GSY Review Xbox 360 PS3

Vous le savez sûrement déjà, la série des Assassin's Creed fait partie de mes préférées sur cette génération de consoles, et c'est donc avec beaucoup d'impatience - et un peu d'inquiétude tout de même - que j'attendais ce deuxième épisode de transition dont les quelques démos montrées lors de divers salons ne m'avaient pas forcément convaincu. Assassin's Creed Revelations parvient-il à se hisser au niveau des précédents opus ? La réponse est oui, mais...

Précédemment dans Assassin's Creed

Ce test s'adresse aux joueurs qui ont déjà eu l'occasion de jouer (et d'apprécier) les précédents volets de la série. Il y a clairement peu d'intérêt à se lancer dans Révélations sans avoir au moins terminé les deux épisodes précédents. De même, le retour d'Altaïr rend la connaissance des événements du premier jeu souhaitable. Plus que jamais, ce nouvel épisode met un point d'honneur à terminer l'arc narratif ouvert il y a maintenant 4 ans.

ACR se veut en effet être l'ultime volet des aventures d'Ezio, mais aussi et surtout, l'épisode qui va également donner à Altaïr une sortie digne du personnage. Tout cela, on l'imagine, a pour but de préparer le joueur avant de passer à tout autre chose dans Assassin's Creed 3 l'année prochaine. Du moins, si les bruits que l'on entend un peu partout sur la toile ces derniers jours sont exacts. Le titre même du jeu, révélations, annonce d'ailleurs clairement la couleur, même s'il ne faut pas s'attendre à beaucoup de développement du côté du personnage de Desmond, qui avait il est vrai eu droit à de nombreuses péripéties dans Brotherhood.

L'action commence sous la neige, avec un Ezio à la barbe grisonnante - ce qui lui donne au passage une dignité parfaitement respectable - mais toujours aussi en forme physiquement. Quelques secondes suffisent à l’œil affûté du fan pour se rendre compte que nous sommes de retour à Masyaf, l'ancien siège de la secte des Assassins dont Altaïr était l'un des membres les plus reconnus. Après de nombreux événements, dont quelques déboires que nous vous laissons découvrir, voici que notre héros arrive enfin à Constantinople, la nouvelle ville du jeu, théâtre d'une aventure tout aussi palpitante qu'à l'accoutumée.

La pagaille des nouveautés

Sans surprise, le déroulement du jeu se veut généralement assez proche de celui de Brotherhood, ce qui n'est clairement pas une mauvaise chose en soi. De manière générale, j'aurais même tendance à penser que tant que le jeu ne tente pas de sortir du moule de gameplay de l'épisode précédent, tout fonctionne parfaitement et reste complètement adéquat. Là où les choses se gâtent quelque peu, c'est lorsque les quelques nouveautés de Revelations font leur apparition, celles-ci étant au final assez superflues.

La première - et certainement la plus visible - de ces nouveautés est la possibilité pour Ezio de créer et utiliser toutes sortes de grenades/bombes. Pour ce faire, il faut d'abord trouver un certain nombre d'ingrédients dans la ville, ou les acheter, et les utiliser dans les établis prévus à cet effet. Après plus de 25 heures de jeu, il m'a fallu me rendre à l'évidence : je n'ai utilisé ces bombes que lorsque le jeu ne m'en a pas laissé le choix. Il est donc totalement possible de terminer l'aventure et l'immense majorité des missions sans jamais recourir à cette nouveauté, et je trouve donc totalement déraisonnable que l'on trouve des coffres (visuellement identiques aux habituels trésors de la série, et accompagnés du même tintillement sonore) contenant ces éléments littéralement tous les 50 mètres. D'autres y trouveront peut être leur bonheur et crieront donc haut et fort leur désaccord, mais j'aurais personnellement préféré ne pas voir la ville et la carte envahie à ce point par cet ajout de gameplay totalement facultatif.

L'autre ajout majeur est la possibilité pour nos ennemis de toujours - les templiers - de repartir à l'assaut des différentes tours capturées en tuant leur capitaine. Ces assauts se déclenchent semble t'il uniquement lorsque la notoriété d'Ezio atteint les 100% et le reste pendant plusieurs minutes. Notons au passage qu'il n'est plus possible de faire baisser cette notoriété en arrachant des affiches, et qu'il faut donc, soit donner de l'argent à un Héraut (-25%), soit tuer un officiel des templiers (-50%). Une fois les 100% atteints, il faut obligatoirement redescendre à 0% pour que l'état d'alerte soit enfin levé. Tuez un de leurs messagers ou capitaines et vous atteindrez immédiatement une notoriété maximale. Mais sachant que le simple fait d'acheter un bâtiment ou magasin suffit à faire monter le compteur de 20%, vous allez passer beaucoup de temps à donner de l'argent aux Hérauts ; du moins si, comme moi, vous êtes du genre prudent. Conséquence directe de mon tempérament précautionneux, je n'ai jamais eu l'occasion de participer à une défense de tour (si l'on excepte le tutoriel dédié). Il m'est donc impossible de donner mon avis sur ce nouveau mode de jeu. Ceci étant dit, je peux néanmoins vous affirmer que la gestion de sa notoriété demande beaucoup plus de temps que dans les précédents épisodes.

Il reste encore un bon nombre de nouvelles choses dans Revelations, comme la « hook blade », qui remplace l'habituelle lame rétractable d'Ezio et lui permet de glisser sur des câbles pour atteindre certains endroits très rapidement. C'est au final relativement peu utile dans la durée du jeu, même s'il faut cependant avouer que le gadget reste assez amusant à utiliser. La gestion des assassins est maintenant un peu plus poussée, avec une véritable guerre qu'il vous faut mener face aux templiers autour de la méditerranée, mais surtout, la possibilité pour eux d'atteindre le niveau maximum d'expérience - le niveau 15. Cela leur permet alors de devenir les capitaines de nos tours, et, au niveau le plus élevé, de les rendre totalement imprenables. Cette montée en expérience s'accompagne aussi cette fois de deux demi-missions (niveau 10, puis enfin niveau 15), où Ezio accompagne son disciple pour assassiner un gredin local.

Un assassin dans la ville

Mais tout aficionado de la série vous le dira, ce qui compte avant tout dans un Assassin's Creed c'est la qualité des environnements à explorer. Et force est de constater qu'à ce niveau, c'est le quasi sans faute : Constantinople est une ville absolument superbe et intéressante, car nettement plus variée et colorée que Rome par exemple. Les différents quartiers ont chacun leur identité propre et leurs habitants, et j'ai pris un grand plaisir à parcourir la ville en courant, au point que j'ai finalement assez rarement utilisé les passages souterrains qui font office de raccourcis. Notons au passage que ces tunnels sont tous débloqués dès le début, et qu'il faut être très prudent en les utilisant car ils n'est pas rare qu'ils aboutissent en territoire ennemi.

De même, les tombeaux, maintenant totalement intégrés dans la trame principale, sont tous très intéressants visuellement. Seule exception, le premier d'entre eux qui donne du coup une très mauvaise (et fausse) impression de ce qui vous attend par la suite. De manière générale d'ailleurs, le jeu commence plutôt lentement, ce qui tend à la fois à décevoir mais également à inquiéter. Après quelques heures heureusement, l'aventure reprend du poil de la bête pour monter crescendo petit à petit jusqu'à son très attendu final. Quasi première dans la série pour moi également, la fin du titre d'Ubisoft se déroule pour une fois sans véritable frustration. Je ne vais bien entendu pas vous la révéler, mais pour une fois, celle-ci se veut assez claire, et ne laisse plus grande part aux spéculations.

Ubisoft avait annoncé que Desmond passerait le jeu dans un semi coma, coincé dans un recoin de l'Animus, et c'est bel et bien le cas. Il ne reste toutefois pas totalement inerte, et a droit à différents niveaux très oniriques qui se débloquent en retrouvant des fragments de mémoire de l'Animus dans la ville. Ceux-ci sont facilement visibles, et les 30 nécessaires (sur les 100 éparpillés un peu partout) pour être en mesure de découvrir tous les niveaux mettant en scène Desmond se trouvent sans aucun soucis sur la durée totale de l'histoire. Ces séquences offrent un changement total et brutal de gameplay, puisqu'elles se déroulent dans un monde semi virtuel où Desmond n'a pas de corps et peut donc faire apparaître différents types de blocs pour traverser les pièces et résoudre divers puzzles. Ce faisant, le héros se remémore peu à peu des bribes de sa vie passée et retrouve son identité. J'avoue que ces séquences m'ont laissé pour le moins perplexe, puisqu'elles s'avèrent plus frustrantes que difficiles. Elles n'apportent surtout au final pas grand chose au personnage de Desmond que l'on connaît déjà plutôt bien.

Technique assassine ?

Premier constat, le moteur du jeu semble avoir atteint ses limites dans certains endroits de la ville, en particulier le Bazaar couvert où framerate asthmatique et tearing nous rappellent parfois certains moments du premier Assassin's Creed. Tout reste cependant toujours très jouable et le jeu fait toujours partie des plus beaux cette génération de consoles de mon point de vue (avec, et c'est à noter, une séquence de fin jouable particulièrement remarquable visuellement et très fluide). Ceci étant dit, il est clair que les designers d'Ubisoft essayent de pousser leur moteur dans ses derniers retranchements.

Autre point un peu désagréable, j'ai rencontré nettement plus de bugs (en particulier visuels) dans Revelations que dans les deux précédents volets. Les missions d'Altair (que je ne détaille volontairement pas dans ce test pour ne pas gâcher le plaisir de la découverte) semblent en particulier les plus représentatives de ce problème. Un problème que l'on peut assurément incomber au cycle de développement incroyablement court du jeu. Notons toutefois qu'aucun de ces bugs n'était bloquant et qu'à aucun moment je n'ai été tué ou obligé de reprendre une mission à cause d'un tel problème. Reste que ce manque de finition est assez décevant au final.

Bien sûr, sur d'autres plans, le jeu ne déçoit absolument pas. Mention spéciale aux musiques, à mon goût parmi les plus réussies de la série, et aux doublages (anglais) dans leur majorité absolument impeccables. Les cinématiques semblent aussi avoir encore un peu gagné en réalisme et en qualité d'animation par rapport à Brotherhood (mais c'est peut être une fausse impression). La modélisation des personnages est dans l'ensemble toujours aussi bonne, même si le visage de Desmond est assez étrange lorsqu'on le découvre en gros plan.

Pour finir, il faut noter que le mode multijoueur, déjà très réussi dans Brotherhood, fait maintenant partie intégrante du jeu puisque certaines actions du mode solo débloquent des éléments pour la partie multijoueur, et inversement. Certains points de l'histoire du jeu sont même résolus dans le mode en ligne, une première pour la série ! Heureusement pour les plus hermétiques aux joutes à plusieurs (dont Driftwood et moi faisons partie), rien d'essentiel.

Verdict


Après un début laborieux, et malgré quelques soucis de finition, j'ai fini par énormément apprécier Assassin's Creed Revelations. J'ai, de manière générale, ignoré les ajouts de gameplay par rapport à Brotherhood pour me concentrer sur l'exploration et le plaisir de la découverte, et je ne regrette en rien les 25 heures que j'ai pu consacrer à la suite (et la fin) des aventures d'Ezio et Altaïr. Ce nouvel épisode s'adresse par contre avant tout aux fans de la série, et ceux-ci seront assurément comblés. Que dire, à part vivement la suite !
CaptainTARASS - Lapin blanc
CaptainTARASS
Commentaire du 14/11/2011 à 18:18:48
En tant que grand fan de la série, ce test m'a rassuré, allez zou j'installe mon exemplaire!
En réponse à
KHannibal
KHannibal
Commentaire du 14/11/2011 à 18:20:09
Expédié aujourd'hui par Amazon UK, je vais devoir attendre vendredi ou lundi prochain. Merci pour ton test BlimBlim ; comme toi, je suis un grand fan d'AC (et de Splinter Cell) et la perspective de pouvoir enfin démêler ce tas de noeuds que constitue l'histoire et le background historique de la série me met l'eau à la bouche. Vivement ! :)
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Game2k
Game2k
Commentaire du 14/11/2011 à 18:28:25 En réponse à CaptainTARASS
Pareil, fan depuis le tout premier, hâte de me plonger dans ce nouvel opus.
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 14/11/2011 à 18:33:28
Un clin d’œil à l'un de nos membres émérites a été glissé dans l'article, saurez-vous le retrouver ?
En réponse à
CaptainTARASS - Lapin blanc
CaptainTARASS
Commentaire du 14/11/2011 à 18:34:21 En réponse à Driftwood
différents niveaux très oniriques
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TedDekon
TedDekon
Commentaire du 14/11/2011 à 19:13:37
Ubi a assuré.
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Alx
Alx
Commentaire du 14/11/2011 à 19:16:57
Je crois que je ne vais pas tarder à craquer pour ce nouvel opus ("heureusement" qu'il me reste encore Red Dead Redemption GOTY à boucler).
Je n'attends pas forcément la même claque qu'avec le 1 et le 2, mais ça fera toujours plaisir de retrouver le gameplay d'AC dans un nouveau contexte.
A ce sujet c'est assez amusant que les derniers épisodes du jeu suivent mes découvertes de certaines villes dans la vie réelle : j'ai joué à AC2 peu après mon premier voyage en Italie, où j'ai découvert Florence, Venise et Rome, et mes dernières vacances m'ont fait passer par Istanbul. Sans que ce soit voulu de ma part, ça me fait plaisir de retrouver des éléments familiers dans ce jeu.

Allez cette année je passe mes vacances à Montcuq, comme ça le prochain AC3 pourra s'y dérouler. :P
En réponse à
Onirik - Le gouda c'est sympa
Onirik
Commentaire du 14/11/2011 à 20:06:07 En réponse à Driftwood
Posté par Driftwood
Un clin d’œil à l'un de nos membres émérites a été glissé dans l'article, saurez-vous le retrouver ?
joli (et sympa). ;)
En réponse à
bosozoku - Viré pour faute grave
bosozoku
Commentaire du 14/11/2011 à 20:09:58 En réponse à Driftwood
ça ? : "Après un début laborieux, et malgré quelques soucis de finition"

Je suis salaud... :p
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BlimBlim - Tyrannosaurus
BlimBlim
Commentaire du 14/11/2011 à 20:50:44 En réponse à Onirik
Posté par Onirik
joli (et sympa). ;)
En toute franchise, j'aurais écrit onirique même sans ton auguste présence sur ce forum, mais bien entendu j'ai pensé à toi (pas trop fort quand même) quand j'ai écrit cette phrase.
En réponse à
Onirik - Le gouda c'est sympa
Onirik
Commentaire du 14/11/2011 à 21:04:12 En réponse à BlimBlim
En toute franchise, J'avoue que si Drift n'avait pas souligné, je n'aurais pas cherché et je serais passé dessus sans y penser... mais c'est sympa quand même. ;)

L'essentiel, c'est que le jeu t'ait plu... surtout le multi ! :D
En réponse à
GatoChoc
GatoChoc
Commentaire du 14/11/2011 à 21:04:42
à part le système de défense de territoire que je trouve pour l'instant lourdingue (je dis ça parce que j'y suis mauvais...) et les nouvelles fonctions qui certes offrent plus de possibilités, mais alourdissent le gameplay (en tout cas au début)... et ces maudits textes didacticiels qui disparaissent trop vite ("hein ? quoi ? je peux faire quoi ?")... à part ça, donc, ce jeu à l'air d'être excellent, et c'est un réel plaisir de se ballader dans cette magnifique Constantinople.
et ton verdict me rassure, si j'en avais encore besoin.
Merci !

PS: à oui autre chose, je sais pas si Ezio a la vue qui baisse, mais il faut souvent être très près des ennemis pour les "locker"
En réponse à
mrwhite_69
mrwhite_69
Commentaire du 14/11/2011 à 21:51:45 En réponse à Onirik
smart :)
En réponse à
BlimBlim - Tyrannosaurus
BlimBlim
Commentaire du 14/11/2011 à 22:01:17 En réponse à GatoChoc
Ha oui tiens j'ai oublié de signaler ça dans ma review, le coup des textes qui disparaissent trop vite. Pour une fois que ces saloperies de texte sont utiles dans un jeu, ils disparaissent avant qu'on puisse tout lire...
En réponse à
mrwhite_69
mrwhite_69
Commentaire du 14/11/2011 à 22:18:39
c'est de la faute a Onirik :D , il veut tout afficher le plus vite possible ;D
En réponse à
BlimBlim - Tyrannosaurus
BlimBlim
Commentaire du 14/11/2011 à 22:21:58
Je pars du principe que tout est de la faute d'Onirik de toutes façons.
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 14/11/2011 à 22:25:47 En réponse à BlimBlim
Posté par BlimBlim
Je pars du principe que tout est de la faute d'Onirik de toutes façons.
Ah bah bonne nouvelle, ça change !
En réponse à
mrwhite_69
mrwhite_69
Commentaire du 14/11/2011 à 22:30:16 En réponse à BlimBlim
Posté par BlimBlim
Je pars du principe que tout est de la faute d'Onirik de toutes façons.
Oui, faisons ca :)
En réponse à
Kevyn46
Kevyn46
Commentaire du 14/11/2011 à 22:38:33 En réponse à mrwhite_69
Pourquoi t'as plus le même pseudo ?
En réponse à
mrwhite_69
mrwhite_69
Commentaire du 14/11/2011 à 22:40:15 En réponse à Kevyn46
Posté par Kevyn46
Pourquoi t'as plus le même pseudo ?
plus le meme Pseudo ?
En réponse à
maxxart
maxxart
Commentaire du 14/11/2011 à 22:58:48
Tiens, ce test m'a fait du bien. J'etais un énorme fan d'assassin's creed 1 et 2. Brotherhood a bien entaché mon amour pour son peu de nouveautés et la pauvreté de Rome. Ce test me rappelle à quel point j'ai aimé cette série et que je veux connaître la fin de cet arc!
En réponse à
GTB - Acapello
GTB
Commentaire du 14/11/2011 à 23:35:39 En réponse à mrwhite_69
Il t'a pris pour Onirik en se basant sur ton avatar j'imagine.
En réponse à
Kevyn46
Kevyn46
Commentaire du 14/11/2011 à 23:36:49 En réponse à GTB
Oui c'est ça. :D
En réponse à
mrwhite_69
mrwhite_69
Commentaire du 14/11/2011 à 23:43:37
Haaa , c'est vrai, Je n'avais pas changé l'icone depuis Testdrive Unlimited "1er du nom" :)

C'est même sur TDU que j'ai connu Onirik d'ailleurs, on se suit il faut croire...
En réponse à
Kathakult
Kathakult
Commentaire du 14/11/2011 à 23:51:02
Je me suis réinscrit sur Gamersyde après de longues années d'absence rien que pour remercier Blim Blim pour sa preview : outre un phrasé plaisant et fluide, garder discrets des éléments "essentiels" du jeu (son scénario, faisant traverser pas mal de choses en peu de temps), tout en accordant aux à-côtés du gameplay (multi et bombes par exemple) une place légitime sans être du remplissage... Toutes ces attentions sont un plaisir à lire, on sent la sympathie de l'auteur envers le jeu et son attention envers les lecteurs fans (je suis sûr que même un jeu qu'il aurait vomis aurait eu lui aussi droit à la discrétion quant à ses surprises et fins).

Bref, merci beaucoup pour cette Review Blim-Blim, ainsi qu'aux autres têtes de Gamersyde, car finalement cette review suit la logique posée depuis quelques articles maintenant. Un vrai plaisir à consulter :)
En réponse à
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