Driftwood @reneyvane: non eux ont répondu avec le formulaire, c'est la boîte RP qui gérait le jeu qui n'a pas donné suite. (il y a 1 Jour)
Driftwood Il est de nouveau possible de télécharger les vidéos sur le site. Désolé pour le mois et demi de panne. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Retrouvez notre review de Rift Apart dès 16h00 aujourd'hui, mais en attendant Guilty Gear -Strive- est en vedette en home ! (il y a > 3 Mois)
Driftwood Nouveau live sur Returnal à 14h30 aujourd'hui. (il y a > 3 Mois)
Driftwood Rendez-vous à 17h00 pour un direct de 40 minutes sur Returnal (il y a > 3 Mois)
"Le divertissement est le meilleur régime contre le poids de l'existence"
Personnellement je regrette un peu cet esprit disparu des "1001 nuits/ moyen-orient" (tres présent dans le 1er par exemple) pour cette univers "fantastique teinté de moyen-orientisme". Mais je ne suis qu'au debut du jeu, cette impression va peut-être disparaitre en avancant.
Je regrette aussi l'approche un peu grand-public du titre: il est tres abordable dans l'ensemble, ce n'est certe pas un reproche, mais c'est probablement lié au fait que j'ai l'impression que les sauts sont "assistés" dans ce POP pas besoin de précision ou de prise de tête, le Prince est me semble-t-il "auto-guidé" pour ne pas se vautré lamentablement. Sensation que je trouve assez désagréable.
Enfin, tout ca pour dire que ca reste selon un tres bon jeu, une excellent surprise pour ma part du fait que je ne l'attendais absolument pas (pas tres convaincu a l'origine par la direction artistique..)
Profession: surfeur Australien
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La presse européenne le descend (jusque dans les magazines qui ne l'ont pas encore testé \o/). Parcours le net tu verras bien...
Je bannis, tu es banni, il est banni...
One ring of death to rule them all.
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www.san-antonio03.skyblog.com / Digne héritier de Jean Roucas en termes d'humour douteux...
Le jeu de Ben Mattes est à celui de Ueda ce que les livres de Beigbeder sont à l'oeuvre de Nathalie Sarraute. A aucun moment je n'ai retrouvé cette fragile vibration poétique qui anime les jeux de Ueda et qui leur confère une âme, en fait plus que de simples jeux.
Ce Prince of Persia suinte par tout ses pores le produit ultra marketé, bien foutu mais sans aspérités. Un jeu "bogoss", un premier de la classe énervant qui à force de vouloir plaire au plus grand nombre fini par n'être qu'une belle coquille vide, sans panache, sans mordant... sans personnalité.
Après Assassin's Creed on se retrouve à nouveau devant un jeu qui en ne voulant surtout pas frustrer le public casual installe un gameplay sans saveur, ultra tolérant où le joueur est assisté pour le moindre saut... Et je ne parle même pas du personnage d'Elika dans le rôle de la mère juive lourdingue à force d'être surprotectrice... Je rate un saut: Elika est là. J'arrive pas à frapper un streum: Elika est là. J'ai besoin d'avoir recours à la magie: Elika est là. Je retrouve plus mes pantoufles en peau de Zébu: Elika est là!
L'intégration de ce personnage dans le gameplay du jeu en fait un authentique boulet mais pas dans le sens où les sidekicks le sont habituellement. C'est dommage car par ailleurs le personnage est sympathique... en tout cas bien plus que le "prince" dans le rôle du héros beau et con comme un manche à balai qui aurait pris au pied de la lettre les cours de "ténébritude" et de "dedansification" de la Sentaï School.
Même si mes impressions s'appuient sur une petite session de jeu effectuée dans des conditions pas optimales, à aucun moment le gameplay ne m'a apporté un quelconque frisson car il n'exige aucune maîtrise et le joueur n'est jamais sanctionné. Mattes a voulu faire un jeu qui ne soit pas frustrant pour le joueur. Mais en ce qui me concerne, je trouve sa propension à signifier au joueur qu'aucune erreur n'est grave extrêmement frustrante car à aucun moment le jeu n'invite à se dépasser, à comprendre pourquoi "là ça ne marche pas". Parce que dans ce Prince of Persia, ça marche toujours.
Au sortir d'expériences ludiques aussi fortes et sastisfaisante (pour moi) que furent Tomb Raider: Underworld et Mirror's Edge (malgré leurs défauts respectifs), ce nouveau Prince of Persia, pour ce que j'ai pu en juger ne m'a laissé qu'une belle (car le jeu est beau indéniablement) impression de vide.
Je suis plutôt de la tendance Gameblog d'habitude mais là le 6/10 de Gamekult, je pense que c'est bien payé.
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Qui a eu du mal à finir le jeu franchement ? Qui a trouvé les phases de combats, de plateforme ou même les énigmes difficiles ? :/ Je pense quand même que les jeux de Ueada, aussi bons soient-ils, sont un peu surévalués et surtout trop ramenés à des œuvres artistico-intellos.
Pour le reste, ça me dépasse qu'on puisse à ce point comparer le jeu à Assassin's Creed...
De même, parce que c'est moi sans doute, je ne comprends pas comment on peut trouver un Mirror's Edge plus consistant (de mon point de vue, le jeu a un gameplay approximatif - certes libre dans la réalisation mais complètement linéaire avec un seul vrai itinéraire - une histoire sans intérêt, des graphismes moyens, un univers absolument pas exploité - ou très mal - et une durée de vie ridicule - et pourtant PoP n'est pas très long non plus finalement).
Tout ne marche pas toujours dans PoP contrairement à ce que tu sous-entends (je sais que je ne suis pas doué mais quand même) et je dis ça après avoir récupéré 1000 orbes (donc après avoir joué un peu :p). La facilité vient notamment du fait que les chemins sont faciles à repérer (trop balisés pour certains je le comprends) là où dans Tomb Raider il faut un minimum observer pour trouver le point de départ du parcours prévu (et unique) par les développeurs.
Une fois Lara sur ledit parcours cependant, impossible de se tromper de chemin et si ce n'est une chute (c'est possible aussi dans PoP si si...) qui ramène au dernier check point (donc jamais très loin), le jeu est rarement pénalisant. Meilleure preuve, je n'ai quasiment jamais utilisé un pack de soin dans Tomb Raider puisqu'à chaque mort, on nous remet la vie au maximum. Bref, une fois qu'on a passé un combat, aucun intérêt à se refaire une santé puisqu'il suffit d'attendre le check point suivant et de se jeter dans le vide pour repartir comme si de rien n'était.
J'ai adoré Tomb Raider et PoP pour des raisons quelque peu différentes (on se sent effectivement plus "joueur qui maitrise" dans TR par exemple) c'est vrai mais encore une fois, je trouve que ressortir la rengaine à la mode "Ubi fait des beaux jeux chiants sans âme" c'est dommage pour un jeu aussi agréable. S'ils veulent prendre le risque de rendre le gameplay un peu plus profond pour la suite je dis oui tout de suite (à condition que ça ne devienne pas un Mirror's Edge où la même manipulation peut donner deux choses différentes dans un même contexte sans qu'on comprenne pourquoi :/) mais ce n'est pas parce que le jeu t'assiste que tu as zéro sensation (certaines phases donnent vraiment le vertige).
Je suis au final vraiment désolé que tu n'aimes pas le jeu (et que tu le descendes autant à grand renfort de comparaisons peu flatteuses) mais je savais d'avance que les avis iraient plus dans ton sens que dans le mien.
À croire que ça sera mon Galleon. :(
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Après avoir passé pas mal de temps sur Mirror's Edge (enfin surtout dans le time trial) je ne trouve pas du tout que le gameplay soit aléatoire (bon sauf quand j'y joue bourré :D). Je le trouve au contraire relativement pointilleux et offrant une marge de progression vraiment intéressante contrairement à PoP.
Ico n'était pas très difficile effectivement... cela n'a pas empêché qu'à diverses reprises je me suis vautré comme une grosse buse (un saut mal ajusté, un mauvais timing, Yorda laissée trop longtemps toute seule avec des créatures de l'ombre) et là t'as pas un "deus ex machina" qui surgit de nulle part pour te repêcher in extremis. Du coup la fois suivante, pour réussir bin tu fais gaffe, tu adaptes ta façon de jouer... tu t'améliores quoi.
Dans ce PoP pour le peu que j'ai pu y jouer (je le répète: il ne s'agit pas d'un avis définitif... mais quoi qu'il en soit, il est hors de question que je lâche 70 ou même 40 euros pour y jouer) le gameplay ne m'a apporté aucune satisfaction. Le jeu ne m'a pas laissé me viander en me disant "Dis donc garçon! tu vas me faire le plaisir de resserrer un peu ton temps de réaction pour les phases de plateformes là parce que tu fais n'importe quoi!"... Non.
Le jeu a beau proposer un univers ouvert on a l'impression de diriger un personnage comme autoguidé par des rails invisibles avec tout ce que cela suppose de permissivité en terme de timing. Je comprends que cela puisse plaire. Je comprends même qu'on puisse en faire abstraction pour ne jouir que de l'univers, de l'ambiance et des beaux graphismes... C'est juste que concernant ces derniers points le jeu ne m'a pas convaincu non plus. Je trouve ce jeu très propre sur lui: le trouble n'affleure jamais, pas de sentiment d'inquiétude, de tension. L'univers est juste beau (comme peut l'être un univers disneyien). C'est très subjectif tout ça je te l'accorde mais dans Ico et dans Shadow of The Colossus, sans même parler du scénario, j'ai été touché par la solitude des personnages, la fragile et inquiète présence de nos compagnons (Yorda et Agro), la désolation et la majesté qui transpire des architectures sans âge que l'on visite (Cf la citadelle borgesienne de Ico dont l'inquiétant silence l'apparente à un gigantesque monstre endormi).
Je n'ai pas trouvé ces qualités dans PoP (je parlais de "vibration poétique" précédemment et c'est exactement ce qui fait, selon moi, défaut au jeu de Mattes) alors qu'il est évident que les développeurs avaient les jeux de Ueda en tête... à tel point que l'on se demande où finit l'hommage et où commence le pillage.
Quant au fait que je faisais référence à Assassin's Creed (mais j'aurais pu citer Les Lapins Crétins, quoique la comparaison aurait semblé encore plus suspecte ^^) c'était juste pour souligner que visiblement Ubisoft a choisi son camp, celui des jeux dont le gameplay est ouvertement orienté "casual". C'est un terrain sur lequel, pour ma part, je ne suivrai pas l'éditeur.
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Now the real interesting part starts - the debates. I've read some very thoughtful arguments for and against the 'accessibility' of the game but thought I would start off tonight with one that particularly grabbed my attention.
TheGameReviews.com isn't a site I usually frequent, but their 'analysis' (not a review) of the 'easiness' of Prince Of Persia was very well put - I could hardly have argued the case better myself...but that doesn't mean I won't try. ;)
I'm still enjoying the sun in Florida on vacation but when I'm back in Montreal I expect I'll be drawn to some of the POP discussion and offering my own thoughts on the matter.
If nothing else I love the fact that people seem to be playing the game all the way through to the end.
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On peut également objecter qu'à une époque où dans les médias, les loisirs ou l'art on s'évertue à caresser le public dans le sens du poil en ne le bousculant pas (faut pas le frustrer ni le choquer le pauvre!) en lui livrant du "prêt à penser" et des univers "clef en main" qui ne nécessitent aucun apprentissage (on est dans le règne du "tout, tout de suite", de la satisfaction immédiate) il est peut-être bon de revaloriser les notions d'obstacle, d'échec et de résiliance face à celui-ci.
L'échec est une des séquences cruciale du processus d'apprentissage. Savoir rebondir, analyser ses erreurs pour les dépasser, en commettre d'autres, ect... Que dire d'une pratique dont la maîtrise serait immédiate et n'exigerait aucun effort de la part du sujet? Elle apporterait une satisfaction à très court terme mais serait aussi très vite considérée comme vaine.
Il n'y rien de dégradant à se vautrer, à échouer tant que cet échec est porteur de son propre dépassement. J'avoue que l'article que tu linkes fait preuve d'un état d'esprit, d'une "philosophie" qui m'agace un peu et qui trouve un écho assez large chez nos contemporains même si ici il s'applique à un truc aussi inoffensif que le jeu vidéo.
Pour moi il en va des loisirs vidéo-ludique comme d'autres matières.
Un jeu dont le gameplay ne m'apprend rien, n'exige rien de moi, ne vaut pas la peine d'être jouer.
Voilà... mais bon, je dérive là! ^_^
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Je sais pas, peut-être que je me trompe, et si c'est la cas dites-le, mais j'ai comme l'impression que ceux qui n'approuvent pas trop ce PoP, le font peut-être parce que le jeu est une sorte d'hommage un peu trop voyant (pour pas dire une repompe) de grands jeux reconnus de tous, tels qu'ICO (ou Okami).
Or ces jeux, que je considère comme des oeuvres d'art à part entière (ICO, plus qu'un jeu qui a TOUT COMPRIS à ce que pouvait être un jeu video, c'est carrément un chef d'oeuvre; mon meilleur jeu de tout les temps en tout cas; personne n'avait encore fait ça, et personne n'a réussi à le refaire depuis, semble-t-il en tout cas), ces jeux donc, me semblent n'être que des accidents de parcours, sortis de nulle part, si ce n'est du hasard et du talent de ceux qui ont participé à leur création. Il n'ont pas été fait dans le but de vendre (bide commercial retentissant) et ne se sont pas inspiré de divers jeux déjà existant comme c'est la mode aujourd'hui. Non, ils ont imposé (j'aime pas trop ce terme) leur propre vision, et bien leur en a pris, pour nous autres qui y avons été réceptifs.
Donc voilà, est-ce que c'est ça que vous reprochez à PoP (c.a.d. s'inspirer trop des autres, sans parvenir à développer sa propre identité, ou disons sa propre contribution au schmilblick)? En plus de son côté assez casual?
Dead Space par exemple aurait tout aussi bien pu lui aussi rentrer dans cette catégorie, tellement ses inspirations semblaient flagrantes; mais heureusement pour lui, il apportait sa propre pièce à l'édifice (encore inédite), en installant une tension/flippe, via audio, comme il en existe encore assez rarement dans les jeux video aujourd'hui. Et c'est ça qui l'a sauvé à mon avis. Ou plutôt, qui a réussi à le rendre unique et à en faire une référence.
Voili, désolé pour le pavé.
Certains prennent ça comme une distraction pour tuer le temps.
D'autres voient ça comme une perte de temps, qui nous soustrait à la vie réelle.
Moi j'y vois une forme d'Art. (parfois)
Pareillement, certains passages de pure plateforme, même très balisés, sont assez longs et rythmés et demandent malgré tout de la dextérité pour ne pas finir repêché par la Miss et renvoyé au début.
Mon seul bémol est pour les combats mais ça vient de moi qui n'arrive pas bien à varier les combos, même en potassant l'arborescence disponible dans le menu... Du coup, je répète souvent le même truc, d'où une certaine répétitivité lassante.
Le fait qu'Elika n'ait rien de la demoiselle en détresse qu'il faut protéger à chaque pas me va tout à fait. En fait, on joue "comme si elle n'était pas là" et ça passe tout seul. Elle ne bloque jamais le Prince dans ses mouvements, ne reste jamais à la traîne et se rend utile dans les combats. Vraiment rien d'un boulet cette fille là ! Au contraire, elle est un prolongement du Prince. La synchro est tellement bien faite qu'on a l'impression de contrôler une seule et même entité, tout en souplesse et en félinité.
OK, on a l'impression de jouer en permanence avec un ESP non déconnectable mais ça ne me choque pas... Je suis sous le charme... Vraiment !!!
Et j'insiste : autant le Prince a tout du rigolo de service, à la personnalité caricaturale du héros sans peur et blasé, autant Elika, sous des dehors fragiles, révèle un vrai tempérament, très attachant. Et qu'est-ce qu'elle est mimi ! ^^
PSN ID : JebOne
Gran Turismo 5 Prologue - Singstar - Uncharted : Drake's Fortune - WipeOut HD - Ratchet & Clank : Quest For Booty - Prince Of Persia
J'ai pas les même gouts que vous ? Et Alors ?
Dévérouilleur officiel de succès
Les jeux vidéos ? Mais c'est énoooorme :whistle
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C'est la première fois que je suis, aussi attentivement, le thread d'un jeu qui ne m'intéresse pas (dans un premier temps??).
"Exécutez l'ordre 66..."
A vrai dire, je n'ai pas abordé Prince of Persia en me disant "il faut qu'il soit aussi bien qu'Ico" car selon moi ce n'est d'une part, pas souhaitable et c'est d'autre part, impossible. Ico est unique, c'est une oeuvre (je lâche le mot) solitaire et part là même fragile, au même titre qu'Okami, Silent Hill 2, Shadow of the Colossus, Shenmue ou récemment Braid. On peut aisément le catégoriser, on en saisira pas pour autant l'essence, ce qui en fait le génie.
Néanmoins, sans attendre de ce Prince of Persia qu'il embrasse un tel statut, c'est tout de même un jeu dont les références et les emprunts se voient un peu comme un nez au milieu de la figure. Il convoque donc, inévitablement, chez le joueur, les souvenirs de ses expériences passées avec ces jeux d'exception (Ico et Okami, donc). La comparaison, inévitable elle aussi, est donc rarement en faveur du jeu d'Ubisoft.
Pour prendre un autre exemple, dans le domaine du cinéma, qui montre que cette démarche (s'inspirer d'un chef-d'oeuvre au point de vouloir en retrouver l'essence) est souvent vouée à l'échec, on peut citer l'exemple du Psychose de Gus Van Sant. Voilà un cinéaste, talentueux qui plus est, qui s'est mis en tête de refaire plan par plan exactement le chef-d'oeuvre d'Alfred Hitchcock... Et devine quoi? Son Psychose (pourtant identique au plan près à l'original) n'est pas un chef-d'oeuvre... juste un exercice de style poussif et vain.
Etonnant, non? ;)
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Enfin cool, c'est super de savoir qu'en gros PoP reste une tentative poussive et vaine. Je dois vraiment avoir des goûts de merde... :/
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Bon sinon moi j'espère que je vais aimé vu que je vais l'avoir pour Noël! :p Mais oui je pense que je vais bien kiffé, ça a l'air vraiment bien, m'en fout des tests!
J'ai dit que la tentative de Van Sant de refaire Psycho à l'identique aboutissait à un résultat poussif et vain. En aucun cas je n'ai prétendu que Prince of Persia était poussif et vain, je trouve juste ses mécanismes assez creux. Le glissement que tu fais opérer à mes propos est un peu malhonnête. Ou alors c'est que je m'exprime vraiment mal.
Cette comparaison avait juste pour but de montrer que ce n'est pas parce qu'on recycle les éléments les plus facilement identifiables d'une grande oeuvre qu'on réussit à en faire renaître le génie. Je ne signifiais rien d'autre.
Et oui, je le répète à nouveau: j'y ai juste un peu joué. Mais étant un vieux gamer je sais ce que j'aime et ce que je n'aime pas dans les jeux vidéo. Et je n'ai pas forcément besoin de plus d'une ou deux heures de jeu pour savoir qu'un titre va me plaire ou non. Je ferai peut-être un jour ce PoP dans son intégralité (si quelqu'un de mon entourage l'a et veut bien me le passer). Si jamais mon opinion change à son sujet tu peux être sûr que je viendrai ici même pour faire un "mea culpa" péteux comme j'en ai le secret.
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Sinon arrêtez de parler de pastis ou de vin... Vous êtes vraiment des ivrognes ici... :(