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Que celles et ceux que la monotonie des routes bien goudronnées de France et de Navarre chagrinent, l'arrivée prochaine de la nouvelle simulation off-road de Focus Entertainment et Saber Interactive devrait stimuler votre quotidien ! Expeditions: A MudRunner Game est dans les starting blocks pour sa sortie du garage la semaine prochaine, mais pour préparer le terrain comme il se doit, on vous a concocté une nouvelle review détaillée ainsi que quelques vidéos maison de l'extrême.

Cargo Winch

Si vous avez déjà pratiqué SnowRunner (ou le premier MudRunner, dérivé amélioré du très rustique Spintires), vous ne devriez pas être particulièrement surpris par la proposition de Saber Interactive. Pourtant, contrairement aux apparences, ce nouvel épisode dans la série ne se présente pas exactement comme une suite classique, mais plutôt comme une variation sur le même thème. En effet, là où le jeu précédent nous emmenait dans des contrées plutôt civilisées, où la météo et les intempéries avaient bouleversé le cadre de vie de leurs habitants, Expeditions prend une toute nouvelle direction. Dans SnowRunner, le Michigan et l'Alaska disposaient en effet d'un réseau routier plutôt bien développé, et finalement, il en était de même pour Taïmyr en Russie, même si la zone pouvait sembler plus sauvage au premier abord. Parce que l'on évoluait dans des régions habitées, le cadre narratif (certes sommaire) nous plaçait dans les bottes d'un routier sympa dont le but était d'aider les gens dans le besoin en leur livrant divers matériaux, en reconstruisant les ponts détruits pour les reconnecter de nouveau à la civilisation, etc. Si l'on pouvait de fait y voir un léger lien de parenté avec un certain Death Stranding, ce que le contexte post-catastrophe naturelle ne faisait que souligner un peu plus, les déplacements d'un point A à un point B se voulaient assez balisés au final. La difficulté tenait donc surtout à l'obtention des bons équipements et/ou véhicules pour pouvoir aborder plus sereinement les changements de surfaces. Dans Expeditions, l'environnement dans lequel on évolue se veut nettement plus sauvage, comme si l'on nous projetait au beau milieu d'une version mécanique de Man Vs Wild.

Si l'enrobage narratif se veut tout aussi limité que par le passé (en dehors de quelques interventions radio écrites, seuls les briefings de mission nous donnent un peu de contexte), on comprend rapidement que l'on va cette fois incarner un explorateur/aventurier et non plus un simple livreur. On va bien évidemment être amené à transporter du matériel pour le compte de différents organismes, voire du gouvernement, mais oubliez tout ce qui touche au logging ou à ce type de missions plus "terre-à-terre". Chaque sortie dans le jeu aura en effet un but purement scientifique, et les contrées que vous allez devoir traverser s’avéreront bien moins hospitalières que celles de SnowRunner. Une fois que vous en aurez débloqué plusieurs, vous débuterez chacune de vos expéditions au camp de base de votre choix, sachant que vous pourrez aussi les améliorer avec le temps (atelier, entrepôt, stockage essentiel, parking agrandi, etc.), à condition bien sûr d'y mettre l'argent nécessaire. Expeditions propose trois destinations différentes, la première faisant office de zone tutorielle où l'on ne restera pas bien longtemps. Ainsi, seules cinq expéditions et quelques missions annexes seront au programme de la petite zone du Colorado incluse dans le jeu, tandis que les deux autres cartes offriront un contenu et une superficie (découpée en quatre parties distinctes séparées par un écran de chargement – comme dans SnowRunner) bien supérieure. Quelle que soit la région choisie, attendez-vous à des conditions de navigation assez extrêmes puisque ces trois destinations ne disposent tout simplement d'aucune route. Expeditions se déroule donc exclusivement en off-road, et c'est ce qui le singularise du volet précédent.

Joindre les deux boues

Pour contrebalancer cette approche plus jusqu'au-boutiste, les premières heures de jeu se veulent nettement moins exigeantes que celles de SnowRunner. On rappelle en effet que le début de ce dernier nous mettait derrière le volant d'un simple 4x4 et que son amélioration demandait un certain investissement (de temps et d'argent virtuel). Ici, même sans avoir droit aux bonus de précommande, on débute l'aventure avec trois véhicules : un léger, le DON 71, et deux camions, le Set 310E et le TUZ 16 Actaeon, ce qui nous donne une bien plus grande polyvalence pour débuter. Ces trois véhicules de base ne viennent bien sûr pas avec tous les équipements et toutes les options possibles, mais tous sont parfaitement capables de se déplacer sur les terrains accidentés, et parfois boueux, que l'on va devoir traverser avec un certain doigté. En progressant dans le jeu, en terminant des missions et en explorant les différentes cartes, on va pouvoir les améliorer petit à petit et les rendre plus efficaces encore. Une boutique in-game est également accessible mais gardez bien en tête que tous les véhicules qui s'y trouvent ne sont pas tous disponibles dès le départ, et que l'investissement nécessaire pour acquérir une voiture ou un camion neuf est conséquent. Les premières expéditions de chaque carte se veulent aussi courtes que simples, à la fois pour permettre d'appréhender le nouveau type de terrain, mais aussi pour vous donner une chance de vous faire la main un peu plus en douceur. Plus on avance dans le jeu, plus les missions se complexifient et plus les sommes engrangées augmentent, avec les risques d'échec bien sûr. Et comme l'argent reste le nerf de la guerre, il faudra en gagner régulièrement pour être en mesure de financer toutes vos sorties, une mission ne pouvant pas être lancée si l'on dispose d'un solde négatif.

À chaque expédition acceptée, l'organisme qui vous emploie vous donnera une petite avance sur le paiement total pour vous aider dans vos préparatifs. Vous serez généralement libre d'ajouter des collaborateurs à votre équipe, mais comme pour certains équipements, il vous sera parfois obligatoire d'en engager un ou plusieurs pour vous aider à accomplir vos objectifs. Sachant que leurs compétences varient en fonction de leur spécialité et de leur salaire, il faudra prendre garde à ne pas trop dépenser et à bien vous assurer que leur présence à vos côtés est justifiée. Dans les faits, ces collaborateurs fonctionnent finalement comme des perks, à savoir que chacun d'entre eux vous octroieront divers bonus dans certains domaines. Par exemple, les opérateurs pourront vous être très utiles si vous souhaitez utiliser votre drone dans des périmètres plus importants ou à plus haute altitude. Le jeu axant ses déplacements sur la reconnaissance du terrain en temps réel, ce n'est évidemment pas à négliger, d'autant que la zone d'utilisation dudit drone s'avère à la base très limitée autour du véhicule. La paire de jumelles, l'une des autres nouveautés de cet épisode, peut elle aussi profiter d'une meilleure efficacité grâce au bon coéquipier. On regrette en revanche que certaines indications de bonus ne soient pas plus explicites, ou que l'on ne puisse pas au moins avoir accès à une description plus détaillée de leurs effets. Avant de vous lancer dans votre nouvelle expédition, il faudra aussi choisir ce que vous voudrez emmener avec vous en termes d'équipement : pivots pour rétablir votre véhicule en cas de retournement, crochets portables, détecteur de métaux, bidons d'essence ou pièces détachées supplémentaires (pour ne pas tomber en panne ou se trouver dans l'impossibilité de construire un pont de fortune pour franchir un gué un peu profond), entre autres choses. On vous épargne la liste complète de tout ce que l'on peut prendre avec soi, mais sachez bien que tout cela aura un coût, sans compter les éventuels aménagements que vous devrez faire sur les véhicules que vous choisirez d'emmener avec vous.

Le drone de fer

Une fois sur place, en dehors d'un indicateur sur votre carte, vous devrez vous débrouiller pour atteindre le prochain marqueur avec les moyens du bord. Et croyez bien que quand on découvre une nouvelle zone, ce n'est pas une mince affaire. En cas de gros pépin, il est certes possible de faire enlever son véhicule bloqué pour le faire apparaître à un camp de base, mais seul le tout premier enlèvement est gratuit (le prix dépendant ensuite de la voiture ou du camion piloté). Sans la moindre route pour baliser un semblant d'itinéraire, il va vous falloir bien observer la mini-carte du jeu, où l'on peut d'ailleurs "déposer" plusieurs points de passage à la manière de Death Stranding (encore lui). Attention toutefois, la navigation sur la carte n'est pas toujours optimale, de même que la lisibilité, la faute à un niveau de zoom (et de détail) un peu limité parfois à notre goût. D'où l'intérêt de faire bon usage des nouveaux outils d'observation que sont les jumelles et le drone. Dommage cependant de ne pas pouvoir afficher la carte quand on est aux commandes de ce dernier, car cela oblige à arrêter de l'utiliser pour la consulter. Quand l'objectif en cours est d'explorer une zone donnée à 100%, cela peut devenir assez laborieux. Entre le terrain souvent difficile à appréhender, les déplacements limités du drone (qui bute sur des murs invisibles quand sa portée est insuffisante) et le manque de clarté quant à ce que l'on est censé repérer (en gros, il s'agit d'arpenter un périmètre donné, soit en véhicule, soit via le drone, ou de l'observer avec les jumelles), ce sont clairement les passages les plus frustrants tant on peu y perdre bêtement du temps. L'idéal est de trouver un point d'observation en hauteur et de scanner les environs grâce aux jumelles, mais même ainsi, il peut parfois être compliqué de trouver les quelques pourcents qui manquent pour valider l'objectif. Le genre de contrariété qui aurait pu être évitée avec un affichage plus clair de ce qu'il reste à observer.

Heureusement, on ne passe pas notre temps à jouer les éclaireurs de cette manière, et le reste des objectifs consistera généralement à atteindre un marqueur sur la carte, voire à le trouver comme un grand avec pour seul indicateur la distance qui nous sépare de lui. Les prétextes pour nous amener d'un coin à l'autre des différents lieux sont variés, mais dans la pratique, il s'agira bien évidemment de rouler jusqu'à un point donné pour y faire ce qui nous était demandé : récupérer un objet, lancer diverses analyses, prendre des photos, placer des appareils pour surveiller la vie sauvage, retrouver la trace d'un scientifique un peu éméché, observer de vieilles ruines, dénicher des ossements de dinosaure, trouver l'épave d'un vieil avion, etc. On participera parfois à quelques mini-jeux pour nous acquitter de certaines tâches, et s'ils ne sont pas spécialement intéressants d'un point de vue mécanique, ils ont le mérite d'être fonctionnels et de ne jamais durer bien longtemps. On a juste parfois l'impression qu'ils servent juste de simples prétextes pour amener un peu de variété, sans que le mini-jeu lui-même soit vraiment justifié par rapport à ce que le personnage est censé faire. Sans surprise, le plus grand plaisir que l'on tire de l'expérience se trouve dans la conduite et les déplacements, même si de ce côté, les sensations nous ont semblé très similaires à celles de SnowRunner, sans que l'on puisse remarquer d'améliorations notables, en dehors de la possibilité de modifier la pression des pneus pour faciliter la progression sur certaines surfaces. Tout le sel de ces aventures tient donc à la découverte du terrain de jeu, de ses pièges et la connaissance que l'on gagne grâce aux expéditions réussies et aux échecs cuisants que l'on rencontre. L'Arizona, bien que proche topographiquement de la petite zone du Colorado, avec son sol très rocailleux (mais cependant plus humide aussi) est très différent de la région des Carpates, où la profusion d'arbres de tous types et le relief rend la progression très ardue. On vous passe les détails sur la gestion des différents types de tractions/motorisations ou des vitesses, le système n'ayant pas changé depuis SnowRunner, tout comme on fermera les yeux (à regrets néanmoins) sur la décision de ne toujours pas avoir donné à la météo l'impact qu'elle devrait avoir sur le terrain et la conduite.

Et l'Inspecteur Harry zona

À force d'errer en terres hostiles, on rencontre forcément quelques petits désagréments, et sans vouloir absolument entrer en mode répressif pour cette dernière partie de l'article, il nous fallait aussi les évoquer avant de conclure. Pour commencer, difficile de ne pas se sentir un brin lésé quand on compare les terrains de jeu de SnowRunner et Expeditions. Comme nous l'avons expliqué, ils sont certes au nombre de trois dans les deux cas, mais au contraire du précédent jeu où toutes les destinations proposées offraient une expérience d'exploration de même densité, on peine à considérer Little Colorado comme autre chose qu'un simple amuse-bouche, d'autant que cette destination ne propose qu'une seule carte au lieu de quatre. Le fait qu'il s'agisse d'un environnement désertique (que l'on retrouve donc aussi en Arizona) tend à accentuer cette impression de ne pas profiter d'un contenu aussi riche et diversifié qu'il y a quatre ans et c'est tout à fait regrettable. De plus, Focus n'a pour l'instant annoncé aucun plan pour offrir une nouvelle zone aux joueurs qui auraient fait le tour des autres d'ici quelques semaines. Pas que le jeu ne propose pas suffisamment d'expéditions et de missions annexes pour s'occuper largement en attendant plus, mais tout de même. L'absence du mode coopératif pour la sortie est aussi assez dommageable tant il était plaisant dans le volet précédent. Il finira certes par arriver, et c'est heureux, mais on aurait aimé qu'il soit disponible dès maintenant pour que les amateurs de multijoueur puisse en profiter dès le lancement. En termes de mécaniques de jeu, on a beau ne pas avoir à redire sur le recyclage des axes fondamentaux de SnowRunner, on aurait aimé que la gestion de l'accrochage du treuil aux arbres soit rendue plus ergonomique à la manette, car c'était déjà un défaut que nous avions mentionné dans notre review de 2020. Rien d'insurmontable, les habitués s'en accommoderont sans mal puisqu'ils l'avaient déjà fait il y a quatre ans, mais on était en droit d'attendre quelques retouches sur ce point. Même constat dans tout ce qui touche à l'ergonomie globale des menus ainsi que la prise en main (hors conduite) qui, malgré les tutoriels, pourrait encore être améliorée pour accueillir les nouveaux venus.

Techniquement, Expeditions ne se démarque pas de son prédécesseur de façon très évidente, mais il reste tout à fait agréable visuellement. L'Arizona et les Carpates proposent des ambiances radicalement différentes et le dépaysement est bien au rendez-vous quand on passe de l'une à l'autre. La version PlayStation 5 que nous avons rapidement testée juste avant la levée de l'embargo tourne bien à 60 images par seconde et elle semble parfaitement stable lors des déplacements. Pour ne rien gâcher, elle peut aussi compter sur une bonne qualité d'image, ce qui met bien en valeur les paysages traversés et la distance d'affichage. Cependant, elle rencontre aussi quelques problèmes gênants avec certaines textures au sol et on espère donc que le bug sera corrigé au plus vite. Cela arrive aussi ponctuellement sur PC, mais dans une moindre mesure. Sur notre machine de test (RTX 2080 Ti et i9 9900k), le 1440p était généralement préférable à la 4K avec les options graphiques en ultra, et en dehors des quelques problèmes de stuttering ou de saccades aussi soudaines que brèves que nous avons constatés, notre expérience est restée agréable. On n'aurait toutefois pas dit non à une implémentation du DLSS (ou FSR) pour permettre de pousser un peu plus la résolution, sur la carte des Carpates notamment, plus gourmande avec toute sa végétation. Musicalement parlant, Expeditions sort beaucoup moins des sentiers battus que les véhicules qu'il nous met à disposition. Ce n'est pas une surprise quand on a déjà pratiqué SnowRunner, mais dans un jeu qui mise autant sur l'exploration, proposer une bande originale un peu plus variée (et pourquoi pas de vraies chansons sous licence) aurait du sens. On se consolera en se disant que les musiques ont le mérite de ne pas trop taper sur le système et qu'elles se fondent finalement assez bien dans le décor. Enfin, pour terminer sur la partie sonore, on ne peut s'empêcher de pester un peu sur le manque d'améliorations concernant les bruits des moteurs, surtout au niveau de la gestion des changements de régime (en particulier sur les véhicules légers).

Verdict


Expeditions: A MudRunner Game devrait parfaitement satisfaire les aficionados de SnowRunner, mais il est plus à voir comme une évolution parfois un peu timide de la série que comme une véritable révolution. Tout ce qui fonctionnait bien dans le jeu précédent est toujours aussi efficace, et à partir du moment où vous adhérez à son approche "explorateur de l'extrême" et que vous gardez bien en tête que, les livraisons de bois, c'est terminé, vous devriez largement y trouver votre compte. La dimension écologique de certaines missions peut parfois prêter à sourire quand on voit les monstres de pollution que l'on conduit, mais au-delà de ces considérations un peu mesquines et des quelques bémols que nous avons pu soulever dans notre test, le jeu de Saber Interactive parvient à ne pas s'embourber dans sa formule, et ce n'est déjà pas si mal dans un genre aussi niche !
  • es plus
  • Le plaisir de l'exploration contrariée
  • La découverte des meilleurs itinéraires
  • L’exigence des terrains de jeu
  • Le côté survie en milieu hostile plus affirmé
  • Toujours aussi sympathique visuellement
  • Fonctionne bien sur le Steam Deck
  • Les moins
  • Zones d'exploration à compléter laborieuses
  • Seulement deux grosses destinations cette fois
  • Quelques bugs de script gênants
  • Toujours pas d'impact de la météo sur la conduite

GSY Offline Review - Découverte de la version PS5 du jeu

uh]
Zorgalouf
Zorgalouf
Commentaire du 29/02/2024 à 21:08:41
Cool, moi ça me va l'exploration, c'est le plus intéressant à mes yeux ! 
En réponse à
eskyves - n comme noob
eskyves
Commentaire du 01/03/2024 à 18:51:13
Meme chose pour moi, l'exploration c'est cool, je vais replonger!
En réponse à
Zorgalouf
Zorgalouf
Commentaire du 01/03/2024 à 20:02:53
Bon j'ai commencé un peu, c'est bien sympa dans l'ensemble, mais ya déjà des choses qui m'agacent : c'est toujours un peu le bazar dans les menus, que ce soit les missions ou dans les options des camions. On ouvre la map avec le pad de la manette mais on ne le ferme plus avec, c'est con. En plus, la map ne s'ouvre pas forcément sur notre emplacement mais sur un point de passage de la mission (qui peut être à l'autre bout de la map donc c'est pas pratique).
Et je me demande si j'ai pas déjà un bug, j'ai une expédition en cours pour trouver un gué (une gué d'après eux, merci la trad' auto) mais j'ai pas de point sur la map, et je sais pas où reset la mission vu le bazar dont je parlais.
Et le mapping des boutons est moyen aussi : ouvrir les accessoires avec la croix, choisir avec le joystick (par exemple le trueil) et revenir à la croix pour choisir un point d'ancrage, c'est pas le plus intuitif qui soit. Ce sont des détails mais on va répéter la manœuvre des centaines de fois, c'est con que ce soit pas optimisé.
Et je ne parle pas des textures qui mettent 3h à charger. 
Sinon le plaisir de la balade est là, ça va quand même être sympa dans l'ensemble !
Edit : OK, on peut retourner au QG via le menu de pause en fait, mais comme l'expédition (pourtant terminée) reste apparente dans le menu de map, c'est pas clair du tout... 
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