En complément de nos nombreuses vidéos de gameplay, nous revenons comme promis avec notre critique de SnowRunner, le tout nouveau jeu de Saber Interactive (World War Z, mais aussi les portages Switch de Witcher 3, Call of Chtulhu et Vampyr) . De quoi vous faire une meilleure idée de ce qui vous attend, surtout si vous n'avez jamais eu l'occasion de vous frotter à MudRunner, sorti il y a déjà 3 ans. En bonus, une dernière vidéo présentant un véhicule déjà créé par la communauté.
Le trailer de lancement avait beau esquisser l'idée d'un cadre narratif en pastichant quelque peu Death Stranding et son monde post-apocalyptique, SnowRunner ne compte pas vous raconter d'histoires. Enfin, disons plutôt qu'il ne va rien faire pour les mettre en scène, vous laissant le soin d'être le propre réalisateur de vos exploits (et de vos échecs). Il faudra donc vous imaginer routier insomniaque dévoué à son travail, obligé de délaisser sa femme Mindy le temps de rendre service aux autres, car il n'existe pas plus grande urgence que de venir en aide à ceux que les conditions météo difficiles ont mis en difficulté. Dans le Michigan par exemple, ce sont les fortes inondations qui ont paralysé l'état, allant jusqu'à couper certaines bourgades du reste de leur comté lorsque les ponts ont cédé à cause des torrents d'eau ou que les glissements de terrain ont totalement bloqué les routes et les accès à la ville. En Alaska, les habitants sont certes plus habitués aux caprices du temps, mais ils n'en ont pas moins besoin du dévouement des conducteurs de l'extrême, dont vous faites partie évidemment. Heureusement, vous ne croiserez ni Robin Williams ni Al Pacino sur votre route, SnowRunner ne versant pas dans le polar dramatique façon Christopher Nolan. Quant à la région de Russie dans laquelle vous officierez, vous comprendrez rapidement qu'un endroit aussi isolé soit obligé de faire appel à vos services pour livrer du matériel (on ne se limite plus au bois désormais, la variété est de mise) ou dégager les véhicules embourbés, entre autres. Des histoires, vous allez donc en vivre, mais à la manière de tout bon bac à sable qui se respecte, c'est vous qui ferez office de conteur, c'est vous qui, à l'issue de chaque session de jeu, aurez bien des choses à raconter. SnowRunner ne s'embarrasse donc d'aucun scénario, tout juste propose-t-il une rapide mise en contexte par le biais d'un court briefing de mission à lire prestement. Aucune voix, aucun personnage à proprement parler, le jeu de Saber Interactive ne se risque jamais à s'aventurer sur ce genre de pente glissante, il reste droit dans ses pneus, visant à vous faire vivre une expérience jusqu'au-boutiste qui va vous amener à explorer un monde vaste et désolé.
Le principe de SnowRunner est simple. Le jeu débute alors que vous êtes à bord d'un pick-up américain (le Chevrolet CK1500 pour les connaisseurs), un véhicule de la catégorie éclaireur qui va vous permettre d'explorer la (première) carte (sur quatre) de Black River, avant de pouvoir trouver un camion et commencer votre travail de livraison pour de bon. Comme dans de nombreux jeux proposant des zones un minimum ouvertes, toute la map de la zone où l'on arrive pour la première fois est entièrement masquée par une sorte de brouillard de guerre, qui se lève une fois que l'on arpente les lieux ou que l'on atteint l'une des nombreuses tours de guet du secteur. Empruntée à la série Assassin's Creed, cette mécanique un brin désuète aujourd'hui sert cependant plutôt bien le propos du jeu, qui s'appuie énormément sur l'exploration et la découverte de contrats, de pièces d'amélioration pour les différentes classes de véhicules, de remorques ou de nouveaux camions. Chaque découverte d'une tour d'observation donne lieu à une courte (mais sympathique) cinématique offrant un rapide aperçu des environs, avant de libérer la carte de son brouillard et d'y ajouter les divers points d'intérêt des alentours. Pour les amateurs de balades virtuelles, cet aspect reconnaissance du jeu est indéniablement l'un des points forts de SnowRunner. Avec comme ennemi principal la méconnaissance du terrain et les conséquences qu'elle peut entraîner, il est dangereux de se lancer dans une livraison sans avoir au préalable pris le temps de partir en reconnaissance. La carte est certes détaillée, mais il ne faut surtout pas vous fier à la manière dont les tracés sont représentés, sous peine de vous retrouver en bien mauvaise posture une fois sur place au volant de votre camion. Car si les véhicules de type éclaireur sont relativement capables de faire fi des pièges du terrain (encore que nous verrons bientôt que le pick-up de départ est loin de pouvoir franchir tous les obstacles), il n'en va pas de même pour les gros camions, surtout celui que vous utiliserez pendant les premières heures.
En effet, en l'absence d'une motorisation à quatre roues motrices et de pneus pensés pour les surfaces meubles, il est bien difficile (pour ne pas dire impossible parfois) d'éviter de s'embourber sur certains itinéraires. Or, avant de pouvoir accéder aux pneus tout-terrain de votre camion, vous allez devoir monter votre niveau de pilote, ce qui implique de réaliser des tâches, de remplir des contrats, ou de découvrir de nouveaux lieux (par exemple). Sachant qu'il vous faudra atteindre le niveau 8 pour être en mesure d'acheter ce type de pneus (une restriction assez surprenante trouvons-nous), il va s'en passer des heures avant que vous ne puissiez aborder sereinement certains passages. D'autres améliorations pourront néanmoins vous aider dans votre tâche, puisque la boîte de vitesse, les suspensions ou le moteur peuvent être modifiés, vous permettant de passer en vitesse lente et de bloquer le différentiel pour éviter de rester bêtement coincé à quelques mètres de votre objectif (ça sent le vécu...). Ceci étant dit, comme votre premier camion ne peut compter sur la motricité off-road adéquate, une livraison gardera toujours une bonne part de risque. Combien de fois avons-nous lamentablement raté le contrat qui nous liait à une ferme locale parce que le sol de la propriété était complètement détrempé ? Et n'allez pas croire qu'un rapide tour au concessionnaire (accessible via votre garage) vous permettra d'acquérir rapidement un camion off-road, à moins de faire des économies drastiques et de parvenir à enchaîner les contrats juteux avec succès. On vous conseille d'ailleurs plutôt de faire preuve d'un peu de patience car vous finirez par en trouver un au hasard de l'une des maps, comme pour toutes les classes de véhicule du reste. En attendant, il faudra bien faire avec le camion de base, sur lequel on peut placer différents types d'accessoires (remorques, citernes, grues, etc.) en fonction des besoins de la livraison, mais qui vous demandent également d'investir une partie de votre pécule. Il est donc important de ne pas négliger les missions du jeu, même si certaines obligent assez rapidement à récupérer le matériel dans des entrepôts difficiles d'accès.
Encore une fois, c'est là que l'exploration de la carte devient primordiale, car dans notre cas, pour avoir un peu trop rapidement relégué cet aspect au second plan pour nous consacrer uniquement au travail rémunéré, nous n'avons pas découvert le tunnel qui mène de Black River au barrage de Smithville avant un bon moment, et cela nous a fait perdre un temps précieux. Rapide explication. Assez vite dans les contrats proposés sur la carte de Black River, on nous a demandé d'aller chercher du matériel dans un entrepôt assez mal placé, car encadré par des chemins boueux ou des routes coupées (à cause de ponts écroulés ou d'éboulis de pierre), que l'on ne pouvait réhabiliter sans avoir accès aux ressources disponibles dans ce fameux entrepôt. Seulement voilà, une fois la zone du barrage découverte, nous avons réalisé qu'il était tout à fait possible de nous fournir auprès d'une entreprise locale et de rapatrier les matériaux dont nous avions besoin jusqu'à Black River. Chaque destination (Michigan, Alaska, Taïmyr) se décompose en 4 cartes (enfin 3 pour la Russie), accessibles (après un rapide temps de chargement) via des tunnels qui n'apparaissent sur la carte qu'une fois découverts. Seul problème, si les contrats d'une zone restent consultables quelle que soit la map où l'on se trouve, il n'en va pas de même pour les tâches (des jobs qui se concentrent plus sur la réparation ou la récupération en général), ce qui oblige à suivre l'une d'elles avant de quitter la zone où elle se trouve. Sans cela, impossible d'afficher les matériaux dont on a besoin et l'entrepôt adéquat sur la carte. Expliqué ainsi, cela peut sembler un peu confus, et le jeu l'est d'ailleurs parfois (nous vous expliquerons pourquoi d'ici peu), mais au final, ce qu'il faut retenir c'est que le jeu laisse une certaine liberté pour accomplir les différents objectifs, et qu'il ne faut donc pas oublier que l'on peut toujours trouver son bonheur ailleurs (tant que l'on ne quitte pas l'état ou le pays bien sûr – il est impossible de se rendre en Alaska pour emmener des ressources en Russie par exemple).
Loin des jeux qui se parcourent à un rythme effréné, SnowRunner invite à prendre son mal en patience, la progression (celle qui débloque le contenu du jeu en gagnant des niveaux de chauffeur, mais également celle, plus littérale, qui est au centre de chaque déplacement) étant plutôt lente en général. Un problème ? Pas le moins du monde, car au contraire, c'est justement aussi ce qui fait le sel de l'expérience. Sans ces déplacements contrariés par le relief et les surfaces, le sentiment d'accomplissement qui survient dès que l'on parvient à surmonter un obstacle ou à valider sa mission serait quasi absent. La majeure partie du plaisir que l'on prend dans SnowRunner vient donc surtout des bâtons qu'il met un point d'honneur à nous mettre dans les roues. Quand débute l'aventure, le moindre déplacement est à prendre comme un défi, à la fois parce que l'on découvre un environnement inconnu que l'on ne s'est pas encore approprié, mais aussi parce que l'on ne possède pas encore tout l'équipement dont on a besoin. À ce titre, il faut préciser que les possesseurs de l'édition Premium (qui inclut le Season Pass) verront l'exploration des premières heures nettement facilitée s'ils utilisent le véhicule éclaireur offert pour l'occasion. En ce qui nous concerne, ce dernier n'ayant été ajouté à notre version que quelques jours après la réception du code, nous avons vécu le début du jeu comme n'importe quel acquéreur de la version standard et cela ne nous a jamais empêché de progresser. On ira même jusqu'à dire que nous avons tiré une grande satisfaction à voir notre Chevrolet s'améliorer avec le temps, jusqu'à devenir la jumelle quasi (il n'y a pas de GMC Sierra Grande dans le jeu) parfaite de la voiture de Colt Seavers. Tout aussi rebondissante que cette dernière avec ses suspensions surélevées et ses énormes pneus, elle ne nous permet hélas pas des envolées aussi lyriques que son modèle. Cela n'enlève cependant rien au moteur physique du jeu, particulièrement impressionnant quand on se penche un peu sur la gestion des suspensions, de la déformation des surfaces, de l'adhérence (la glace ça glisse, le feu ça brûle et l'eau ça mouille), et même de l'environnement lui-même. En effet, branches et pierres réagissent au passage des différents engins, les arbustes se plient quand on leur roule dessus, se cassent quand on y accroche le treuil et qu'ils ne sont pas assez solide pour supporter le poids d'un camion, bref, on s'y croirait.
Demandez-le aux connaisseurs, Spintires et MudRunner (une version améliorée du jeu original qui ajoutait, entre autres, une vue cockpit) souffrait d'un habillage assez rustique, avec des menus austères et peu ergonomiques qui obligeaient d'ailleurs souvent à utiliser la souris en complément de la manette sur PC. Si tout n'est pas encore parfait dans SnowRunner, les améliorations sont notables, à commencer par le design nettement plus agréable à l’œil des menus. Mieux, l'accès à toutes les options relatives aux véhicules se fait naturellement via la touche haut du pavé directionnel, ce dernier servant ensuite à naviguer entre les différentes fonctionnalités (treuil, réserve d'essence, caisse à outils, grue, changement de camion, retour au garage, etc.). Autre amélioration notable, le visuel a fait un bond en avant pour le moins impressionnant. La distance d'affichage est incroyable, le jeu regorge de détails, comme tous les débris qui jonchent les routes par exemple, les textures sont particulièrement détaillées et le jeu dispose d'un cycle jour/nuit très réussi (que l'on peut contourner à tout moment en changeant instantanément l'heure de la journée sur la carte si les livraisons de nuit vous effraient). Pour ne rien gâcher, le retour au garage est instantané, sans loading, les écrans de chargement entre chaque map (ou destination) sont rapides et nous n'avons rencontré aucun bug majeur pendant notre phase de test. Mentionnons aussi la présence d'une vraie vue cockpit cette fois, avec une modélisation assez précise des intérieurs des différents véhicules et (sur PC) la présence de rétroviseurs fonctionnels. Tout cela fait de SnowRunner un titre nettement plus attirant pour un public pas forcément intéressé par les jeux du genre, d'habitude réservés à une frange très précise de joueurs passionnés. Cela ne veut pas pour autant dire que ces derniers se sentiront lésés par ce nouvel épisode, qui demande tout de même un réel investissement pour le dompter pendant les premières heures de jeu. Dans le même temps toutefois, tout ne sera clairement pas du goût des deux camps, car novices comme spécialistes vont devoir y mettre un peu du leur pour passer outre les quelques lacunes fonctionnelles du titre.
Malgré des efforts pour rendre SnowRunner plus ergonomique, on vous met au défi de ne pas vous arracher quelques cheveux pour comprendre certaines choses, même si de nombreuses informations sont données par le biais des (nombreux) tutoriels écrits qui s'affichent au début du jeu. Par exemple, lorsque vous déciderez de changer de région pour découvrir l'Alaska ou la Russie, vous risquez au moins une fois d'arriver à destination sans vos véhicules fétiches. Les changements d'état (ou de pays) s'effectuant à partir du garage, il faut toujours bien penser à "conserver" les camions déployés (vous avez plusieurs emplacements à votre disposition dans le garage) que vous désirez emmener en appuyant sur la touche X (ou carré). Sans cette manipulation, vos véhicules resteront garés dans le Michigan, vous obligeant à revenir les récupérer... La gestion des contrats et tâches est également assez perfectible tant il n'est pas toujours simple de s'y retrouver dans le menu. Il arrive que l'on découvre un objectif en se promenant, qu'on le déclenche en roulant dessus (on vous conseille aussi d'appuyer sur la touche A pour confirmer sa découverte), sans pouvoir le retrouver ensuite dans le récapitulatif des missions. De plus, au départ, on ne comprend pas forcément qu'un contrat repéré grâce à une tour de guet oblige à se rendre sur place pour le valider, alors qu'il peut pourtant apparaître dans la liste du menu. Cette idée de devoir absolument rouler sur la zone limitée où se trouve le contrat est d'ailleurs assez ridicule parfois. Prenons l'exemple d'une voiture embourbée que nous devions ramener à une ferme. La tâche apparaissait bien dans le menu mais n'était pas sélectionnable et, à ce stade du jeu, nous n'avions pas encore compris qu'il fallait qu'elle le soit pour la suivre et la terminer. Nous nous sommes laborieusement approchés du véhicule à secourir tout en gardant nos distances, le terrain étant gorgé d'eau, puis, péniblement, nous sommes parvenus à extirper la voiture de son piège (non sans nous être nous-mêmes embourbés à plusieurs reprises) et à la ramener à la ferme. Une fois sur place, impossible de terminer la livraison. Nous avons alors dû retourner (sans la voiture en panne) à son emplacement initial pour valider la mission, avant de devoir revenir la récupérer pour lui faire faire les 30 cm restants. Rageant...
On pourrait aussi citer le treuil capricieux quand il s'agit de trouver un point d'ancrage et que les arbres aux alentours sont très nombreux, ou encore le fait qu'il faille penser à autoriser son utilisation sur les véhicules de ses amis en mode coopératif, sans quoi il est impossible de se secourir les uns les autres. Pourquoi ne pas avoir mis cette option par défaut ou, au moins, ne pas avoir mis en avant l'information lorsqu'on lance une partie multijoueur pour la première fois ? On trouve aussi dommage que tous les joueurs de la session soiebt obligés de lancer la mission de leur côté pour que les objectifs s'affichent bien à l'écran pour tout le monde, ou encore qu'il soit impossible de partager des points de repère manuels sur la carte, rendant impossible le partage d'itinéraire en amont d'une sortie. On imagine bien que ces différents points pourront faire l'objet de mises à jour futures, mais au regard du reste, il est tout de même un peu dommage de devoir souligner ces manquements. Et des manquements, les habitués de MudRunner vont peut-être en trouver quelques autres. En l'absence d'un mode simulation, il n'est plus nécessaire de faire attention à la panne sèche (le jeu incorpore toujours une gestion de l'essence et de la consommation) puisque l'on peut se téléporter au garage au moindre ennui. Dans MudRunner, il fallait revenir au garage pour prendre un nouveau véhicule et partir dépanner le précédent. De même, si rien ne nous empêche de faire défiler les heures de la journée via le menu pour éviter de rouler de nuit, on aurait trouvé intéressant d'inclure un mode ôtant cette option pour les puristes. C'est d'ailleurs ce qui va très probablement arriver puisque les développeurs de Saber Interactive ont évoqué un mode hardcore, qui devrait être ajouté plus tard. Bien que certains amateurs de MudRunner n'aient pas toujours apprécié de devoir passer par la case réparation de leur véhicule à la moindre embardée, nous trouvons également la gestion des dégâts un peu trop laxiste. Sans avoir été toujours particulièrement vigilants, nous n'avons jamais endommagé notre véhicule suffisamment pour en être pénalisé au cours de notre trentaine d'heures jeu. Dans un titre qui mise autant sur l'aspect quasi survivaliste de son gameplay, c'est peut-être un peu regrettable. Enfin, difficile de ne pas faire grise mine en constatant l'absence d'impact de la météo sur l'environnement, que la pluie ne rend pas plus ou moins boueux. On aurait aussi adoré que SnowRunner inclue une gestion de la température dans les régions enneigées, tout comme il aurait été souhaitable que le dosage de l'accélération et du freinage soient gérés plus subtilement (en l'état on dirait que seul le choix du rapport compte, pas le degré de pression sur la gâchette). Du chipotage nous direz-vous, mais le jeu nous a tellement convaincu que nous le souhaiterions parfait à tous les niveaux.
Tous les commentaires (15)
En vérité il m'a fallu un certain temps d'adaptation, et je trouve que le dosage de l'accélérateur est moins précis - ou moins important, je ne saurais dire. Après un moment de tribulations j'ai décidé de commencer une nouvelle partie "propre". Et là j'ai trouvé le Khan39 du season pass dans mon garage, ce qui change la vie au tout début et permet d'explorer beaucoup plus rapidement.
Une fois les nouveautés et différentes subtilités assimilées, impossible de retourner aux volets précédents tellement SnowRunner améliore quasiment tout de fort belle manière.
En attendant le mode Hardcore je n'utilise pas la téléportation. Et j'imagine que de petits mods sympas vont rapidement venir, en particulier un qui change le comportement des mains sur le volant serait bienvenue.
OK, j'ai trouvé tout seul comme un grand :
SnowRunner - Season Pass
Le Season Pass vous donnera accès au skin exclusif Sabertooth pour le Derry Longhorn 4520 ainsi qu'à tous les ajouts des 4 phases de contenu à venir : nouveaux camions, nouvelles cartes à explorer, contenus additionnels et plus encore !
Déjà disponible :
• Derry Longhorn 4520 Sabertooth Livery
• Pack High Roller
• Loaded Dice Vinyl Wrap
• Scorched Vinyl Wrap
• True Colors Vinyl Wrap
Bientôt :
• Phase 1 « Search & Recover » (Chercher et récupérer)
• Phase 2 « Explore & Expand » (Explorer et développer)
• Phase 3 « Locate & Deliver » (Localiser et livrer)
• Phase 4 : Nouvelle extension
Pour le frein ça donne un peu une sensation on/off, pas eu vraiment l'occasion d'en jouer de finesse, mais sur le verglas d'Alaska c'est bien rigolo! :D
Le système de monnaie est cool, car on peut tout revendre au même prix qu'on les a acheté. Du coup on peut tenter des combinaisons et on risque moins de galérer pour l'argent.
@Drift : Dans ton live tu avais bien le 4x4 du DLC de dispo, la valeur indiquée était la valeur de revente et non d'achat.
Petite question à augur, comment se comporte la version Ps4 (pro) ?
Merci.
Petite question à augur, comment se comporte la version Ps4 (pro) ?
Merci.
Par contre de nombreux écrans bleus en sortie de carte sur PS4 fat, genre nombreux quoi. :(