Ubisoft nous présente deux timbrés de Far Cry 3. On connaît déjà le premier, Vaas et sa démence, mais on connaît moins le second, l'Australien Buck tout aussi impitoyable et tordu que le précédent. L'aventure sur l'île ne sera pas de tout repos. Sortie du jeu le 29 novembre.
Vaas is an unpredictable, psychotic, violent, merciless, coked-up pirate warlord and slave trader who kills purely for entertainment. No one is safe when Vaas is around. Not his friends, and certainly not his enemies.
This murderer was once destined to inherit the power of his people, the Rakyat. His sister, Citra, rose to lead the entire tribe. Vaas was groomed to become the most powerful warrior on the island. But, instead, he shirked his responsibilities, fleeing the tribe, right into the hands of Hoyt Volker. Hoyt, the principal drug-runner and slave trader operating along the Pacific Rim, had selected Rook Island as his base of operations. He saw murderous potential in Vaas, and promised him wealth and drugs. Now Vaas is Hoyt’s most brutal enforcer. His favorite pastime? Kidnapping innocents, accepting ransom money, and selling them as slaves.
To those who serve under him, Vaas is a vicious and unpredictable boss. To those who dare cross him, Vaas is a lethal adversary. He’s an expert shot and a ferocious hand-to-hand warrior; his body bears the scars of savage battles deep in the jungle, which he wears with pride. But it is his explosive unpredictability that makes him so dangerous.
Early in the story, Vaas and his pirates capture Jason Brody and his friends. Vaas taunts them, explaining that he’s eager to see how much money Jason’s parents will pay for his return. But then things go south. Jason escapes. Enraged that a ‘pretty boy’ would dare challenge him, Vaas screams: “If the jungle doesn’t eat you alive, I will.” And thus begins a lethal rivalry between the two men. Jason does whatever he can to save his friends and escape, while Vaas develops a psychotic fixation on killing Jason once and for all.
But through all of Vaas’s murderous rage, glimpses of his remaining humanity can be seen. Lurking underneath the raucous façade is a disturbed exile, one running from a past that haunts him. He displays a twisted sense of humor that defies categorization. He is real. Unpredictable. Dangerous. Despicable. And entirely unique. He is Vaas.
Character Profile – Buck
On an island marked by depravity and violence, Buck may be the most depraved and violent of all. He lives by his own rules – feeding his own insatiable, twisted desires.
His story began in Australia, where he joined the armed forces at an early age. But his commanders quickly discovered his perverse addiction to inflicting pain, and dismissed him. He fell into mercenary work, leading to a contract with Hoyt Volker, the South Pacific’s most notorious drug-runner and slave trader. Hoyt realized that Buck’s ferocious combat skills and unrelenting brutality could be of use. Since then, Buck has answered to no other. When Hoyt needs a kill, Buck gets the call.
Buck is a man of distinctive tastes. Violent torture is his favorite diversion, and he takes a perverse pride in his stomach-churning assaults. “Around here,” he says with a savage leer, “we eat what we kill.” His outsize Bowie knife is never far from his grasp – or from a terrified victim’s flesh.
Jason Brody first encounters Buck in a desperate search for his kidnapped friend, Keith. Jason learns that Buck has purchased Keith, and bargains for his safe return. Buck makes Jason a deal: if Jason can find and deliver a priceless ancient knife, Buck will let Keith go. Jason agrees, and embarks on a dangerous quest to recover the knife and present it to Buck. But Buck isn’t just holding Keith hostage, Keith has become so much more. Buck is only human after all.
Jason and Buck will have to compete for who is the better man, and only one will emerge victorious. And Buck doesn’t fight fair, he plays for keeps.
Tous les commentaires (15)
Faudra voir si ça ne se résume pas qu'à ça (violence gratuite, meutres sur fond de déséquilibrés, aspect drogue trop poussé etc); moi en tout cas j'espère qu'ils auront pensé à mettre l'accent sur le côté exploration et aventure dans la jungle.
Et pareil pour AC3, sinon je sens que ça va vite me saouler (malgré le travail effectué sur les décors magnifiques).
Il y a de la drogue,de l'alcool,de la violence.Je trouve que dans les jeux c'est même assez soft comparer à ce que ça devrait être.
Je suis convaincu que la meilleure campagne solo sur un FPS de l'année se jouera entre Dishonored et FarCry 3. (sauf si Black Ops 2 et MOH Warfighter surprennent, ce que je ne crois pas)
Par contre Halo 4 a l'air d'être un bon challenger à ce titre.
Je suis pas sur qu'ils soient attendu pour son scénar' :/
Mais j'aimerais vraiment, pour une fois.
Il est là pour poser le minimum d'histoire requis pour nous faire avancer et découvrir les possibilités comme l'a justement dit Orfeo.
--> Le gameplay: là est toute l'essence du jeu à mon avis.
C'est purement une question de volonté (et de talent) des devs, pas une question de genre.
Arriver à justifier qu'une personne en désoude des centaines c'est déjà dur, alors en plus y ajouter une dose de réflexion profonde...
C'est purement une question de volonté (et de talent) des devs, pas une question de genre.
Autant je suis d'accord sur Deus Ex HR, autant les autres tu ne peux pas parler d'un putain de scénario de fou furieux qui te retourne les boyaux.
Pour moi, un scénario n'a pas forcément besoin d'être ultra complexe et alambiqué pour être bon... et inversement, un scénar compliqué n'est pas forcément toujours bon.
Un bon scénar n'a pas forcément besoin d'un twist ou d'un truc énorme. Cela passe aussi par l'immersion dans une ambiance (System Shock, FEAR), par des méthodes de narration (Half Life, Portal, Vietcong 1), par l'évocation d'un univers (Thieft, Halo) ou part une réflexion sur des thématiques (Bioshock, Deus EX).
On tend parfois à oublier le plaisir de la découverte d'un univers. Halo, quand ça commence, tu ne sais rien, tu es juste agressé par une autre espèce. La découverte de ce qu'ils sont, de ce que sont les Halos, de l'existence du flood, des forerunners, ça faisait parti intégrante du plaisir que l'on prennait dans le premier jeu.
Et la perception du spectateur/joueur a aussi son importance.
Là, j'attends de voir. La base semble assez commune mais le délire tribal et l'élément hallucinogène peuvent apporter des choses au niveau de l'ambiance, de l'expérience, qui seront originales.
les ennemis par paquet de 12 à discontinué souleraient en moins de 10/15 minutes un spectateurs ou lecteurs, alors qu'un joueur non. C'est l'inverse qui serait frustrant, à moins de vraiment tout jouer sur l'ambiance et la difficulté... mais pas évident à notre époque de "'l'instantané kikoolol"
Je suis pas sur qu'ils soient attendu pour son scénar' :/
Mais j'aimerais vraiment, pour une fois.
Sinon les possibilités de gameplay c'est bien, mais si l'histoire est naze je vois pas l'intérêt ... autant jouer à COD !
Pis je me méfie de plus en plus des open-world, en général plus il y a de missions, plus c'est décousu au final (oui j'ai aimé Max Payne 3 ou Spec Ops par exemple :o )