GSY Review Xbox Series X PC Xbox One

Décidément, cette semaine n'est pas avare en contenu rédactionnel sur Gamersyde. Après l'excellente surprise Syberia: The World Before, nous vous emmenons découvrir le très attendu Tunic le temps d'une review complète et d'un GSY Offline en solo !
Note : Tunic vient d'être intégré au Game Pass à la dernière seconde.

Tunic bleu

Voilà déjà presque cinq ans que l'on entend parler de Tunic, mais si son développement a pris autant de temps, c'est tout d'abord parce que cet hommage à Zelda est au départ le projet d'une seule personne, Andrew Shouldice, et que le monsieur est finalement un petit nouveau dans l'industrie du jeu vidéo. Et mine de rien, quand on essaie de s'attaquer à un genre aussi codifié que le jeu d'aventure action mâtiné d'éléments de RPG, cela demande un peu de temps. Aidé par l'éditeur Finji et épaulé par d'autres développeurs, le jeune homme est enfin parvenu au bout de son projet, la sortie du jeu étant prévue pour cette semaine sur les consoles Xbox et le PC. Pas d'entrée sur le Game Pass de prévue pour le moment, si le jeu vous intéresse, il va falloir mettre la main à la poche, mais vous savez quoi, si vous êtes fans du genre, vous ne risquez pas grand chose à le faire. Loin de nous l'idée de vous donner une excuse de plus pour sauter directement au verdict et vous épargner quelques lignes de lecture laborieuse, mais autant dire les choses comme elles sont, Tunic est vraiment un titre très chouette qui mérite d'être soutenu. De par son univers très mignon et enfantin, il pourrait donner la fausse impression d'une expérience pensée pour les plus jeunes, mais ne vous y trompez pas, Tunic s'adresse aux vrais amoureux de l'aventure, et pas uniquement parce qu'il propose un peu de challenge dans ses combats. Mais nous y reviendrons. Pour commencer, la particularité du jeu tient au fait qu'il ne nous prend jamais par la main et que sa façon de nous aider se veut assez originale. L'univers dans lequel on évolue est mystérieux, et quand bien même les créatures qui le peuplent semblent assez banales (on y joue un petit renard, on combat des grenouilles, des blobs, des soldats et mages anthropomorphiques), sa narration se veut pour le moins cryptique. Il n'y a en effet aucun dialogue, et pour rendre les choses encore plus confuses, la plupart des informations écrites le sont dans une langue inconnue. Pour embrasser pleinement son approche old school du genre, Andrew Shouldice a également recours à un guidage aussi original que cryptique. Ainsi, régulièrement au cours de l'aventure, vous allez tomber sur les pages du manuel du jeu. Vous savez bien, cette petite doc que l'on prenait plaisir à parcourir dans la voiture ou dans les toilettes avant de se lancer dans un nouveau jeu fraîchement acquis après des mois d'argumentation avec des parents un peu réfractaires.

Le premier problème, c'est que vous allez découvrir ces pages dans le désordre, et que certaines d'entre elles vont aussi vous demander de fouiner un peu. Le second, c'est qu'elles sont composées de très peu d'indications compréhensibles et qu'il va donc falloir réfléchir un peu pour trouver du sens dans les indices et informations qu'elles contiennent. Bien sûr, au départ, on découvre des aides relatives aux contrôles, à certaines mécaniques de base du jeu, les dessins et icônes apparaissant à l'écran avec les quelques mots en français qui les accompagnent parfois permettant de comprendre ce que l'on lit. Mais plus vous avancerez, plus vous découvrirez des éléments nouveaux, donnant l'impression que le jeu s'étoffe d'heure en heure alors que finalement tout est bien accessible dès le départ sans qu'on le soupçonne. Certaines pages donnent donc des indices sur vos objectifs, sur le prochain lieu à découvrir ou sur la marche à suivre, mais rien n'est jamais parfaitement clair, et c'est justement cela qui est excellent, car on tire beaucoup de satisfaction des moments où on voit enfin du sens dans ce que l'on est en train de lire. Seul inconvénient de ce système, il faut bel et bien tourner toutes les pages du livret pour atteindre la section qui nous intéresse, y compris les différentes cartes. Il n'existe donc pas de touches de raccourci pour les afficher directement. Si les pages du manuel ajoutent littéralement un jeu dans le jeu, cela veut dire que Tunic ne prend jamais le joueur par la main pour lui dire où aller. Au départ, certaines barrières empêchent bien sûr de s'aventurer du mauvais côté de la carte, puisqu'il faut déjà commencer par mettre la main sur une épée pour dégager le passage en décapitant les arbustes qui bloquent l'accès vers l'ouest, mais en dehors des indices que l'on trouve dans la documentation du jeu (au passage, elle est vraiment superbement réalisée), personne ne vous dira quoi faire ni où aller. De fait, il est tout à fait possible de tourner un peu en rond, de revenir dans des zones déjà traversées pour voir si on n'y a pas oublié un petit détail, comme un accès autrefois impossible à atteindre qui pourrait soudainement l'être grâce à un nouvel équipement découvert. Car en effet, Tunic incorpore également une dimension Metroidvania, en plus du reste.

Tunic Fury

Pas question en revanche de vous en dévoiler trop. On ne doute pas que d'autres publications seront bien moins vagues que la nôtre pour évoquer Tunic et ses mécaniques, mais nous préférons vous garantir un maximum de découverte, comme cela a été le cas pour nous. On ne va donc pas vous faire la liste de tous les équipements disponibles, ni celles de tous les systèmes inclus dans le jeu. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'il faut toujours être attentif à ce qui nous entoure, pour repérer des passages qui pourraient potentiellement devenir accessibles plus tard. Même si la carte globale est plutôt détaillée, il vous faudra tout de même une bonne mémoire pour ne pas perdre trop de temps. Il vous faudra aussi sans doute beaucoup expérimenter, pour découvrir l'effet d'un item ou de certains éléments du décor, le livret ne donnant jamais toutes les clefs sur un plateau d'argent. Certains diront même, à raison parfois, qu'il est exagérément obscur. Mais Tunic n'emprunte pas uniquement à Zelda ou aux Metroidvania, il s'inspire également du travail de From Software. On pense tout d'abord à leur approche de la narration, qui demande elle aussi des efforts au joueur, mais le lien de parenté ne s'arrête pas là. Citons par exemple la présence d'autels où l'on peut se reposer pour récupérer ses points de vie et de magie, un grand classique aujourd'hui, mais on sait tous pertinemment à qui on le doit. De même, Tunic va petit à petit ouvrir des raccourcis qui vous permettront d'éviter une zone un peu délicate pour revenir sur vos pas en cas de mort imprévue. La subtile différence avec les Souls, c'est que tous ces raccourcis ne sont pas forcément à débloquer (en faisant descendre une échelle ou une corde par exemple). En effet, certains sont accessibles dès le départ, la perspective forcée en 3D isométrique permettant de dissimuler des passages d'une zone à une autre très facilement. Et le pire, c'est que cela fonctionne ! On ne compte plus le nombre de fois où nous nous sommes rendus compte qu'un accès caché reliait deux endroits de la map et que nous aurions pu l'utiliser bien plus tôt. Mais voilà, en règle générale, on ne s'en rend compte que dans le sens du retour, à moins de frôler les murs systématiquement en espérant dénicher ces raccourcis. Clairement, Tunic a aussi été pensé pour le speed run, ou du moins pour les seconds runs en mode New Game + (passage à priori obligé pour obtenir la bonne fin et toutes les pages du livret).

L'autre point commun entre Tunic et les jeux From Software, ce sont bien sûr les combats. Pas tant dans leur feeling, plus proche des anciens Zelda que des Souls, la roulade en plus, mais dans leur côté assez impitoyable. La mort a beau y être moins punitive (on perd bien l'équivalent des âmes à chaque trépas, mais le chiffre est limité à vingt à chaque fois et on peut évidemment les récupérer), elle tombe souvent comme un couperet. Au début de l'aventure, c'est surtout lié à l'absence de bouclier (attention, il est tout à fait possible de ne pas le trouver rapidement et d'avancer dans le jeu sans) et à la barre de vie limitée du héros, mais ensuite, on tombe sur des boss plus ou moins coriaces qui ont la dent dure. On pense notamment à celui qui nous a donné pas mal de fil à retordre à la fin de la première partie du jeu, mais vous imaginez bien que la suite ne s'annonce pas plus tendre. Dans la seconde partie de l'aventure, la difficulté monte encore d'un bon cran à cause d'un twist narratif qui va vous rendre la (sur)vie bien plus difficile pendant tout un passage. Et puis, entre autres, il y a cette séquence où l'on doit affronter plusieurs vagues d'ennemis très énervés sans mourir, le genre de moment qui n'est pas toujours du goût de tout le monde (on vous avoue que nous n'en sommes pas très fans). Ceci étant dit, pour celles et ceux qui ne se laisseront pas intimider par les pics de difficulté, l'expérience que propose Tunic est vraiment de grande qualité. Les combats s'appuient sur des mécaniques classiques, avec une esquive (que l’on aurait aimée de plus grande ampleur) qui offre une courte fenêtre d'invincibilité et est soumise à une jauge d'endurance (ce qui n’est pas le cas des attaques en revanche) et la possibilité de bloquer les coups tant que votre bouclier le permet (une jauge spécifique lui est dédiée). Attention toutefois, une action ne pouvant pas être interrompue pour en lancer une autre. Autrement dit, si vous vous amusez à matraquer la touche d’attaque, vous ne pourrez lancer la roulade ou lever votre bouclier que si l’animation en cours est terminée. Même si nous ne trouvons pas les affrontements aussi réussis que ceux de Death's Doors, plus dynamiques et lisibles à notre sens, ils restent tout à fait sympathiques, avec une bonne variété dans le bestiaire, qui se renouvelle assez régulièrement. Une dernière chose à préciser si la crainte d'un challenge trop élevé vous assaille : dans les options d'accessibilité du jeu, il est possible de désactiver la jauge d'endurance et même de rendre le héros invincible. Très clairement, Tunic ne veut laisser personne sur le bord du chemin à cause de ses combats, et c'est finalement une bonne chose. D'autant qu'une fois l'aventure terminée, il vous restera bien des secrets à découvrir, du genre qui vont probablement vous retourner le cerveau et qui vont alimenter les forums du net. En effet, le contenu post-game n'a pas été oublié, et pour les plus acharnés, un mode New Game + est également disponible.

Verdict


Tunic ne paie peut-être pas de mine vu comme ça, mais il est pourtant le résultat d'un travail minutieux qui porte ses fruits. Il n'est pas dit que tout le monde goûtera à la quasi absence de guidage imposée par la collecte graduelle des pages du manuel, toutes écrites dans une langue composée de symboles. Comme il semble y avoir véritablement un sens à ce langage, on imagine d'ailleurs déjà les joueurs et joueuses se lancer dans un travail acharné visant à traduire tous ces textes pour mieux comprendre le lore qui se cache derrière le jeu. Au-delà de cela, il y a aussi les quêtes liées au post-game et ce qu'il est encore possible de découvrir après une douzaine d'heures de jeu. Tout n'est pas parfait à nos yeux pour autant, la lisibilité des combats pouvant être prise en défaut, avec en plus une roulade assez courte qui demande un timing bien précis pour éviter les attaques ennemies. Le pic de difficulté dans la dernière partie du jeu, avec des ennemis capables de faire diminuer la taille de votre barre de vie jusqu'au prochain autel, pourra aussi être un peu décourageant pour celles et ceux qui se refusent à activer les cheats d'invincibilité et/ou d'endurance infinie, mais la victoire reste toujours possible, avec la satisfaction qui va avec quand on y arrive. Au bout du compte vous l'aurez compris, grâce à la somme de toutes ses influences et au soin apporté à l'élaboration de son monde et de ses mécaniques, voilà un titre assez Tunic en son genre qui mérite toute votre attention.
  • Les plus
  • Un jeu généreux en contenu
  • L'aspect aventure et découverte
  • L'idée du livret géniale
  • De bien chouettes musiques
  • Visuellement réussi
  • Le post-game à priori bien achalandé
  • Invincibilité et endurance infinie pour les moins doués
  • Les moins
  • Parfois un peu trop opaque
  • Un pic de difficulté sur la fin
  • Esquive un peu courte à notre goût

GSY Offline

Flash_Runner
Flash_Runner
Commentaire du 16/03/2022 à 19:43:59
Bon bein du coup je me le télécharge direct ! Depuis le temps que je l'attendais celui là, ça va etre top. Enfin pour moi qui suis très fan de Zelda 3 et des Souls.

Merci pour la review.
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face2papalocust
face2papalocust
Commentaire du 16/03/2022 à 20:03:01
Hâte de test tu semble avoir beaucoup apprécié le jeu.
C'est cool que la jauge d'endurance soit dispo uniquement pour la roulade ça permet de faire des combats sans avoir les yeux rivés sur la jauge.

Les livrets j'avoue ça me rappel de bon souvenir de jeunesse,la lecture dans les toilettes ou planquer sous la table à manger.^^
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bof
bof
Commentaire du 16/03/2022 à 21:53:06
Merci pour la review, ça fait envie même si ce n'est (a priori) pas trop ma came. Mais le Game Pass va me permettre de tester la bête!
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GTB - Acapello
GTB
Commentaire du 16/03/2022 à 22:17:45
" Vous savez bien, cette petite doc que l'on prenait plaisir à parcourir dans la voiture ou dans les toilettes avant de se lancer dans un nouveau jeu fraîchement acquis après des mois d'argumentation avec des parents un peu réfractaires."

Haha. C'est amusant de voir qu'on a tous connu ça ^^. Et de toute évidence Andrew aussi, vu l'hommage qu'il leur rend ici. A l'époque il y avait des manuels assez dingo parfois, un peu comme celui-ci.

Bon, turbo chaud! Tout me botte dans cette aventure. L'esthétique magnifique, la BO (qui tournait pendant la lecture de cette review :p), l'animation, le côté mystérieux/cryptique. Une douzaine d'heures ça va, je devrais pouvoir caser ça. Et je note l’astuce pour le God mode, si jamais ça devient trop hard. Merci pour cette review et GSY offline!
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Wolfstone
Wolfstone
Commentaire du 17/03/2022 à 00:06:57
Celui là ce sera pour cet été ! Trop à faire ces temps-ci. Mais il donne bien envie. 
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Dazman - Stade Falloir
Dazman
Commentaire du 17/03/2022 à 11:19:06
Tunic Fury…….ahahhahahhahahahhahaha vous êtes vraiment les rois des calembours pour me faire rire (je lirai la review ce midi pendant la pause dej). 
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Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 17/03/2022 à 11:20:22 En réponse à Dazman
Et encore t'as pas lu celle de Syberia... :x
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GTB - Acapello
GTB
Commentaire du 17/03/2022 à 12:56:30 En réponse à Driftwood
Haha ce teasing ^^. J'avoue que les intertitres c'est la cerise de plaisir sur les reviews. Cela dit c'est vrai que tu devrais aller lire ça, Daz, Syberia c'est le genre de jeu narratif qui pourrait te plaire.
En réponse à
Dazman - Stade Falloir
Dazman
Commentaire du 17/03/2022 à 13:36:41 En réponse à Driftwood
Pas du tout car j’ai jamais vraiment joué à ces jeux. Mais là tu tease trop. J’y vais de ce pas.
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Bigquick - Spider_-_-_man
Bigquick
Commentaire du 17/03/2022 à 17:43:52
J'ai pris le jeu sur Steam, pour le moment je suis sur Sonic Mania je le ferai après, hâte. :)
C'est à cause de la review que je l'ai acheté d'ailleurs, je le surveillais de loin mais finalement j'ai craqué day one. :3
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LC71
LC71
Commentaire du 18/03/2022 à 17:22:36
un jeu sympa mais le niveau de difficulté est pas jaugé par moment.. ce qui donne pas envie d'y revenir.
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 18/03/2022 à 17:48:41 En réponse à LC71
Passe en god mode. ;)
En réponse à
LC71
LC71
Commentaire du 18/03/2022 à 18:06:19 En réponse à Driftwood
Posté par Driftwood
Passe en god mode. ;)
Je vais finir par faire cela car vraiment c est frustrant
En réponse à
zero2lyon
zero2lyon
Commentaire du 21/03/2022 à 11:00:08
Ce jeu me fait vraiment rêver, est-ce que l'on sait si il a des chances d'arriver chez Sony un jour ou bien c'est mort ?
En réponse à
GTB - Acapello
GTB
Commentaire du 21/03/2022 à 11:33:26 En réponse à zero2lyon
Il n'y a pas de déclaration précise à ce sujet. Ni dans un sens ni dans l'autre. Mais tous les jeux de Finji finissent sur la plupart des plateformes. Le jeu étant dev essentiellement par une seule personne, je pense qu'ils se sont focalisé sur PC/Xbox dans un premier temps. Et la com n'a pas employé le terme "exclusive". Bref, il est bien probablement que le jeu finisse par débarquer sur d'autres plateformes (surtout vu l’accueil).
En réponse à
zero2lyon
zero2lyon
Commentaire du 21/03/2022 à 14:09:05 En réponse à GTB
Merci, ce serait top :)
En réponse à
bof
bof
Commentaire du 21/03/2022 à 15:33:02 En réponse à zero2lyon
Oui, les indés finissent presque toujours par sortir sur la plupart des supports. Par contre, la période d'exclusivité peut fortement varier (6 mois, une année, voire deux ans parfois).
En réponse à
Flash_Runner
Flash_Runner
Commentaire du 21/03/2022 à 18:44:11 En réponse à bof
Oui je dirais pareil, 6mois ou 1an.
Posté par LC71
Posté par Driftwood
Passe en god mode. ;)
Je vais finir par faire cela car vraiment c est frustrant
Je te le déconseille. C'est ni plus ni moins un cheat code qui va te rendre l'expérience insipide. Le jeu me semble plus facile que ce que je lis pour ma part, pas de chutes et des sauvgardes juste avant les boss. Bein c'est plus gentil que ses inspirations, trop gentil même. Le plus dur c'est de trouver son chemin pour moi. En god mode tu vas torcher le jeu en une heure, sans te pencher sur les mystères et secrets, c'est pas le bon bail même pour l'exploration. Mais bon l'exploration et l'histoire a elle seule c'est léger pour apprécier le jeu.
Le seul truc qui pourrait justifier le God mode, c'est les boss. Je trouve que ça va, que c'est encore une fois en dessous de ses inspirations. Mais que d'autres pourront y laisser leurs nerfs, alors pourquoi pas.
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 21/03/2022 à 18:46:18 En réponse à Flash_Runner
Je doute que tu le trouves si facile arrivé à un moment clef. :p
En réponse à
GTB - Acapello
GTB
Commentaire du 21/03/2022 à 18:50:22
Moi j'ai déjà croisé 2 boss qui m'ont sacrément fessé. Pour le 2ème, j'ai d'ailleurs utilisé le god mode au bout d'un moment :mêmepashonte:. Pour le reste du jeu, comme dit dans le topic, en étant prudent et méthodique ça passe très facilement. 'Suffit de faire gaffe (parce que la vie peut vite descendre).
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 21/03/2022 à 19:01:41
Le boss de la carrière est bien vilain j'ai trouvé. Les autres (à part le dernier évidemment) ça allait. Par contre, j'ai détesté le passage avec les vagues d'ennemis bien relous à enchaîner. Certaines sont assez simples, mais d'autres....
En réponse à
Flash_Runner
Flash_Runner
Commentaire du 21/03/2022 à 19:59:42 En réponse à GTB
Les deux premiers boss m'ont semblé easy, mais vraiment. Le premier je l'ai one, et le 2eme avec le lock et les roulades ça a été vite réglé. Le bibliothécaire m'a fait recommencé plusieurs fois,  le temps de percuter que l'item que j'utilisais pompait du mana, et que ce que je prenais pour un bug, c'était ma mauvaise compréhension. C'est pas des fight de boss qui me procure énormément de plaisir, mais je les trouve relativement accessibles.

Drift : Ok j'attends de voir alors, c'est possible et j'espère, j'arrive justement dans la carrière. Je suis loin d'etre un as, les parades me semblent bien plus compliqué que dans les souls.
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