MorphBZH Chez Microids, L'Amerzone décalé à 2025 et Little Big Adventures dispo (Xbox en décembre) (il y a 9 Heures)
Driftwood @TheDud: pourquoi tu ne peux pas commenter là-bas ? Rage 2 je n'y ai pas trop joué donc pas certain. Soit c'est bien Ratchet, soit un autre jeu m'échappe. :) (il y a 2 Jours)
TheDud @Drift, je peux pas commenter sous la video d'Horizon Lego mais la bombe qui rapproche les ennemis c est dans Rage 2 ;) (enfin à mon avis c est à ça que tu pensais) (il y a 2 Jours)
Driftwood Il est de nouveau possible de télécharger les vidéos sur le site. Désolé pour le mois et demi de panne. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Retrouvez notre review de Rift Apart dès 16h00 aujourd'hui, mais en attendant Guilty Gear -Strive- est en vedette en home ! (il y a > 3 Mois)
Driftwood Nouveau live sur Returnal à 14h30 aujourd'hui. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Rendez-vous à 17h00 pour un direct de 40 minutes sur Returnal (il y a > 3 Mois)
Évidemment, un sentiment de vanité (et d'appât du gain :D) m'encourage à essayer de tenter ma chance avec des éditeurs. Mais un autre sentiment, bien plus puissant, me dit que cette merde n'en vaut pas la peine et qu'on me rira au nez, voire pire ^^
Je connais quelqu'un qui a publié son roman en semi-indé, tu peux maintenant assez facilement trouver un éditeur pour un support numérique, papier ou les deux, et te faire distribuer sur Amazon. Bon c'est rare de sortir un best seller du premier coup, mais qui sait (l'auteur de Twilight a bien commencé comme ça, non ?).
Cela dit c'est vrai qu'il vaut mieux faire relire le truc par des proches auparavant. Même les plus grands écrivains le font.
Alors voyons, par où vais-je commencer... bon, déjà, oui, ma chère et tendre a lu ma prose, et elle a beaucoup aimé m'a t-elle dit, mais bon, ce n'est sûrement pas l'avis le plus objectif ^^
Ensuite, je continue effectivement à corriger et retravailler la chose (je me relis déjà très régulièrement quand j'écris), et c'est encore très, très, très, très loin de la perfection. D'autant plus que c'est écrit à la première personne, exercice extrêmement casse-gueule s'il en est ! Et oui, ça a été long.
Enfin, faire lire ma monstruosité à ceux qui le veulent bien ici... d'un côté, c'est très tentant, de l'autre... ça me fait très peur ^^"
@Dazman: voilà qui est bien triste... mais il n'est jamais trop tard pour s'y remettre, peut-être ?
Everyone is gay for Bridget
Je suis comme le papier toilette, les couches Pampers ou le dentifrice : mon efficacité a été définitivement prouvée.
...ne rien vouloir en retour.
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Il y a des jours comme ça. Des jours où la routine vous rend fou. Des jours où le simple fait de prendre le métro est la première tâche difficile de la journée. Des jours où dire "bonjour" à son patron est une opération extrêmement complexe, nécessitant de monstrueuses ressources physiques et mentales. Des jours où on n'a pas envie de se lever, pas envie de travailler, où on veut rester au lit, chez soi, au chaud, à passer sa journée à pianoter sur l'une des inventions les plus formidables du monde moderne : l'ordinateur portable. Oui, il y a ce genre de jours.
Sauf qu'aujourd'hui, ce n'était pas du tout le cas. Réveillée de bonne humeur, j'avais très bien dormi, et même la perspective des transports bondés me paraissait amusante. Je trouvais que le métro sentait bon. C'était dire mon état d'euphorie. La musique discordante du lever du rideau de fer de la librairie sonnait agréablement à mes oreilles, et quand mon patron, M. Jutresse, me lança son habituel "Bonjour, mademoiselle Dulaurière", accompagné de son éternel faux sourire de glacial commerçant quinquagénaire, je lui rendis son salut d'un air tellement guilleret qu'il eut l'air à la fois inquiet et soupçonneux. En effet, une telle joie de vivre de si bon matin ne pouvait signifier que deux choses pour mon cher boss : soit j'étais devenue définitivement folle, soit je mijotais de m'enfuir avec la caisse ce soir. Un bon patron, ma foi.
À sa décharge, les mots "joie de vivre" et "Valentine Dulaurière" semblaient difficilement compatibles pour qui me connaissait un tant soit peu bien. Pour les clients, j'étais une libraire parisienne presque trentenaire à lunettes rectangulaires, aux cheveux blonds-roux mi-longs, raides comme la justice, attachés dans une queue de cheval aussi inélégante que pratique. Dotée d'une taille moyenne, d'un poids moyen, et de proportions on ne peut plus moyennes, mon unique signe particulier consistait à avoir le visage orné de superbement banales taches de rousseur. Bref, une fille parfaitement insignifiante, le profil parfait de la libraire lambda qu'on s'attend à trouver derrière la caisse et qu'on oublie sitôt sorti de la librairie, si tant est qu'on ait remarqué sa présence en entrant. Être ce genre de personne est à la fois confortable - la transparence est bien souvent une bénédiction quand, comme moi, l'on est fortement atteint de misanthropie - et déprimant - à force d'être transparent, on finit par se demander si l'on n'est pas réellement devenu invisible.
Mon existence jusqu'à ce jour étrangement guilleret, sans être une vie de martyr, n'avait été qu'une suite d'occasions manquées. Un cursus scolaire peuplé de professeurs ne tarissant pas d'éloges face à mes capacités, qui s'était fini en un simple bac et un échec total dans une tentative de suivre des études supérieures. Des vocations artistiques contrariées par un manque aigu de motivation en pensant aux indispensables et nombreuses bases à intégrer si l'on voulait en faire son métier. Et finalement un échouage dans une modeste librairie parisienne, qui possédait la remarquable caractéristique de vendre des livres et non des journaux ou des magazines. Bref, une vie sans histoire, aussi insignifiante que la présence de votre servitrice (en italien dans le texte) derrière son comptoir. Un peu déprimant. Mais bon. Il faut bien vivre. Il paraît.
Mais l'heure n'était pas à la morosité. Comme je l'ai dit, une étrange joie de vivre m'habitait en ce lundi d'automne, et la vue des derniers best-sellers dans les cartons de livraison n'arrivait pas à l'altérer. Exceptionnel !
" Vous avez l'air en forme aujourd'hui, mademoiselle Dulaurière, me dit mon patron tandis que je disposais en chantonnant les hideux volumes sur le tout aussi hideux présentoir de mise en avant qui leur était réservé.
- En effet, M. Jutresse.
- Je ne vous ai pas vu aussi joyeuse depuis que je vous ai embauché.
- En effet, M. Jutresse.
- Vous avez eu un bonheur, ce week-end ?
- Pas particulièrement, M. Jutresse.
- Ah. Très bien. "
Ayant chacun manifesté tout le volume de chaleur humaine dont nous disposions l'un envers l'autre, mon patron retourna dans l'arrière-boutique et me laissa comme d'habitude me débrouiller seule jusqu'à la fin de la journée, exceptés l'heure du déjeuner ou mes éventuels arrêts dans les commodités, heureusement. J'étais néanmoins interpellée ; il n'était guère dans ses habitudes de m'interroger, même fort succinctement, sur mon humeur et le niveau de mon baromètre moral. Le jour où j'étais arrivée au travail avec des poches sous mes yeux à faire pâlir de jalousie un kangourou adulte et des globes oculaires rougis par les larmes, il ne s'était guère ému sur le pourquoi de cette apparence encore plus lamentable que d'habitude. Et pourtant, il y avait de quoi : je venais, la veille au soir, de perdre mon PC, emporté par un âge avancé, et la nuit entière avait été consacrée à pleurer le disparu, parti bien trop tôt. Autant dire que ce court échange sur mon allégresse actuelle ne manqua pas de m'étonner. Peut-être considérait-il qu'une vendeuse souriante et heureuse ferait fuir les clients habitués à mon imperturbable mais néanmoins un minimum aimable froideur commerciale.
" Bonjour, mademoiselle.
- Ah ! euh, oui, bonjour. "
Les premiers clients de la journée m'éloignèrent de mes pensées. Et ils requéraient toute mon attention, car j'étais confrontée au redoutable couple des retraités Cosson, véritables terreurs du commerçant serviable. Non pas qu'ils étaient méchants, bien au contraire. Et c'était là tout le problème.
" Bonjour mademoiselle, répéta M. Cosson avec son habituel bon sourire sous sa moustache poivre et sel, je ne voudrais pas vous embêter ("ça commence mal", me dis-je), mais je cherche un ouvrage bien particulier ("aïe"), je l'ai cherché partout sans succès ("aïe aïe"), et vous êtes mon dernier espoir de le trouver ("aïe aïe aïe").
- Mais bien sûr, M. Cosson, répondis-je avec mon plus gracieux sourire tout en frissonnant intérieurement. Dites-moi ce qu'il vous faudrait.
- Je cherche "Une petite histoire de la mycologie du moyen-âge à nos jours", édité en 1972, mais ce n'est pas la première édition que je cherche, mais sa réédition de 1982, qui comporte des ajouts inédits non implémentés dans sa dernière édition de 1996.
- Malheureusement, si c'est une ancienne édition, je crains qu'il ne soit assez difficile à trouver...
- Ah, mais je me disais, vous avez des livres d'occasion, alors peut-être que... "
Évidemment. Maudit soit le jour où mon boss adoré avait décidé de s'attaquer au marché du livre d'occasion. Car depuis, M. Cosson, toujours accompagné de sa charmante épouse, venait régulièrement me demander les bouquins les plus obscurs, de préférence dans leurs éditions leurs moins répandues, et semblait prendre un plaisir sadique à me faire ramener du stock - situé au sous-sol, bien évidemment - les innombrables bacs de livres repris afin de m'y faire farfouiller des heures durant à la recherche de ses trésors. Tout en maudissant intérieurement les retraités, les moustachus, les librairies et la mycologie à la fois, j'affichais la mine la plus radieuse possible en répondant à M. Cosson que nous allions essayer de dénicher ensemble le livre qu'il cherchait.
" Vous avez l'air de bonne humeur aujourd'hui, mademoiselle ! me dit Mme Cosson qui, adepte des couvre-chefs improbables, portait aujourd'hui un machin à voilette inédit assez monumental.
- Il paraît, oui, répondis-je, tout en me disant que telle que la journée était partie, ça n'allait pas durer.
- Oui, renchérit M. Cosson, ça fait plaisir à voir, je ne vous avais jamais vue la mine aussi réjouie... jamais ! "
Décidément, il fallait me faire une raison : manifestement, être joyeuse, c'est anormal. Je tirais donc une tronche si sinistre que ça, d'habitude ?
" Eh bien, allons-y ", dis-je en relevant mes manches avec un soupir tout en m'apprêtant à descendre dans les entrailles poussiéreuses du magasin. " À quoi ressemble donc ce livre ? "
18h00. Enfin, la journée était terminée. M. Jutresse était parti depuis une heure, me laissant comme toujours toute seule pour gérer l'évacuation des derniers clients, le comptage de la caisse, le nettoyage des sols si besoin et la fermeture du magasin. Résister à la tentation d'alléger le tiroir-caisse de quelques billets était difficile vu mon salaire peu en phase avec la charge de travail quotidienne qui m'était allouée, mais j'avais courageusement réussi à ne jamais y céder en trois ans de semi-esclavagisme. Avant de retrouver l'étroit cocon poussiéreux et bordélique de mon appartement parisien, je jetai un dernier coup d'œil dans l'arrière-boutique pour vérifier que je n'avais rien oublié, et mon cœur rata deux battements avant de follement s'emballer en la voyant. Mme Cosson. Nue-tête. Plantée en plein milieu de la pièce servant à la fois de bureau et de salle de pause. Mais d'où elle sortait ? Qu'est-ce qu'elle fichait là ? C'est ce que je lui demandais après un hurlement de surprise :
" Mais qu'est-ce que vous faites là ? Comment êtes-vous entrée ? "
Aucune réponse. La charmante Mme Cosson était immobile, debout, son sourire permanent évanoui à l'instar de son chapeau rigolo, et me regardait en roulant des yeux, comme si j'étais la chose la plus effrayante qu'elle ait jamais vu.
" Ça ne va pas ? Mme Cosson ? Qu'est ce qu'il y a ? Houhou ? "
Toujours rien. Toujours ce roulement d'yeux glauque et cette expression angoissée. Je commençais à avoir vraiment la trouille.
" Vous... vous voulez que j'appelle un médecin ? la police ?...... les deux ? "
Rien, rien, et rien. J'aurais tout aussi bien pu m'adresser à ma caisse enregistreuse. Qui m'aurait au moins répondu "ding". Je me sentais de plus en plus angoissée.
" Je, euh... je vais appeler une ambulance, d'accord ? vous m'entendez ? j'appelle les urgences, le SAMU, et ils vont s'occuper de vous, d'accord ? "
Je tirais mon portable de ma poche, quand soudain, Mme Cosson se jeta sur moi. Elle me plaqua au sol avec une force peu commune chez une vieille dame, et commença à hurler d'une voix discordante, déformée par la terreur la plus pure :
" ARRETEEEEEEZ ! ARRETEEEEEZ ! NOOOON ! ARRETEEEZ ! JE NE VEUX PAAAAS !
- Eh oh ! Lâchez-moi ! Mais lâchez-moi ! "
Des filets de bave coulaient mollement de sa bouche sur mon visage tandis que son regard devenait de plus en plus dément. Je luttais vainement pour me dégager. Mes cris restaient sans effet. Cette fois, mon compte était bon, j'allais mourir massacrée pour je ne sais quelle raison par une vieille femme folle dans une librairie moisie remplie de bouquins moisis tenue par un patron moisi... mais d'un coup, elle relâcha d'elle-même son étreinte et se colla contre le mur, me fixant de ses yeux démesurément agrandis. Encore sonnée, je la vis glisser une main sous son chemisier et en sortir un cutter, dont elle fit jaillir la lame avec un cliquetis menaçant. Je rassemblais tout mon maigre courage et ma mince volonté de vivre, et m'élançai pour tenter de la désarmer. Mais avant d'avoir pu faire quoi que ce soit, Mme Cosson dit, d'une voix claire et forte :
" Pour Elle. "
Et elle planta la lame dans sa gorge. Je hurlais à mon tour, et un geyser de sang jaillit de sa carotide déchiquetée et m'éclaboussa la figure dans une multitude de mouchetis rougeâtres. Malheureusement, je ne m'évanouis pas, et dus contempler l'agonie de Mme Cosson, la vieille dame au sourire jadis éternel, qui s'écroula à mes pieds et expira en répandant des litres d'hémoglobine sur le carrelage. Sous le choc, complètement paniquée, je ramassai mon portable d'une main tremblante pour appeler la police, mais il m'échappa et atterrit dans la flaque de sang qui s'élargissait de plus en plus. Je me précipitais hors de la pièce et décrochais le téléphone sur le comptoir. Rien. Aucune tonalité. Je sortis les clés de la librairie de ma poche, ouvris et referma machinalement la porte, et partis à la recherche d'un passant, d'une cabine téléphonique, bref de n'importe quoi susceptible de m'aider d'une manière ou d'une autre. Je faillis pleurer de joie en voyant un homme marcher dans la petite rue peu fréquentée dans laquelle la boutique est située. Je courus vers lui en criant de toutes mes forces :
" Monsieur ! Monsieur ! aidez-moi ! à l'aide ! au secours ! "
Il pressa le pas dans ma direction en m'entendant, avant d'avoir un mouvement de recul en me voyant. Évidemment, mon fond de teint magenta liquide ne devait pas me donner l'air très engageant.
" Aidez-moi, répétais-je avant qu'il ne s'enfuit, il y a un mort, enfin une morte, dans mon magasin, c'est Mme Cosson, elle s'est suicidée, y a du sang partout, y a plus de téléphone, y a mon portable dans son sang, elle est devenue folle, je sais pas quoi faire, faut appeler la police, les pompiers, aidez-moi !
- Calmez-vous, me répondit l'homme en me tenant fermement par les épaules, calmez-vous, du calme, respirez, restez calme. Je suis de la police, expliquez-moi tout calmement.
- Oh... oh, vous êtes de la police, venez avec moi, elle est morte, c'est horrible, elle s'est jetée sur moi, je sais pas ce qui l'a pris, j'ai rien pu faire ! "
Je repartis vers la librairie et l'homme me suivit en me répétant inlassablement de garder mon calme. Je mis un bon moment à rouvrir la porte que j'étais persuadée de ne pas avoir fermé en partant alors que si, finis par réussir à introduire la clé malgré mes tremblements parkinsoniens, et pénétrais dans l'arrière-boutique avec mon policier trouvé sur les talons.
La pièce était vide.
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Ah au fait y'a une petite coquille à "leurs éditions leurs moins répandues".
Ludothèque ONE = Fifa 16, NBA 2k14, NHL 15, GTA V, Project C.A.R.S, The Division
PC = Dirt Rally, Street Fighter V
Attend désespérément la sortie de Top Spin 5 !!!
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Je suis preneur pour lire le reste! :D
...ne rien vouloir en retour.
Je développerai plus tard mais à part quelques petites choses dérangeantes, c'est suffisamment efficace et intriguant pour créer l'envie de lire la suite :). Et effectivement la lecture est plutôt agréable. Vraiment, il y a pas de quoi le laisser moisir dans un dossier de ton PC. Tu peux nous en dire plus? Le titre, le synopsis, tes intentions toussa ^^.
"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Le titre est encore work in progress (j'en ai un provisoire, mais il me satisfait pas entièrement), au niveau du synopsis, les ennuis de la malheureuse Valentine sont loin d'être terminés, elle va notamment faire des rencontres assez intéressantes qui vont lui faire regretter sa routine habituelle pourrie :D Le ton reste toujours sur le mode blasé-blagues pourries (en essayant de ne pas en abuser :p), et les premiers chapitres sont - pour moi, en tout cas - pas les plus réussis, j'étais pas encore totalement à l'aise, ça coule mieux ensuite. Merci, en tous cas ! :)
@Musimon: merci ^^ Oui, ça c'est depuis toujours, quoi que j'écrive, un roman, une nouvelle, une review, une rédaction, une dissertation, j'aime pas délayer, je vais directement à l'essentiel :D
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"De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte."
Trop d'adjectifs tuent l'adjectif, il faut parfois savoir épurer pour rendre la lecture plus fluide, tout en retenant l'essentiel du message que tu veux faire passer !
Deuxième point, je trouve que tu cherches trop et trop tôt à nous décrire avec précision les protagonistes.
Les quelques répétitions de mots m'ont également gêné (moyen, moisi entre autres).
Bon courage pour la suite, même si la forme ne peut pas plaire à tout le monde, c'est déjà une belle victoire personnelle que d'avoir écrit quelque chose ^^
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Par contre : me connaissait un tant soit peu bien. Je ne suis pas sûr que le "bien" à la fin de cette phrase soit indispensable, il ajoute même un temps de trop à la lecture. Un rebond malvenu.
« L'image qu'un seul homme a pu concevoir, est celle qui ne touche personne. » - Borges.
Ampoulé est exactement le mot auquel j'ai pensé en te lisant, du coup si c'est fait "exprès" je peux comprendre la démarche si c'est censé correspondre au tempérament de la narratrice.
Après je donne juste mon ressenti de lecteur (et j'avoue que je ne suis pas un grand lecteur), et mon point de vue est forcément différent du tien ;)
En tout cas bon courage, ça doit être compliqué à gérer de "donner" à lire une partie de soi-même.
@Kitano23: toutes les opinions sont bonnes à prendre ! Merci à toi d'avoir pris le temps de lire et de dire ce que tu en pensais ^^ Oui, livrer une partie de soi, c'est assez juste comme formule, et en effet, c'est pas simple !
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Sa serai con de pas essayer de le distribuer d'une manière ou une autre
Sa serai con de pas essayer de le distribuer d'une manière ou une autre
"Dés fois que"
;)
Si tu lis cette signature, tu perds ton temps. Tu vois? J'avais raison
gamertag: DEXT3R xX FR Xx
Trop d'adjectifs tuent l'adjectif, il faut parfois savoir épurer pour rendre la lecture plus fluide, tout en retenant l'essentiel du message que tu veux faire passer !
Deuxième point, je trouve que tu cherches trop et trop tôt à nous décrire avec précision les protagonistes.
Les quelques répétitions de mots m'ont également gêné (moyen, moisi entre autres).
Bon courage pour la suite, même si la forme ne peut pas plaire à tout le monde, c'est déjà une belle victoire personnelle que d'avoir écrit quelque chose ^^
Modestement si je l'avais écrit le style aurait été très différent (et pas forcement mieux juste différent hein)
You:
18h00. Enfin, la journée était terminée. M. Jutresse était parti depuis une heure, me laissant comme toujours toute seule pour gérer l'évacuation des derniers clients, le comptage de la caisse, le nettoyage des sols si besoin et la fermeture du magasin. Résister à la tentation d'alléger le tiroir-caisse de quelques billets était difficile vu mon salaire peu en phase avec la charge de travail quotidienne qui m'était allouée, mais j'avais courageusement réussi à ne jamais y céder en trois ans de semi-esclavagisme.
Me:
18h00. Fin de journée. Amen. Seule depuis une heure à me languir du départ des derniers clients, souvent les pires. Mr Jutresse savait partir au bon moment pour les éviter. Il avait un don c'est certain.
Me laisser le ménage et la caisse à compter en était un autre. Cette caisse cette foutue caisse. La délester de quelques billets... délicieuse tentation. Sur qu'il n'y verrait rien. Trois ans d’esclavage et pourtant j'ai toujours résisté. Au regard du ratio salaire charge de travail c’était une vraie prouesse !
Bon j'ai changé pas mal de trucs mais j'ai essayé de garder l'idée.
Si tu viens de le finir crois moi le vrai boulot commence maintenant. Comme on dit écrire c'est réécrire. Félicitations en tout cas et bravo de publier un extrait. C'est pas facile.
Mon premier scenar je l'ai écris y a presque 4150 jours. Au moment où je me suis inscrit ici. Et il m'arrive encore d'y retoucher tellement y a des trucs qui me chiffonnent ^^
J'en posterais peut etre des extraits ici mais je devrais surement tous vous tuer après. Je vous donne juste le titre: Regarde.
Il piquait des euros dans mon sac...
jeremy_GSY
Bon je crois qu'il faut que quelqu'un crée un topic dédié aux écrivains de GSY... ^^
Ludothèque ONE = Fifa 16, NBA 2k14, NHL 15, GTA V, Project C.A.R.S, The Division
PC = Dirt Rally, Street Fighter V
Attend désespérément la sortie de Top Spin 5 !!!
« L'image qu'un seul homme a pu concevoir, est celle qui ne touche personne. » - Borges.
Je suis en train de tout relire/corriger, j'en suis au chapitre 5 (sur 20 (quelle note pourrie)), c'est long et chiant :D
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