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Qui parmi vous n'a pas déjà eu l'occasion de poser les mains sur The Elder Scrolls V: Skyrim ou sa Special Edition, sortie il y a un an sur PC, PS4 et Xbox One ? Aussi incroyable que cela puisse paraître après 6 ans d'existence, il reste peut-être encore quelques joueurs en ces murs à ne pas l'avoir fait. Pour ces derniers, l'arrivée d'une version Switch pouvait potentiellement les amener à s'intéresser au titre iconique de Bethesda. Plus que la découverte du jeu sur l'écran de son téléviseur, c'est surtout l'attrait de la fonction nomade de la machine qui retient l'attention depuis quelques mois, ce cinquième épisode de la série The Elder Scrolls étant même parvenu à faire de l’œil à un fan aussi invétéré que notre Miguel national. Notre avis sur le portage, juste après le clic.
Verdict
Six ans après sa sortie initiale sur Xbox 360, Playstation 3 et PC, on ne présente évidemment plus Skyrim, suite du mémorable Oblivion, qui avait permis aux joueurs consoles de découvrir la série en HD pour la première fois. C'est à l'occasion d'une nouvelle première pour la franchise que nous retrouvons le pays de Bordeciel, puisque les consoles Nintendo ne l'avaient jamais accueilli à ce jour. Point de miracle pour un titre de 2011 tournant sur un hardware moins puissant que la concurrence, le rendu montre bel bien son âge, aussi bien dans la modélisation des environnements que des personnages eux-mêmes. Sur grand écran, on remarque bien évidemment plus l'aliasing et les effets de pop-up, ainsi que les arêtes bien saillantes de certaines parties du décor, mais dans sa configuration portative, la console de Nintendo et son écran très contrasté sont plutôt bénéfiques au vénérable RPG de Bethesda. L'ergonomie aux Joy-Cons est tout à fait correcte, d'autant que le jeu ne demande pas la précision chirurgicale d'un DOOM. Il est juste un peu étrange d'avoir conservé le bouton du menu sur la touche B, située à l'emplacement du bouton A/croix sur les autres supports. Tout étant paramétrable dans les options, cela n'est de toute façon pas un problème. Rien à signaler côté framerate sur nos quelques sessions de jeu, même en combat face à un dragon fâché, le jeu reste fluide quelle soit la configuration choisie. Malgré tout, si vous avez déjà eu l'occasion d'arpenter les chemins escarpés de Skyrim, il n'y a pas spécialement de raisons de craquer pour cette nouvelle version, à moins bien sûr de vouloir le redécouvrir en mode nomade. Pour nous, il s'agit assurément de l'atout charme de ce nouveau portage.
Tous les commentaires (7)
C'est bizarrement le seul elder scroll que je n'ai pas encore fait.
Et si je me lance, ça sera sur VR. Au moins je saurais pourquoi c'est moche :).
@MadPitch :Si tu te bases sur ces screen, je te l'accorde, autrement non le jeu reste très digne même 6 ans plus tard. Lors du concours GSY, il y avait même des screen basé sur ce jeu..
@Bourru :Tu y va fort. Les TES kitchos ? Ca veut dire pas très beau, en retard? Morrowind un peu (et encore si tu compares avec les jeux de l'époque comme Arx Fatalis tu te diras que non, c'était surtout terne), mais Oblivion était une claque a sa sortie, de même que Skyrim qui était bien optimisé.
Pour Skyrim le gameplay n'était pas du tout typé PC oldschool, mais bien consoleux, avec des menus taillés pour les pads, et des combats bien plus dynamiques. (beaucoup de joueurs PC ou fan de la série n'ont d'ailleurs pas aimé ce virage, et les simplifications qu'il comportait).
En revanche Morrowind était bien PC "oldschool" niveau gameplay, et Oblivion malgrès les raccourcis, oui c'était pas encore ça.
@Driftwood : Tes devenu le testeur GSY des TES on dirait. Là ça ressemble presque à une punition.