L’Europe accueille enfin cet ovni vidéoludique qu'est Catherine, le jeu officiel de la crise de la trentaine. Original autant par le fond que par la forme, le titre d'Atlus est de plus impitoyable, même en optant pour le mode de difficulté le plus facile (qui donne la possibilité de revenir en arrière manuellement en annulant un ou plusieurs mouvements suite à une erreur). Avec son ambiance singulière et le niveau de patience (et d'adresse !) requis pour progresser, voilà un jeu à ne pas mettre entre toutes les mains. On vous conseille par contre fortement de vous y essayer au moins une fois pour voir de quoi il retourne. Ce n'est en effet pas par hasard que le jeu a connu un beau succès au Japon et outre-Atlantique. La question est maintenant de savoir si vous aurez le courage d'affronter vos plus grandes peurs existentielles.
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C'est un peu le problème du jeu. Quand on a dépassé le stade de ces questions ou que l'on ne les trouve pas très problématiques, les phases entre les excellents puzzles peuvent devenir d'interminables bavardages soporiphiques et le héros, une tête à claque.
Typiquement le genre de jeu un peu obscure qui mérite le soutiens et l'achat en day one,plutôt que les grosses machines commerciales qui feront des ventes à la pelle quoi qu'il arrive!