Encensé par une presse à la dithyrambie hystérique, porté aux nues par une communauté toujours plus grande de joueurs au bon goût auto-proclamé et orgueilleusement vanté par un éditeur à l'assurance un peu forcée, à grands coups de communiqués de presse triomphants et d'accroches publicitaires racoleuses... difficile de passer à travers les mailles du filet tendu par Ubi Soft pour accompagner la sortie de "L'âme du guerrier". "Un prince adulte" pouvait-on entendre ici, "un gameplay parfait" clamait-on encore là. Et bien mes amis, je crois qu'il est temps de passer à table.