et simulation
  • Fluide sur PC comme sur PS4 Pro
  • Bonnes sensations de conduite à la manette
  • Bonne gestion des vibrations
  • Des sons de moteur toujours aussi efficaces
  • La tension qui règne sur les spéciales
  • Belles ambiances lumineuses
  • Le plaisir du voyage
  • Les moins
  • Le copilote manque encore trop de naturel
  • Le passage dans les flaques, visuellement décevant
  • Certains joueurs XB1/PS4 se plaindront (à tort) des 30 fps
  • Nombre de volants compatibles encore trop limités sur PC
  • 4 spéciales par pays "seulement"
  • Chargements plus longs sur consoles
  • Les ralentis, aux angles de caméra toujours aussi peu inspirés
  • Les conditions météo auraient pu être plus extrêmes

Menus

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MadDemon
MadDemon
Commentaire du 14/09/2017 à 10:48:58
Ah excellent merci pour le test. J'ai hate de l'essayer!!
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augur - Tkazual
augur
Commentaire du 14/09/2017 à 11:38:56
Merci pour cette belle review!

J'en déduis que le Fanatec Porsche 911 Turbo n'est pas compatible ?! :(
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Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 14/09/2017 à 11:43:54 En réponse à augur
J'ai honte de dire que je n'ai même pas essayé, mais il me semble que quand on en avait parlé à Cologne, ils avaient mentionné les wheelbases récentes de chez Fanatec. J'essaie avant ce soir mon chou !
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augur - Tkazual
augur
Commentaire du 14/09/2017 à 11:44:41 En réponse à Driftwood
Merci mon poulet! :D
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Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 14/09/2017 à 11:47:21 En réponse à augur
Pour ma défense, j'ai une vieille TV cathodique 33 cm posée sur la base du stand du volant avec la Snes à côté, ça implique donc quelques efforts. ^^
En réponse à
augur - Tkazual
augur
Commentaire du 14/09/2017 à 12:08:47 En réponse à Driftwood
Posté par Driftwood
Pour ma défense, j'ai une vieille TV cathodique 33 cm posée sur la base du stand du volant avec la Snes à côté, ça implique donc quelques efforts. ^^
Haha ce sera bientôt corrigé avec l'arrivée de la Mini Snes.... ou pas! :D
En réponse à
Kayjiro
Kayjiro
Commentaire du 14/09/2017 à 12:37:16
Merci beaucoup, je suis conquis !
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callagane
callagane
Commentaire du 14/09/2017 à 13:07:42
Merci pour ce test, et il est prévu pour quand?
En réponse à
augur - Tkazual
augur
Commentaire du 14/09/2017 à 13:21:37 En réponse à callagane
Demain.
En réponse à
callagane
callagane
Commentaire du 14/09/2017 à 16:15:55 En réponse à augur
Cool!!!! Merci
En réponse à
sebmugi73
sebmugi73
Commentaire du 14/09/2017 à 18:32:25
super review ! il y de sacré panorama à des moments.. y-a t'il un mode photo ??
je vais me laisser tenter je crois bien..
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 14/09/2017 à 18:47:23
Pas de mode photo non.
En réponse à
nakadai
nakadai
Commentaire du 15/09/2017 à 08:41:02
Merci pour cet article. Direction Steam.
En réponse à
augur - Tkazual
augur
Commentaire du 15/09/2017 à 09:18:13 En réponse à nakadai
Posté par nakadai
Merci pour cet article. Direction Steam.
Pas dispo encore, 10h ?
En réponse à
Miguel - Kimi Räikkönen
Miguel
Commentaire du 15/09/2017 à 09:20:33 En réponse à augur
Posté par augur
Pas dispo encore, 10h ?
La page du store Steam faisait un compte à rebours jusqu'à 9h, maintenant plus rien, et toujours pas dispo...
En réponse à
augur - Tkazual
augur
Commentaire du 15/09/2017 à 09:27:49 En réponse à Miguel
Sur la page du magasin j'ai vu : dispo dans moins d'une heure. :/
En réponse à
MadDemon
MadDemon
Commentaire du 15/09/2017 à 09:44:38
Jai testé vite fait ce matin sur ps4 normale. c'est vraiment pas mal par contre on passe de wrc junior a wrc2 ils ont fait l'impasse sur le wrc3 m'enfin bon c'est pas grave.

La physique est bonne mais faut que je me rehabitue au fait que les voitures ont un poids car sur dirt 4 elle sont trop legeres...
En réponse à
augur - Tkazual
augur
Commentaire du 15/09/2017 à 09:56:50 En réponse à MadDemon
J'avais moi-même oublié cette catégorie, tant même le "WRC" ne la met jamais en avant dans sa communication. Peut-être parce que c'est un championnat à la carte avec des pilotes qui ne font que quelques rallyes ?
En réponse à
Miguel - Kimi Räikkönen
Miguel
Commentaire du 15/09/2017 à 10:02:44 En réponse à augur
Posté par augur
Sur la page du magasin j'ai vu : dispo dans moins d'une heure. :/
Oui je viens de voir que c'était passé à 10h.

Il est plus de 10h et maintenant j'ai ça :

Prochainement
Cet article n'est pas encore disponible.


La blague.

EDIT : après avoir relancé Steam (logique hein), le jeu est installable et apparemment jouable.
16.2Go à télécharger.
En réponse à
augur - Tkazual
augur
Commentaire du 15/09/2017 à 10:16:57 En réponse à Miguel
Même combat, DL en cours, 3H... vivement la fibre! ^^
En réponse à
nakadai
nakadai
Commentaire du 15/09/2017 à 13:51:59
Fibre 8mn.
En réponse à
A propos du jeu
Plateformes
PC PS4 XBOXONE
Edité par
Bigben Interactive
Developpé par
Kylotonn Enterta...
Patreon

135 $ de 400 $ par mois

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