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V-Rally, une licence qui ne parlera pas énormément aux plus jeunes d'entre vous, mais qui éveillera sans aucun doute la nostalgie des plus vieux. Vingt ans après la sortie du premier épisode sur la toute première Playstation, V-Rally 4 tente un retour grâce à Bigben Interactive et au studio Kylotonn, qui succède à Eden Games, développeur historique de la série. Après avoir remis la franchise WRC sur les routes chaotiques du championnat officiel des rallyes, on attendait beaucoup du petit studio parisien, qui avait même créé la surprise plus tôt cette année avec le très grisant TT Isle of Man. Alors, retour gagnant ?
Note : V-Rally 4 dispose d'un mode en ligne (local et en ligne) que nous n'avons pas pu tester. La review ne le mentionne donc pas.

Team VVV-Rally

L’entrée en matière du mode V-Rally se veut très dirigiste, avec une voix-off qui vous guide pas à pas dans tous les menus pour vous expliquer à la fois la façon dont va se dérouler votre carrière, mais aussi ce que vous y ferez une fois sur la piste. À la manière de ce qui a été fait dans DiRT Rally (et même V-Rally 3 pour les plus vieux), il faudra tout d’abord vous procurer un véhicule avec votre pécule de départ, sachant qu’il ne sera pas possible de l’utiliser dans toutes les catégories disponibles dans le jeu. Rallye, Rallycross, course de côte, buggy et même gymkhana, chaque discipline demande un type de voiture précis qu’il vous faudra acquérir avec l’argent que vous aurez durement gagné. Votre carrière ne se limitera toutefois pas seulement à jouer les collectionneurs du dimanche, vous aurez besoin de mécaniciens, dont le niveau de compétence et l’expérience varieront. Assez logiquement, leur salaire dépendra de tout cela, et il faudra prendre garde à ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre, sous peine de vous retrouver rapidement dans le rouge. De plus, le choix de mettre en place une équipe complémentaire vous sera profitable lorsque vous devrez remettre votre voiture en l’état entre deux courses (coût moins élevé, réparations plus rapides).

Disposer d'une bonne équipe pourra aussi vous ouvrir plus de portes quand viendra le moment d’améliorer vos montures, même si vous devrez aussi utiliser le véhicule un certain temps avant de pouvoir débloquer les nouvelles pièces. Contrairement à WRC 7, il est en effet possible de faire progresser vos voitures pour profiter de meilleures performances, à condition d’avoir engagé les bons ingénieurs pour travailler sur ces améliorations. Il est également bon de savoir qu’il n’est jamais inutile d’engager deux personnes possédant la même spécialité, leurs compétences communes pouvant leur octroyer un bonus de synergie dans leur domaine. Votre entourage proche sera aussi composé d’un agent, qui pourra vous obtenir des avantages (meilleurs gains dans un type d'épreuve, ristournes sur les upgrades), en fonction de la personne que vous aurez choisi d’engager. Comme il faudra payer tout ce petit monde, le mode carrière vous obligera à faire un minimum de gestion, et à répondre régulièrement aux offres des sponsors que vous recevrez (invitation à une épreuve spécifique, objectifs divers à remplir, etc.).

Quand vous ne serez pas occupé à gérer votre équipe, la carte du monde s’offrira à vous. C’est là que vous déciderez des événements auxquels vous voudrez participer. Plus vous évoluerez dans une discipline, plus on vous proposera des épreuves importantes, certaines se déroulant sur plusieurs jours, voire dans des pays différents. La difficulté ira crescendo, celle-ci étant symbolisée par un nombre d’étoiles, mais les gains également. Parfois gratuite, dans le cadre des événements les plus faciles d'accès, l’inscription à une série de courses pourra vous être facturée. Le niveau de difficulté de l’IA devra toujours être réglé avant la première épreuve, aussi devrez-vous assumer votre choix jusqu'au bout. Cela n’a l’air de rien dit comme cela, mais quand il s’agit d’enchaîner plusieurs spéciales de 9 à 15 kilomètres, le challenge monte d’un cran par rapport aux premières courses, surtout si votre véhicule n’est pas très puissant. Notre première tentative sur les routes du Japon, de la Russie et des États-Unis nous l’a appris de la plus rude des manières, V-Rally 4 peut être très exigeant, peut-être même trop parfois, au point d’interroger sur la gestion de la difficulté.

Si le mode carrière ne réinvente pas la roue, il a le mérite de s'appuyer sur une certaine diversité (à condition de ne pas se cantonner à une seule discipline) et n’est jamais totalement prévisible puisque l'on n’est jamais sûr des événements qui vont nous être proposés. Certains le sont pour plusieurs jours (de jeu, pas réels), d’autres pour une seule journée, et on fait donc son marché comme on le désire. La gestion de son écurie via les menus reste toujours assez austère bien sûr, on n’est gratifié d’aucune séquence cinématique pour mettre en scène les diverses interactions, on ne fait pas la une de la presse et on ne possède à priori aucun fan (ou du moins, on ne nous donne pas le moindre accès aux réseaux sociaux pour le vérifier). La bonne surprise vient de la présence de spéciales aléatoires dans les épreuves de rallye, ce qui rappelle un peu ce que Codemasters avait proposé dans DiRT 4. On y a même accès dans le mode “Partie Rapide”, ce qui ajoute un peu de contenu. Il n’est toutefois pas possible d’en créer soi-même. Les amateurs de personnalisation devront donc se contenter de l’outil de livrées, qui permet de décorer ses carrosseries à son goût.

Rallye raide

Plus arcade que WRC 7, le nouveau jeu de Kylotonn n’en demande pas moins une bonne dose de concentration sur certains tracés. Dans la discipline rallye, la plupart des spéciales sont souvent trop courtes, mais il en existe qui, à la manière de WRC 7, rassemblent une partie des différentes portions des autres tracés pour faire monter la tension d’un cran. Quatre spéciales sont disponibles par pays (au nombre de six), dont une allongée (comme dans WRC 7), mais à cela il faut donc ajouter celles qui sont générées aléatoirement. S’il n’est jamais trop difficile de maintenir sa concentration pendant deux à trois minutes, cela devient une autre paire de manche quand il faut tenir entre cinq à dix minutes sans trop lever le pied pour ne pas perdre de précieuses secondes. La difficulté tient toutefois plus aux nombreux pièges des tracés qu'à la conduite elle-même, assez permissive sur les freinages et les récupérations de trajectoires. Sur terre, les pertes d’adhérence sont bien réelles et il est toujours très plaisant d’enchaîner les virages, surtout au volant. Sur les autres surfaces en revanche, le constat est déjà moins convaincant, particulièrement quand on y joue à la manette.

Sur l’asphalte, les voitures moins puissantes glissent très peu et la prise de virage n'est jamais bien compliquée, d’autant que les freins sont d’une efficacité redoutable. En résulte une impression mitigée les premières heures. Au volant, les sensations sont un peu différentes, les pertes d'adhérence étant plus marquées dès que l’on relâche l'accélérateur et que l’on dose mal le braquage ou l’accélération (cela arrive aussi à la manette mais cela nous a semblé moins pénalisant). Une fois votre première voiture améliorée, ou après l'acquisition d’un véhicule plus joueur, vos roues colleront déjà moins à la route, sans que les sensations n’en deviennent totalement satisfaisantes pour autant. Il faut dire que la direction est particulièrement sensible quand on joue au pad, ce qui rend certains enchaînements assez délicats. Au volant, tout est bien plus naturel, et si le moteur physique demeure encore perfectible, on s’en accommode plus facilement. Dommage par contre de ne pas avoir allongé plus radicalement les distances de freinage sur routes mouillées. On retrouve plus ou moins les mêmes problèmes sur la neige, avec des pneus qui accrochent trop et permettent de rattraper ses erreurs bien trop facilement. Il n’y a guère que certains virages à angle droit qui vous poseront problème si vous n’anticipez pas suffisamment tôt. De notre point de vue, le moteur physique de WRC 7 s’en sortait nettement mieux sur l’asphalte et la neige.

Mais l’impression d’être trop assisté même en désactivant les aides atteint son paroxysme quand on pilote un buggy. Il s’agit sans aucun doute de la discipline la moins réussie du lot, la faute à l’extrême facilité avec laquelle on peut freiner à la dernière seconde. Et encore, on parle de freinage, mais la plupart du temps, les virages peuvent se prendre sans jamais relâcher l'accélérateur. Seule réelle subtilité de cette discipline, certaines bosses peuvent vous déséquilibrer et même vous renverser si vous arrivez trop vite ou que vous les abordez avec un mauvais angle. En dehors de cela, on se retrouve face à des adversaires qui ne font pas dans la dentelle, avec une gestion des collisions qui semble pensée pour ne pas frustrer, puisqu’elles ne semblent pas pénaliser grand monde. À noter que contrairement aux autres disciplines, nous avons trouvé le gameplay moins agréable au volant qu’à la manette. À cause du sévère manque de feedback de la piste ressenti derrière notre Fanatec CSL Elite, le buggy paraissait moins à même de glisser, donnant la désagréable impression de rouler sur un tapis bien lisse. Autre regret concernant ce véhicule, le faible nombre de pistes. En effet, seules quatre destinations sont disponibles, avec un seul tracé proposé à chaque fois. Il existe bien des variantes qui modifient le circuit, et elles ont le mérite d’être plus importantes que pour le Rallycross, mais cela fait tout de même très peu.

Et puisque l’on évoque le Rallycross, autant vous dire tout de suite que nous ne sommes pas férus de la discipline à la base. Dans V-Rally 4, on y retrouve en plus l’aspect rentre-dedans du buggy, sans oublier le manque de variété des circuits. Comme un écho, ceux-ci se limitent en effet à cinq en tout, avec des variantes bien trop minimes qui plus est. La conduite plus arcade du jeu ne rend pas les courses très intéressantes, et le constat vaut tout aussi bien à la manette qu’au volant. Dernière discipline disponible, le Gymkhana si cher à Ken Block s’avère plus amusant que nous l’aurions pensé. Ce qui explique en partie cela, c’est qu'au contraire de DiRT 3, V-Rally 4 ne la confine pas aux seuls entrepôts ou parkings urbains. Ils sont bien sûr prédominants, mais Kylotonn a au moins fait l'effort de proposer un peu d'exotisme. L’une des pistes se trouve donc au beau milieu du désert nigérien, où l'on doit se faufiler entre les rochers. Les quatre tracés disponibles (encore une fois, c’est très peu) sont bien pensés, on s’y amuse et c’est l’essentiel. On en arrive donc à une évidence, la plus grande réussite de V-Rally 4 tient surtout au soin apporté à l'élaboration de ses tracés, qu’il s’agisse des spéciales de rallye, des courses de côte ou du reste - à quelques exceptions près. Le choix du véhicule tient aussi pour beaucoup dans le plaisir de conduite ressenti, mais l’éventail proposé, qui couvre plusieurs décennies de sports mécaniques, est suffisamment correct pour trouver chaussure à son pied (voir les détails après notre verdict). Attention cependant, certains constructeurs iconiques manquent à l’appel, comme Subaru pour ne citer que lui.

Eden, je m'appelle Eden

Techniquement, il faut avouer que V-Rally 4 reste bien à la traîne face à la concurrence. Alors oui, on le sait, le budget alloué au jeu et la taille du studio sont difficilement comparables à ce que l’on peut voir chez de plus gros éditeurs, mais le fait est que le prix de vente du jeu ne reflète absolument pas cet état de fait. S’il s’agit peut-être plus d’un choix artistique dans la palette de couleurs que de contraintes techniques, nous trouvons même le visuel de ce quatrième volet de la série bien plus inégal que celui de WRC 7, qui nous avait plutôt agréablement surpris à ce niveau l’an dernier. Entendons-nous bien, on reconnaît parfaitement les différents pays traversés, chacun disposant d’une ambiance propre qui le démarque suffisamment des autres pour justifier sa place dans le jeu, mais certaines textures (les sponsors sur les drapeaux ou même le compteur en vue cockpit parfois) peuvent être étrangement pixélisés. En revanche, les différents revêtement sont, eux, très détaillés, ce que l’on peut remarquer lors des petites séquences qui présentent chaque pays. La liste des regrets ne s’arrête pas là malheureusement. De nuit, les ombres portées dynamiques sont absentes, même en simple rallye avec une seule voiture en piste. De plus, on ne constate aucune éclaboussure sur le pare-brise lorsque l’on roule dans l’eau, et d’une manière générale, les effets de lumière accusent un peu le coup, donnant un rendu global qui rappelle plus la génération précédente que l’actuelle. On comprend d’autant mieux les réactions virulentes de certains grognons sur YouTube, même si leur mémoire leur fait souvent défaut, et qu’ils ont vite tendance à oublier tout ce que leurs jolis jeux de course d’antan ne savaient pas faire à leur époque.

Pour autant, V-Rally 4 est tout à fait capable de surprendre agréablement l’amateur de beaux paysages. Ainsi, il nous est souvent arrivé de nous extasier devant certaines vues, comme les champs multicolores du Japon par exemple, et si le jeu est certainement plus joli à jouer qu’à regarder (comprendre que celui qui pilote peut moins s’attarder sur les détails et donc éprouver plus de plaisir en découvrant les environnements du coin de l’œil), il n’en reste pas moins très soigné et plutôt varié visuellement. Le nombre de pays disponibles offre déjà la promesse d’un tourisme virtuel à la hauteur de ce qu’un jeu du genre est capable de faire, et on a beau trouver quelques destinations peu originales (Monument Valley, on commence à connaître), V-Rally 4 a au moins l’avantage de nous faire traverser des lieux différents de ceux que l’on retrouvait tous les ans dans la série WRC. Bolivie, États-Unis, Canada, Niger, Sibérie, Kenya, Roumanie, Chine, Japon, Malaisie, Afrique du Sud, vous allez voir du pays. Du côté de la modélisation des voitures, on ne vous cache pas que l’on espérait un peu mieux toutefois, surtout après le travail effectué par Kylotonn l’an dernier sur WRC 7. Les shaders utilisés pour les carrosseries peinent à convaincre par rapport à ce qui se fait ailleurs, donnant aux véhicules un aspect assez plastique, surtout une fois qu’ils sont recouverts de poussière. Les sons de moteur sont quant à eux trop en retrait, et nous les avons trouvés assez inégaux dans l’ensemble. Une fois de plus, c’est peut-être notre mémoire qui nous joue des tours, mais nous trouvions ceux de WRC 7 plus réussis, avec des pétarades du pot d’échappement bien mieux restituées. De même, on aurait aimé mieux entendre les frottements des pneus sur terre ou sur neige. À côté de cela, les allergiques au copilote de WRC 7 seront ravis d'apprendre qu'il a bien été remplacé, en anglais comme en français.

Verdict


Même en mettant de côté nos envies personnelles et le fait que nous aurions préféré voir un jeu centré uniquement sur le rallye (voire les courses de côte), il est difficile de vous conseiller V-Rally 4 compte tenu de ses défauts et de son prix de vente sur consoles (70€ chez Micromania, c’est très exagéré pour un titre de cette gamme). Inégal dans les sensations qu’il procure, ce quatrième volet de la vénérable série née sur la première PlayStation penche plus du côté de la série DiRT que de celui du jeu d’Eden Games. Une évolution somme toute logique quand on connaît les exigences actuelles en termes de contenu, mais qui souffre beaucoup de la comparaison avec la franchise bien établie de Codemasters. Là où WRC 7 avait su trouver l’équilibre parfait entre l’accessibilité et l’exigence de la conduite, V-Rally 4 fait une légère sortie de route en voulant s’ouvrir à un plus large public. On y trouve donc encore des tracés intéressants et délicats à parcourir, mais ils sont souvent trop courts et, pour certains, trop faciles à appréhender à cause du freinage trop incisif et des compromis faits sur le gameplay. Très plaisant et stressant à souhait quand il ne faut pas faire la moindre erreur sur une dizaine de kilomètres, V-Rally 4 peut tout aussi devenir insipide ou inintéressant en fonction des disciplines pratiquées. Un titre qui n'arrête donc pas de faire le yo-yo avec nos sentiments, ce qui tend à confirmer son statut de jeu très moyen. Inutile de vous dire que nous sommes bien déçus.
  • Les plus
  • Identité visuelle propre à chaque pays
  • Restitution fidèle des lieux traversés
  • De bien jolis panoramas à découvrir
  • La conduite sur terre
  • Bonne variété de lieux et d’épreuves
  • Fluide et net…
  • Des tracés soignés
  • De meilleures sensations au volant dans l'ensemble
  • Les spéciales longues bien retorses
  • Le rallye, les courses de côte et le Gymkhana
  • Moins d'angles serrés pendant les replays
  • Les moins
  • Plus arcade que WRC, moins que le V-Rally d’origine
  • Asphalte et neige pourraient mieux faire
  • Parfois assez vilain et terne
  • Les spéciales courtes le sont vraiment trop
  • … mais toujours en 30 fps sur consoles
  • Le buggy et le Rallycross pas vraiment intéressants
  • Des pics de difficulté énervants
  • Manque de feedback de la piste au volant parfois
  • Trop peu de tracés en Rallycross, Gymkhana et buggy
  • Trop cher sur consoles pour un AA

Contenu

• 6 pays pour le rallye, chacun ayant droit à 4 spéciales, dont une longue. Il existe aussi des spéciales aléatoires de longueur différentes. Peu de pluie, elle n’est pas disponible dans tous les pays.

• 28 voitures de rallye.

• 5 pays seulement pour les circuits de Rallycross, chacun comprenant un seul circuit décliné en trois versions. Les variations sont très légères.

• 7 voitures de Rallycross.

• 3 pays pour les courses de côte, c’est peu, chaque course étant décomposée en trois partie (short, medium et long). Cela veut donc dire qu’il n’existe que 3 tracés complets. Il est cependant possible de choisir la montée ou la descente.

• 5 voitures pour les courses de côte.

• Les épreuves en buggy se limitent à 4 pays. Les circuits sont tous situés au même endroit dans chacun d'entre eux, mais proposent toujours 3 variantes différentes (qui changent assez radicalement si on les compare au Rallycross).

• 5 modèles de buggy sont disponibles.

• Enfin, vous n’aurez droit qu’à 4 destinations pour le Gymkhana, les tracés étant disponibles en plusieurs niveaux de difficulté (de very easy à very hard). Un seul tracé est proposé dans des décors naturels, au Niger.

• 5 modèles de voitures pour le Gymkhana.

Information sur les vidéos de gameplay

• Tous nos extraits sur PS4 (Pro) ont été joués au volant, avec un Fanatec CSL Elite for PS4 et un pédalier de la même gamme.

• Sur Xbox One X, nous avons utilisé la manette Xbox One Elite.

• Dans la plupart de nos vidéos, nous montrons les premiers véhicules de chaque discipline (les moins puissants donc) obtenus dans le mode carrière. Ils n'avaient pas forcément profité d'améliorations mécaniques, car nous souhaitions vous faire vivre les premiers pas du mode de jeu principal.

Orbbs
Orbbs
Commentaire du 06/09/2018 à 09:56:54
Merci Drift pour cette review qui confirme hélas les premières impressions mitigés. Par contre je pensais que c'était un jeu vendu 30 € max...
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 06/09/2018 à 21:11:05 En réponse à Orbbs
À 40/50€ ça aurait été bien plus juste. Le jeu réserve de bons moments (il suffit de regarder les vidéos pour s'en rendre compte je pense), mais entre un contenu un peu léger parfois et un plaisir de conduite qui peut varier, je trouve ce V-Rally 4 moins intéressant qu'un WRC7 quand on aime le rallye (même si les spéciales de V-Rally sont bien foutues). J'ai quand même hâte de tester la version PC pour voir ce que le 60 fps apporte. Par contre, 30€ il ne faut pas exagérer, il y a quand même beaucoup de boulot derrière et ce n'est pas un jeu indé.
En réponse à
XRacer
XRacer
Commentaire du 08/09/2018 à 20:04:44
Je suis désolé pour les devs mais je trouve que ça ressemble à rien, conduite et visuel.
En réponse à
A propos du jeu
Plateformes
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