Série emblématique de la marque Playstation depuis la PS2, God of War a rapidement imposé son style brutal sur la scène des beat them ups. En dépit d'une réédition haute définition des deux premiers volets et des deux opus sortis sur PSP, la PS3 n'avait pour l'instant eu droit qu'à un seul épisode original, mais pas des moindres puisqu'il clôturait la trilogie commencée en 2005. L'erreur est désormais réparée avec God of War: Ascension, attendu dès le 13 mars prochain. Gamersyde ayant eu la chance de recevoir le jeu en avance, nous vous laissons découvrir notre verdict sur le dernier bébé des équipes de Santa Monica.
MAJ : En l'honneur de la sortie officielle du jeu, la review revient en tête de gondole avec, comme promis, l'ajout de nos impressions sur le multijoueur et 6 vidéos maison soigneusement montées pour éviter le maximum de spoilers.
Rude tâche que d'aborder cette review tant son approche ne peut se limiter aux seuls goûts de son auteur. En effet, selon que l'on soit un joueur avide de nouveautés ou un fan invétéré dont le souci majeur est de retrouver ce qui forme la quintessence d'une franchise aux codes profondément établis, le verdict ne pourra que tendre vers deux extrêmes diamétralement opposés. L'exercice va donc automatiquement consister en un habile numéro d'équilibriste où chaque parti devra trouver réponse à ses questions.
Il y a toujours eu quelque chose de profondément addictif dans la violence viscérale d'un God of War, ce qui d'ailleurs explique en partie son succès. On ne sera donc pas surpris de voir que ce nouveau volet ne déroge pas à la règle, repoussant même certaines limites quand le Spartiate entreprend de découper le crâne de certains animaux presque familiers. Kratos, plus en forme que jamais, ne lésine en effet pas sur les moyens pour occire les hordes de monstres plus ou moins mythologiques qui se dressent sur son chemin. Seul éventuel problème pour certains, ces moyens sont plus ou moins les mêmes depuis le tout début de la série. L'habitué nagera donc en terrain connu quand il gagnera petit à petit les mêmes pouvoirs offensifs du dieu en devenir, quand il verra un essaim ennemis fondre sur lui à chaque fois qu'il les débloquera, quand il devra trouver la tactique appropriée pour triompher de ses adversaires. Une légère nouveauté tout de même, la possibilité de ramasser des armes sur le champ de bataille. Certains reprocheront donc à Ascension son manque d'audace et sa tendance à tomber dans la facilité, d'autres jubileront de retrouver le personnage le plus colère de l'histoire du jeu vidéo. Une question d'équilibre on vous dit.
L'aventure principale se découpe (au sens propre comme au figuré) en 30 chapitres effrénés au cours desquels le héros fera la lumière sur la façon dont celui-ci parviendra à s'émanciper d'Ares. Une quête qui sera finalement le prétexte à une débauche de violence qui pourra parfois soulever le cœur des plus sensibles. Alternant savamment combats, phases de plateforme et énigmes, la formule ne bouge donc pas d'un iota, mais comme on dit, on ne change pas une équipe qui gagne. Pourtant, tout le monde aurait certainement accueilli avec plaisir quelques menus changements, à commencer par une gestion de l'esquive plus précise par exemple. En effet, après 6 épisodes sur trois machines différentes, celle-ci s'escrime toujours à se limiter aux mêmes 4 directions (haut, bas, gauche, droite) et elle n'a toujours pas la vivacité nécessaire pour se sortir des situations les plus délicates. De même, le système de contre manque encore un peu de souplesse et d'efficacité par rapport à d'autres jeux du genre – comme Lords of Shadow pour n'en citer qu'un – et il est toujours possible de se contenter d'un ou deux combos de base pour terminer l'aventure en mode normal, le jeu ne prônant pas la diversité offensive comme un Devil May Cry.
La mise en scène des combats, marque de fabrique de la série, mettra en joie n'importe quel amateur de grand spectacle. Les angles de caméra, souvent vertigineux, mettent en valeur décors et monstres imposants, et tant pis si la lisibilité de l'action en prend parfois un vilain coup. En mode normal, cela ne sera jamais trop préjudiciable, mais dans les niveaux supérieurs, les cadrages imposés pourront être source de moult frustrations. S'affronteront donc ici les inconditionnels de l'aspect cinématographique voulu par Sony Santa Monica et ceux qui n'ont de cesse de réclamer l'évolution de la série avec l'implémentation d'une caméra manuelle. Pourtant, impossible de nier l'efficacité d'un tel procédé, l'immersion est totale et la grandeur des environnements explose à chaque plan un peu audacieux. On gagne donc en mise en scène ce que l'on perd en précision, mais cela n'ayant jamais véritablement ennuyé les adeptes de la franchise, cela semblera sans doute un maigre prix à payer pour l'assurance d'une expérience riche en sensations.
Reste qu'il faudra avoir les nerfs solides pour encaisser les habituels passages où le jeu prend un malin plaisir à nous faire subir des vagues de plus en plus massives d'ennemis. Rien qu'en mode normal, il faudra maîtriser l'art de l'esquive et ne pas hésiter à jongler entre les différentes armes de Kratos (que l'on peut toujours changer à la volée via le pavé directionnel) pour ne pas devoir recommencer la séquence un certain nombre de fois. Entre les ennemis munis de boucliers, ceux qui parent quasi systématiquement, et les monstres plus imposants qui s'invitent à la fête en venant à plusieurs, la survie du fantôme de Sparte ne tiendra souvent qu'à un fil. On pense par exemple à ce moment du chapitre 28 qui risque d'en décourager plus d'un tellement il semble insurmontable - ce qu'il sera d'ailleurs sans doute pour quelques uns, même en mode normal. Il faut d'ailleurs noter que, contrairement à God of War 3 qui commençait sur les chapeaux de roues mais qui souffrait de baisses de rythme dans la suite de l'aventure, Ascension profite d'une montée crescendo de l'intensité des situations. Tout juste peut-on regretter le manque de renouvellement du bestiaire, d'une part très similaire aux volets précédents, mais finalement pas aussi varié qu'on l'aurait voulu au sein de cet épisode.
Les capacités surhumaines de Kratos ne s'arrêtent évidemment pas à ses seules aptitudes au combat. De manière à ménager le joueur entre deux affrontements épiques, le titre de Santa Monica Studio n'oublie pas que sa série fétiche puise aussi ses racines dans le jeu de plate-forme. L'occasion de prendre un peu plus le temps d'admirer les majestueux paysages qui se dressent tout autour du héros, l'écrasant presque de leur immensité quasi divine. Gravir les parois abruptes de l'olympe ne demandera certes pas grand doigté, mais ce n'est pas à dire que l'échec n'a pas sa place lors de ces passages. En effet, le guerrier en colère pourra tout à fait manquer un saut en s'y prenant trop tard ou trop en avance, tout comme il pourra s'écraser en contrebas en lançant ce qui lui fait office de grappin dans le mauvais timing. Alors bien sûr, tout est fait pour simplifier la tâche au joueur, avec par exemple cet éclat scintillant vert des crochets qui annonce qu'il est temps d'appuyer sur R1, ou ces sauvegardes opportunes juste avant une séquence potentiellement mortelle. À plusieurs reprises, Kratos devra se hâter de traverser une zone alors que le décor disparait sous ses pieds, quand il ne s'agira pas de dévaler une pente glissante façon snowboarder du dimanche tout en évitant les pièges. Courts mais pas toujours faciles à passer au premier essai, ces passages amènent un peu de variété, même si leur redondance se fait aussi vite sentir.
Là où God of War : Ascension se renouvelle régulièrement par contre, c'est sur le plan des puzzles environnementaux rencontrés au cours de l'aventure. Plutôt malins, ils sont suffisamment intéressants pour stimuler un minimum l'intelligence du joueur, sans pour autant se poser en barrières infranchissables que seul un tour rapide sur Internet pourra faire tomber. Leur originalité tient essentiellement au fait qu'ils reposent parfois sur des mécaniques nouvelles offertes par les différents pouvoirs auxquels Kratos va avoir accès au fur et à mesure de son périple. Avant d'obtenir l'amulette d'Ouroboros qui permet d'altérer son environnement en le réparant ou, au contraire, en le vieillissant, il faudra se contenter de statuettes qui laissent échapper un gaz aux effets similaires. Au joueur de tirer parti de cette possibilité (qui peut également servir en combat pour immobiliser ses adversaires) pour résoudre les énigmes qui se dressent devant lui. Plus tard, Kratos aura également la capacité de faire un apparaître un double, bien pratique pour actionner un interrupteur pendant que lui peut emprunter la voie ouverte. Tout comme pour l'amulette d'Ouroboros, ce clone astral pourra venir prêter main forte au Spartiate quand le besoin s'en fera sentir. Au bout du compte, sans parler de révolution, l'inventivité de ces séquences de réflexion fait plaisir à voir dans une aventure solo qui ne prend par ailleurs absolument aucun risque par rapport à ses prédécesseurs.
C'est une grande première dans un God of War, un mode multijoueur est de la partie pour partager les joies de la boucherie mythologique entre amis. Après un - très léger - contexte scénaristique nous expliquant que notre avatar chauve a été désigné pour être un champion des dieux, un court tutorial nous apprend les bases de l'art du combat en ligne. Si la plupart des mouvements de Kratos répondent assez logiquement présents, on note tout de même quelques subtilités supplémentaires comme les coups spéciaux à utiliser avec parcimonie, ainsi que des magies et compétences dont la nature dépend directement de la divinité à laquelle on a prêté allégeance. Ainsi, Zeus vous offrira des pouvoirs électriques et une plus grande puissance magique, tandis qu'Arès vous offrira une maîtrise du feu ainsi qu'une force de corps à corps accrue ; rien n'étant irréversible (notre guerrier peut changer de divinité à tout moment), le choix de départ ne préfigure en rien du style de jeu à adopter. Enfin, une dose de technique a été ajoutée, notamment grâce à un système de changement de couleur chez l'adversaire. Celui-ci prendra en effet une teinte blanche luisante après avoir exécuté une esquive ou un coup spécial, l'occasion idéale pour une prise sauvage et sanglante puisque le malheureux devient alors totalement vulnérable.
Du côté des modes de jeux, le classique est de mise, avec des batailles en équipe (jusqu'à 4 contre 4), du combat chacun pour soi ou encore l'inusable capture de drapeaux. Au miileu de tout cela, un mode plus original est également au menu : constitué d'un niveau à boucler en temps limité où chaque monstre tué ou coffre ouvert allonge la durée du chronomètre, ce challenge est la meilleure idée du multijoueur, et s'avère particulièrement amusant à jouer en coopération. Dommage que seuls deux joueurs maximum peuvent y participer. Une équipe de quatre guerriers tentant de coopérer aurait pourtant été l'occasion d'un joyeux chaos à l'écran. Au niveau des autres modes, les décors se montrent visuellement réussis et comportent leurs lots de pièges et téléporteurs tout à fait dans l'esprit de la série. Hélas, les mêlées entre joueurs sont assez brouillonnes et confuses, et on passera vite en mode "martelage de touches" pour essayer de massacrer l'autre, en priant pour que son niveau ne soit pas trop élevé. Car notre guerrier gagnera de l'expérience au fil des batailles, augmentant ainsi ses aptitudes et débloquant des pièces d'armures et autres compétences. Preuve de l'efficacité du multi, l'acquisition des divers équipements et la montée en puissance s'avèrent suffisamment addictifs pour continuer à jouer afin d'obtenir le champion ultime. Une première incursion dans le monde des joutes en ligne perfectible mais au final soignée et sympathique, et qui respecte parfaitement l'univers God of War, tant dans l'identité visuelle que dans la brutalité de son gameplay.
Les premières minutes de God of War : Ascension ont beau ne pas surprendre ni enthousiasmer autant que l'incroyable prologue du troisième opus, il propose néanmoins une qualité graphique de haut niveau. On pourra certes pester contre un aliasing un peu envahissant parfois, contre l'impossibilité de pouvoir admirer le paysage librement, sans le carcan des angles de caméra prédéfinis, mais au delà de ces quelques griefs, difficile de remettre en question la plastique de la dernière exclusivité en date de chez Sony. Comme nous le mentionnions plus haut, les imposants décors sont mis en valeur par un cadrage particulièrement soigné, même si l'on aurait parfois aussi aimé que l'effet de flou de certains arrière-plans soient un peu atténué pour profiter encore plus du paysage. Les effets de lumière sont soignés, les zooms qui se déclenchent assez régulièrement mettent en valeur la modélisation du personnage principal, mais on regrette que tous les effets spéciaux ne soient pas logés à la même enseigne. La furie des lames du chaos semble par exemple assez peu impressionnante, avec un bouquet final très en retenu par rapport à la démesure des mises à mort, toutes plus gores les unes que les autres. Artistiquement, pas de bouleversement, ce qui pourra d'ailleurs décevoir tant les environnements traversés n'ont rien de très original et marquent même moins que ceux du troisième volet. De bonnes idées tout de même, comme le passage à dos de serpent mécanique, ou même le fourneau, qui bien que classique, est assez réussi visuellement une fois activé.
Moins bavard qu'autrefois, Kratos se montre plutôt mesuré dans ses interventions lors des quelques cinématiques qui contrastent d'ailleurs avec la démesure des phases de gameplay. Pas que le musculeux chauve soit véritablement plus humain dans cet épisode, mais disons que l'acteur qui le double a troqué les cris pour un ton moins braillard. La révolution narrative n'a cependant pas eu lieu non plus, et on peine finalement à s'intéresser aux raisons qui justifient les massacres chorégraphiés à faire pâlir de jalousie Kamel Ouali. À ce sujet, les animations n'ont pas bougé d'un poil, ce qui eut été étonnant pour un héros imberbe, et participent donc aussi à l'impression de stagnation de la série. On ne critiquera pourtant pas celles des mises à mort sanglantes, troublantes de réalisme au point qu'on souffrira presque autant que les malheureuses victimes. Côté framerate, là encore c'est le status quo avec des passages affichant clairement le 60 images par seconde, tandis que dans d'autres, il oscillera plus autour de 40. La différence est notable mais jamais dérangeante, et si vous n'en aviez pas fait cas dans le troisième volet, il en sera de même ici. À titre de comparaison, God of War : Ascension est tout de même autrement plus fluide qu'un Castlevania : Lords of Shadows. En bref, un bilan technique à l'image du reste, solide et efficace, mais sans surprise. Une fois encore, selon le camp que vous aurez choisi, Ascension sera une véritable orgie visuelle et passionnelle, ou un simple calin routinier sans la flamme des premiers jours.
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Driftwood étant absent, je vous copie-colle quelques informations sur les vidéos :
Alors que la semaine dernière, l'attaché de presse de Sony pensait honnêtement qu'aucune restriction ne serait demandée (à condition évidemment de ne pas spoiler la campagne solo) pour les tests, il a été prévenu lundi en début d'après midi seulement qu'il était interdit de montrer des extraits du jeu situés après le chapitre 12. Histoire de nous compliquer encore plus la tâche, chaque séquence de gameplay en continu ne pouvait excéder 30 secondes (ce qui excluait d'office toute vidéo focalisée sur l'aspect puzzle du jeu). Absent cette semaine, j'avais évidemment préparé toutes nos vidéos le weekend dernier, et il m'était impossible de les modifier avant la mise en ligne ou d'en préparer d'autres en remplacement.
Pour les découvrir, il faudra donc attendre le 13 mars, date de sortie officielle du jeu, mais je n'exclus pas d'en proposer une ou deux en début de semaine, si je trouve le temps de monter quelques extraits bonus sans en dévoiler. Quoiqu'il arrive, votre patience sera récompensée puisque nous avons déjà 6 vidéos à thème de prête : la cinématique d'introduction du jeu, l'aspect baston, la partie plate-forme, les puzzles, les mises à mort et notre classique vidéo sur les environnements. Nous avons pris grand soin à ne pas en montrer trop, donc vous pourrez vous faire plaisir si votre curiosité l'emporte sur la raison.
Merci de votre compréhension et bonne lecture !
@Driftwood : par rapport à GoW 3, tu dirais que le niveau de difficulté est globalement comparable ? Tu mentionnes dans cet épisode un ascenseur qui en fera reculer plus d'un, est-ce comparable au labyrinthe du 3 (je me suis arraché les cheveux sur certains combats en mode Chaos :/) ?
Bon test, merci.
Mars est hyper chargé en ce qui me concerne, entre celui-la et Lara Croft... sans oublié le terrible Star Craft II :s Dure dure la vie d'un joueur.
Drift, il parle pas à toi, Drift, il parle pas… à Toi! ^^
Ben voilà… Gamersyde racheter par le Prince… Par contre, il a pas mis les moyens sur les transferts! ;)
Cela dit, en finissant d'abord le jeu en normal et en revenant à ce point avec les objets débloqués (comme dans GoW3, il y a des objets spéciaux à collecter), c'est peu être plus gérable.
Le problème, c'est que le mode difficile est complètement... inintéressant. C'est juste plus de créatures, plus résistante. Absolument pas plus de tactique ou de technique.
Si mes souvenirs sont bons, dans le 3 refaire le jeu avec les objets spéciaux débloqués lors de la première partie bloque l'accès aux trophés, donc pour ceux qui souhaitent le finir en 100% c'est sans doute pas une bonne idée ^^
Je ne sais vraiment pas quoi faire avec ce GOW :/
Je sais que je ne toucherai pas au multi en ligne, mais la campagne solo semble au moins aussi longue que le 3, et les 2/3 boss que j'ai entre aperçu donnent vraiment envie ... mais avec tomb raider qui vient de sortir, pas facile de faire un choix.
Je verrai si le trophée platine est accessible pour celui-ci, je le ferrai peut être (même si je m'attend à des "Atteignez le niveau 50 en multijoueur" :( )
De me remémorer GoW3 me donne d'autant plus envie de jouer à Ascension. Il va falloir finir Tomb Raider avant même si j'aime bien prendre mon temps avec Lara ^^
Mais cela n'altère pas la façon de jouer. Je n'ai jamais vu d'ennemis dans la série sortir des attaques differentes selon le mode de difficiculté, ni vu les combinaisons varier ou les règles changer. Dans le dernier DmC, j'ai trouvé tout ça et c'était bon.
Par ailleurs j'ai l'impression que l'on a plus les autres armes gagnées dans GOW3 que je trouvais excellentes, avec changement à la volée... Je trouvais que c'était bien la première fois dans la série que les armes secondaires étaient réussies, et pour le coup très très réussies...
GoW a toujours été assez bourrin, mais je trouve que cet opus l'est plus que les précédents. Le système d'éléments n'est pas pour moi une franche reussite et ne compense absolument pas la perte des armes secondaires. Si encore le bestiaire etait vraiment construit autour de ça mais comme c'est un gros recyclage des jeux précédent, ça reste superficiel. Défoulant, mais limité.
Je verrai si le trophée platine est accessible pour celui-ci, je le ferrai peut être (même si je m'attend à des "Atteignez le niveau 50 en multijoueur" :( )
De me remémorer GoW3 me donne d'autant plus envie de jouer à Ascension. Il va falloir finir Tomb Raider avant même si j'aime bien prendre mon temps avec Lara ^^
Olalal quel jeu magnifique celui ci... j'ai vraiment adoré... (à part le ending, ultra lourd à courir sur un fond noir...)