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On termine cette semaine sans stream (je suis vraiment désolé que rien ne fonctionne depuis quasiment 10 jours mais je ne peux rien y faire) par une review de Kaze and the Wild Masks accompagnée d'un Gamersyde Offline coloré et plein de bonne humeur, même dans le fail. On espère que vous aurez la curiosité de vous y intéresser un peu et on attend vos réactions dans les commentaires.
Verdict
Au delà de l'agréable bain nostalgique que nous offre Kaze and the Wild Masks, c'est surtout pour le plaisir qu'il procure que nous le conseillons à tous les amateurs de jeux de plateforme de la Super Nintendo et de la Megadrive. Avec ses graphismes très soignés que l'on croirait tout droit sortis des années 90, la qualité d'image en plus (même sur un grand écran 4K), le jeu de PixelHive propose une expérience digne de ses illustres modèles. Les niveaux ont beau être courts, ils sont parfaitement orchestrés pour satisfaire à la fois les speed runners et les joueurs plus prudents. Il est donc possible de les traverser dans un rythme soutenu ou de prendre son temps, du moins dans la plupart des cas. Certains passages lancent en effet le joueur dans une course en avant effrénée, soit parce que l'un des masques oblige Kaze à courir sans s'arrêter (transformant alors le jeu en véritable runner), soit parce qu'une menace la force à avancer (tornade, montée d'eaux acides, poisson tueur, etc.). Chaque niveau renferme 2 zones bonus, un certain nombre de joyaux à récolter ainsi que les lettres formant le nom de l'adorable lapine que l'on contrôle, invitant donc le joueur à les refaire, tout comme le mode time attack qui se débloque après les avoir terminés une première fois. Chaque monde se conclut évidemment par un combat de boss mis en scène dans la plus grande tradition des jeux du genre, avec des patterns à retenir pour éviter ses attaques avant d'obtenir une courte fenêtre d'action pour toucher son adversaire (il faut le faire 3 fois) et le vaincre. N'oublions pas d'évoquer également ce qui justifie le titre même du jeu, les différents masques que Kaze va trouver sur sa route et qui lui octroieront des capacités spéciales le temps de boucler le niveau en cours : le requin évolue sous l'eau, l'aigle permet de voler en tapotant le bouton A, le tigre profite d'un dash et peut grimper sur les parois verticales et le lézard possède un double-saut. Les plus vieux ne manqueront pas de reconnaître les jeux cultes dans lesquels l'équipe de développement est allée puiser son inspiration et les plus jeunes s'y frotteront avec le plaisir de la découverte d'un genre qu'ils ne pratiquent pas forcément aussi régulièrement aujourd'hui que les enfants et ados des années 80/90. Kaze and the Wild Masks est donc sans nul doute un très bel homage à tous ces titres qui nous ont fait vibrer il y a 30 ans et il serait dommage de ne pas vous laisser tenter, même sur des consoles comme la Xbox ou la Playstation. On imagine que sur Nintendo Switch en mode portable, l'expérience doit être tout aussi excellente, et si les performances sont aussi bonnes que sur la console de Microsoft, on est persuadés que cette version remportera un franc succès et que ce sera bien mérité. Si ces quelques lignes ne vous ont pas encore totalement convaincues, on vous dirige vers notre Gamersyde Offline ci-dessous pour vous faire une idée plus précise sur le jeu de PixelHive.
- Les plus
- Un jeu charmant qui rend homage à l'ère 16bits
- Très mignon à regarder, très plaisant à écouter
- Les différentes transformations qui modifient le gameplay
- Une maniabilité qui répond au doigt et à l'oeil
- La fluidité jamais prise en défaut
- Les moins
- Les niveaux façon runner peuvent être frustrants
- Un peu trop cher pour son propre bien
Gamersyde Offline de présentation
Tous les commentaires (8)
Merci pour cette découverte.
C'est moi ou on dirait un peu (beaucoup) Monster Boy (ou Wonder Boy).
Une bonne découverte car je conaissais pas.
Mais j'ai trop peur de la difficulté à un moment donné.