GSY Review PC PS4 Xbox One

Après deux mois de soleil et de fortes chaleur, il est temps de faire chauffer les cartes graphiques de nos PC et consoles pour accueillir le premier jeu d'une longue série en cette rentrée. Control est le tout premier à passer à la moulinette Gamersyde, avec les versions PC et Xbox One X s'il vous plaît. Au programme, une review, avec un passage dédié au RTX, du gameplay haute qualité sur les deux supports, dont une vidéo comparative qui vous montrera en quoi le Ray Tracing peut modifier le rendu visuel sur PC. Bref, on a mis les petits plats dans les grands pour vous concocter le meilleur remède au blues de la rentrée. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, sachez que nous vous invitons à un live centré sur le ray tracing et le gameplay dès ce soir 21h30.
Note : Review réalisée avec les drivers Nvidia du 20 août dernier.
Configuration utilisée : i9 9900k, RTX 2080 Ti, 16 GO de RAM

Un petit tour de Control

Jesse Faden n'est pas exactement une femme comme les autres. Liée par son passé à un événement étrange qui l'a séparée de ses parents et de son frère Dylan, elle n'a rien du visiteur lambda quand elle franchit les portes du Bureau Federal du Contrôle. Cela, on le découvre au fur et à mesure, par petites touches, l'univers singulier du nouveau titre de Remedy Studios prenant un malin plaisir à perdre le joueur. Il faut dire que la promotion dont profite Jesse, catapultée directrice de l'agence secrète au moment où elle ramasse l'arme du précédent dirigeant, prétendu mort d'un suicide, ne semble avoir aucun sens. Pas plus que le reste d'ailleurs, comme ces corps en lévitation qui rappelleraient de bien mauvais souvenirs à Ulysse (celui qui se mettait sur son 31 pour épater les enfants des années 80) ou ces employés possédés par le Hiss (l'entité hostile du jeu), bien décidés à nous faire la peau. Et puis il y a cette histoire de plan astral, d'objets de pouvoir ou d'objets altérés, sans oublier les pouvoirs qu'obtient Jesse régulièrement pour faire face à cette situation incompréhensible. Un joyeux bazar que l'on prend un réel plaisir à découvrir des heures durant, à la recherche d'un semblant de sens à donner à tout cela. Le monde de Control doit donc s'appréhender avec l'idée que l'on ne va pas y piper grand chose pendant un certain temps, mais c'est ce qui fait son charme. Les précédentes productions du studio finlandais bénéficiaient déjà de cette maîtrise, on est heureux de la retrouver ici dans ce qui semblait pourtant ressembler à s'y méprendre un simple reskin de Quantum Break. Ici, il n'est pas tant question de temps que d'espace, une subtile différence qui amène la jeune héroïne à explorer l'immeuble du FBC sur plusieurs plans, dans des séquences qui pourraient bien vous surprendre à plusieurs reprises.

Autre différence majeure avec le précédent Remedy, la structure de Control se rapproche presque plus d'un monde ouvert où l'on se déplace librement. Ce dernier a beau ne pas être dénué de temps de chargement, il est en effet possible d'utiliser des points précis (que l'on a au préalable purifiés ou validés) pour voyager plus rapidement et revenir sur ses pas. Ainsi, l'obtention de carte d'accès de plus haut niveau d'autorisation permettra de débloquer l'accès à certaines pièces renfermant des mods d'équipement ou des ressources. Dans la même logique, certaines zones (ou missions) ne pourront être atteintes/accomplies qu'une fois le bon pouvoir obtenu. Cet autre aspect qui rapproche quelque peu Control de l'open world, c'est la présence de quêtes secondaires, qui peuvent tout aussi bien vous demander de vous acquitter d'une tâche à priori idiote (parler aux plantes vertes d'une salle pour faire plaisir à l'étrange gardien de l'immeuble) que de partir à la rescousse d'un employé du FBC ou d'un de ses agents. Ces missions donnent l'occasion de découvrir de nouveaux lieux, de nouvelles situations et elles apportent suffisamment de narration en plus pour étoffer l'univers du jeu. Moins pertinentes peut-être, les missions aléatoires qui vous seront signalées par le biais d'alertes impromptues à l'écran vous feront revenir dans des lieux déjà traversés pour nettoyer une zone en proie à l'invasion du Hiss. Bien sûr, toutes ces bonnes actions ne sont pas offertes gracieusement, Jesse en tire évidemment profit . Après tout, un jeu de 2019 n'en serait pas un sans son arbre de compétences et ses possibilités d'upgrade de l'équipement.

Hiss et haut, oh Hiss !

Tout d'abord uniquement équipée de ses poings et d'un pistolet, l'héroïne se verra peu à peu gratifiée de pouvoirs surnaturels et d'autres types d'armes à feu. Celles-ci sont cependant toutes conçues sur le même moule, qui n'est d'ailleurs clairement pas issu de notre monde (ou notre époque du moins), les quatre types de pétoires (pistolet, mitraillette, pompe et sniper) ayant la particularité de ne pouvoir être rechargées manuellement. Pour cette raison, il s'agira de bien alterner entre attaques classiques avec de bonnes vieilles balles et les capacités octroyées par le monde astral. Il est néanmoins possible d'attacher à chaque arme divers mods, dont le niveau augmentera au cours de votre progression, certains d'entre eux étant bien sûr réservés à un modèle spécifique d'arme. Rechargement plus rapide, augmentation des dégâts, recul ou dispersion atténués, les possibilités sont assez larges, mais il faudra faire un choix. Un seul slot est en effet disponible au départ, deux supplémentaires pouvant être ajoutés à condition de récolter suffisamment de ressources pour améliorer lesdites armes. Des mods existent également pour Jesse et ses pouvoirs, avec des effets aussi variés que l'allongement de la barre de vie, le boost de la régénération de l'énergie ou les dégâts causés par la télékinésie. Car en effet, assez tôt dans l'aventure, la jolie rousse sera capable de "saisir" à peu près n'importe quel élément du décor (jusqu'à pouvoir arracher des morceaux de béton du sol) pour les projeter sur ses ennemis. En résulte un joyeux ballet d'objets et de corps (upgrader le pouvoir donne la possibilité d'interagir sur des ennemis blessés ou des corps inertes), quand il ne s'agit pas des grenades ou des roquettes qu'elle renverra à l'envoyeur sans crier gare (bons réflexes demandés, aucun autre indicateur que le son n'étant prévu pour les attraper au vol). À cette première capacité hors du commun viendront s'ajouter la possibilité d'éviter les attaques grâce à une esquive très rapide, de se protéger en maintenant des blocs de pierre devant soi, la possession (pour forcer vos adversaires à se retourner contre leurs petits camarades) et même la lévitation, qui ne permet pas seulement d'atteindre des hauteurs inaccessibles autrement, mais également de lancer une attaque au sol dévastatrice.

La grande réussite de Control est de rendre les affrontements très rapidement jouissifs. En quelques minutes, on comprend les bases du gameplay et il est possible de réaliser de belles actions d'éclat. Le changement d'arme se fait rapidement (même si seules deux d'entre elles peuvent être équipées à la fois), les tirs sont très précis, que l'on décide d'utiliser la visée à l'épaule ou de tirer au jugé en continuant de se déplacer à toute vitesse. Au passage, Jesse ne souffre pas de la léthargie asthmatique d'un Alan Wake et elle est aussi nettement plus vive que Jack Joyce. Cela tombe bien, puisque la mobilité est clef, se baisser ne servant finalement qu'assez peu, en tout début de jeu quand Joyce n'est pas encore prête à en découdre sérieusement avec le Hiss. Il existe bien évidemment divers types d'ennemis, les soldats possédés de base, ceux munis d'un bouclier qu'il faut d'abord affaiblir en leur jetant le mobilier à la figure, ceux que nous avons choisi d'appeler les voltigeurs, qui lévitent sur un fauteuil ou "à pied", mais Remedy n'a pas non plus oublié d'intégrer des boss (optionnels ou non), qui peuvent d'ailleurs atteindre une bonne taille. Les combats ne sont jamais insurmontables, mais il vous arrivera sans doute de mordre la poussière de temps en temps, le surnombre adverse ayant vite fait de vous mettre en position délicate. Aussi excellentes soient-elles, avec une montée en puissance qui donne des ailes, les mécaniques de gameplay auraient peut-être gagné à se diversifier un peu plus. En effet, l'essentiel des combats se bornent à envoyer tout ce qui vous passe par la main à la figure de vos ennemis, en alternant avec les tirs de vos armes. Le bouclier sert finalement assez peu, et si les attaques aériennes ne manquent pas de peps, cela ne donne finalement que trois façon de passer à l'offensive. Cela n'est fondamentalement pas si grave, la plupart des titres d'action reposant eux aussi sur un nombre de mécaniques réduit, mais le manque de diversité des situations et des lieux ajoute à cette impression de redondance. En ce qui nous concerne, nous sommes passés outre, la force de la mise en scène des affrontements nous maintenant en haleine à chaque fois, mais il est difficile de nier qu'une certaine routine s'installe immanquablement. Certains argueront que le cultissime Alan Wake s'avérait bien plus limité en termes de possibilités de gameplay, et ils auront raison, la preuve qu'un univers travaillé, une ambiance soignée et un scénario qui captive ont aussi un rôle important à jouer dans la réussite d'un titre. Fort heureusement, Control s'en sort très bien dans ces domaines lui aussi, même si un immeuble fédéral ne surpassera jamais le charme des forêts et montagnes de l'état de Washington.

Le plan astral gagnant

Esthétiquement très proche de Quantum Break, le rendu visuel de Control souffre un peu des mêmes problèmes que son aîné, avec cette impression d'une image qui manque de netteté et des textures un peu sales qui vont parfois jusqu'à créer un léger effet de fourmillement. De même, la modélisation in-game des visages des personnages reste assez sommaire, et s'ils sont nettement meilleurs lors des cinématiques, ils ne sont pas tous très réussis. Autant Jesse, le gardien ou même Langston s'avèrent très soignés, autant Marshall, Pope et Arish sont particulièrement ratés. Et puisque l'on aborde le sujet des cutscenes, malgré un effort de changement de plans lors de la plupart des dialogues, difficile de s'enthousiasmer pour leur mise en scène, surtout si on les compare au travail réalisé sur Quantum Break. Heureusement, les acteurs de la version originale s'en donnent à cœur joie, et les fans du studio finlandais seront ravis de retrouver James McCaffrey (Max Payne), Matthew Porretta (Alan Wake) et Courtney Hope (Quantum Break) au casting. N'ayant pas eu le temps d'essayer l'adaptation française (vous avez échappé de peu à l'intertitre French Hiss), nous ne pouvons nous prononcer sur sa qualité, mais on imagine qu'elle doit être dans la lignée de la plupart des titres ayant droit à une localisation audio. Fermons la parenthèse et revenons aux graphismes, que le jeu et son incroyable moteur physique savent aussi bien mettre en valeur lors des combats. Entre les effets de particules, le décor en partie destructible (du mobilier à la base des piliers en béton), les nombreux éléments qui réagissent au moindre contact (tableaux qui se décrochent en partie et qui continuent de se balancer, chaise de bureau qui tourne sur elle-même, etc.) et les explosions, on ne sait plus où donner de la tête. Cerise sur le gâteau, l'action reste lisible malgré tout, du moins dans la majeure partie des cas. Une jolie performance qui se remarque même si Control ne retombe pas dans l'utilisation du ralenti que ses grands frères ont tant pratiqué. Ici tout est pensé pour que les combats conservent un rythme effréné qui ne ralentit qu'une fois tous les ennemis passés ad patres. La bonne nouvelle pour les possesseurs de PS4 et Xbox One, c'est que le moteur physique est bel et bien intégré à leur version, et que le rendu n'en est pas moins impressionnant. Cela se fait au prix du framerate, limité à 30 images par seconde, mais globalement fluide, sauf cas particulier à priori. Il faudra en revanche s'habituer à l'excès de motion blur, comme dans Quantum Break.

Ce qui manque aux versions consoles et aux PC équipés d'un carte AMD, c'est l'implémentation du ray tracing, dont seules les cartes Nvidia de la gamme RTX profitent pour le moment. Le jeu étant partenaire, vous imaginez bien que Remedy a fait de son mieux pour incorporer tout ce que la technologie autorise. Pour beaucoup de joueurs, il ne s'agira que de petits détails dont ils pourront très certainement se passer, mais ce sont justement ces détails qui, avec le progrès du hardware, rendent les jeux actuels de plus en plus réalistes. Ce n'est pas pour rien que les futures consoles ne passeront pas à côté, même s'il reste encore à voir comment le RTX pourra être intégré. Vous n'êtes en effet pas sans savoir que cette technologie s'avère très coûteuse en termes de performances (et de prix - il suffit de voir le catalogue Nvidia). Control met donc en avant le maximum d'effets, avec une gestion des reflets sur toutes les surfaces vitrées (plus ou moins visibles, comme en réalité) ainsi que sur le sol ou les murs (y compris quand ceux-ci sont plus opaques, avec un rendu distinct évidemment). Le résultat est assez bluffant, dans l'ensemble en particulier sur les fenêtres, et l'on se prend parfois à sursauter à cause de son reflet en pensant qu'il s'agit d'un ennemi (qui se reflètent eux aussi). On remarque aussi l'utilisation de l'illumination indirecte, quand une source de lumière rebondit sur une surface, la lumière étant réfléchie. Les contact shadows ajoutent également une bonne touche de réalisme au rendu, en améliorant la précision des shadow maps, même si c'est sans doute plus subtile. Chacune de ces options peut être activée indépendamment, ce qui est une excellente surprise, car le jeu ne se contente pas de proposer des réglages prédéfinis (moyen ou élevé, présents néanmoins). Enfin, le DLSS assure une amélioration des performances pour les machines qui ne peuvent pas se permettre d'utiliser le MSAA (2x ou 4x). Tout cela est bien joli, mais quel véritable impact sur les performances ? Eh bien, si l'on est loin des début laborieux du RTX sur Battlefield 5, il ne faudra pas vous attendre à pouvoir vous passer de DLSS pour profiter de tous les effets du ray tracing. À titre informatif, Nvidia conseille d'opter pour une résolution de 1440p et un rendu 960p pour garantir un framerate stable avec une 2080 Ti. Dans les faits, jouer en 4K avec un rendu 1080p permet de profiter d'une expérience au dessus des 50 images par seconde, avec un bon 60 les 3/4 du temps. Sans RTX, le 1440p est déjà plus à portée de bourse, mais pour la 4K, n'espérez pas décrocher la lune, un cap à 30 fps via Riva Tuner (il n'en existe pas dans les options du jeu) est préférable (même si le résultat n'est pas irréprochable).

Verdict


Si les nombreux extraits diffusés depuis quelques mois ont pu amener certains à douter des compétences de Remedy, soyez assurés que Control procure un indéniable plaisir à jouer. Plus nerveux et rapide que Quantum Break, moins cinématographique aussi, le dernier né du studio finlandais démontre encore une fois tout son talent quand il s'agit de créer un univers autour d'une idée de gameplay. On retrouve également tout le mystère qui entoure la plupart des intrigues de leurs jeux passés, les heures défilant sans que l'on n'y comprenne grand chose pendant un bon moment. Tout n'est cependant pas parfait dans le meilleur des mondes, qu'il soit astral ou réel, le jeu étant pour le moins ambitieux techniquement. Les interactions avec le décor sont nombreuses, les combats bourrés d'effets dans tous les sens, et la version PC se targue en plus d'y ajouter du ray tracing histoire de mettre les meilleures machines à genoux. On entend déjà les PCistes un peu naïfs se plaindre de ne pouvoir y jouer en 4K (ou même 1440p) en poussant toutes les options au maximum... Peut-être plus ennuyeux sur le moyen-long terme, il est dommage que Remedy n'ait pas diversifié un peu plus les pouvoirs de Jesse, ainsi que les manières d'appréhender les adversaires. La bonne nouvelle en revanche, c'est que l'on n'a jamais l'impression de jouer à un Quantum Break recyclé, quand bien même l'esthétique des deux titres reste proche. Un très bon titre de plus à mettre à l'actif du studio, qui ouvre le bal des sorties de fin d'année, qui promettent de nous tenir largement occupés jusqu'au fêtes de fin d'année. Pas de panique cependant, vous le savez, sur Gamersyde, tout est sous Control.
  • Les plus
  • Un gameplay nerveux et jouissif
  • Moteur physique impressionnant
  • Bruitages percutants
  • De jolis jeux de lumière
  • Les missions secondaires plutôt réussies...
  • Un scénario alambiqué comme on les aime
  • Univers intriguant à souhait
  • Compatible RTX (PC) pour plus de réalisme visuel
  • Les moins
  • Très gourmand avec le RTX
  • Cutscenes et modélisation des visages inégales
  • Esthétiquement un peu terne
  • On aurait aimé une plus grande variété d'attaques
  • ... mais des missions aléatoires redondantes
  • Chargements longs sur consoles

On parle du RTX de Nvidia dans Control

foxty
foxty
Commentaire du 26/08/2019 à 18:32:09
Merci pour le test. Des news ou des projets pour la version PS4/PS4 pro....?
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 26/08/2019 à 18:44:44
Malheureusement pas chez nous.
En réponse à
XRacer
XRacer
Commentaire du 26/08/2019 à 19:58:34
J'hésite... J’aimais beaucoup cette notion de "metroidvania", et ça a l’air assez timide à ce niveau. L'idée de retrouver ce genre avec un univers Remedy me bottait grave avec la vue TPS et les graphismes AAA, + les pouvoirs. En poussant bien l'aspect metroidvania, avec de 2,3 idées fraîches, je trouvais que y avait un potentiel important. Et là, j’ai l'impression que c'est un bon TPS mais assez classique. Je me trompe peut-être.

Le jeu me tente quand même mais bon..
En réponse à
MadPchhit
MadPchhit
Commentaire du 26/08/2019 à 20:03:44
On note quand même que Remedy est un des rares studios à avoir proposer deux nouvelles licences AAA sur cette gen. Un studio sur qui on peut  définitivement compter.
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 26/08/2019 à 20:04:36 En réponse à XRacer
Ce n'est pas vraiment un Metroidvania dans le sens où peu de zones nécessitent vraiment d'y revenir parce que tu as débloqué une capacité, la plupart étant soit offensives soit défensives. Ça n'en reste pas moins un très bon jeu au gameplay bien abouti.
En réponse à
XRacer
XRacer
Commentaire du 26/08/2019 à 23:02:02
Jeu acheté !  J'ai aimé et fait tout les jeux Remedy. 
Allez hop ! On va tâter du RTX.
En réponse à
Kayjiro
Kayjiro
Commentaire du 27/08/2019 à 10:09:22
Un grand merci pour les vidéos !
C'est quoi comme résolution sur la X ?
En réponse à
eskyves - n comme noob
eskyves
Commentaire du 27/08/2019 à 11:29:42
Une nouvelle fois merci pour ce test qui m'a permis de passer à la caisse ! : )
En réponse à
GTB - Acapello
GTB
Commentaire du 27/08/2019 à 12:08:27
Bon, j'ai pas encore eut le temps de me plonger dans tout ce contenu...mais superbe couverture du jeu! Bravo la team :).
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 27/08/2019 à 12:11:56 En réponse à Kayjiro
Aucune idée. 
En réponse à
Kayjiro
Kayjiro
Commentaire du 27/08/2019 à 16:21:02 En réponse à Driftwood
Posté par Driftwood
Aucune idée. 
J'ai essayé de trouver l'information, mais impossible de savoir...

Enfin bon, de ce que je vois sur les vidéos, c'est vraiment propre.
Merci pour la review Drift !  
En réponse à
bof
bof
Commentaire du 27/08/2019 à 16:41:56
Posté par MadPchhit
On note quand même que Remedy est un des rares studios à avoir proposer deux nouvelles licences AAA sur cette gen. Un studio sur qui on peut  définitivement compter.
On peut même être contents qu'ils aient sorti deux jeux "tout court" sur cette gen. Sur la précédente, qui a pourtant duré huit ans, il n'y a eu qu'Alan Wake (mais quel jeu). Bon, avec aussi le petit spin-off American Nightmare.

Je n'ai lu que la conclusion du test, mais ça fait envie. Manifestement, on retrouve bel et bien la patte unique du studio.
En réponse à
3333
3333
Commentaire du 28/08/2019 à 21:38:28
Vraiment bien sympa ce petit Control. 

Je peux l'avouer maintenant, à l'époque je n'étais pas spécialement fan de Remedy (j'ai même détesté Alan Wake pour tout vous dire, alors que tout le monde semblait s'extasier. Puis j'ai quand même acheté Quantum Break, seulement j'ai jamais trouvé le temps de le faire).
Mais leur dernier jeu, Control, est bien captivant comme il faut. L'intrigue est plutôt accrocheuse, la réalisation, de haut niveau, et du côté style artistique j'adhère aussi.

Bref pour l'instant je regrette pas du tout mon achat. Alors que j'étais un peu hésitant au début.
En réponse à
Dazman - Stade Falloir
Dazman
Commentaire du 29/08/2019 à 01:55:45
Moi j'adore ce Control. C'est fun, superbe, bon gameplay et scénario qui tient en haleine. 
En réponse à
Piteur_Parcoeur
Piteur_Parcoeur
Commentaire du 29/08/2019 à 06:40:54 En réponse à Kayjiro
1440p à 30fps

La mouture ps4 pro est souvent à 25

Les version One S et Ps4 tombent très souvent à 15fps

Source : digital foundry
En réponse à
3333
3333
Commentaire du 31/08/2019 à 14:31:17
Bon ben Control est bien parti pour être mon GOTY perso. Remedy a vraiment géré. Y'a que la syncro labiale en VF ainsi que la map trompeuse qu'on  peut attaquer, si on veut vraiment chipoter. Le reste c'est d'une maîtrise quasi totale. GG à eux.
En réponse à
SweeneyTodd - Undercover Modocop
SweeneyTodd
Commentaire du 31/10/2022 à 22:52:17
Il n'est jamais trop tard pour commenter une news, si ?

Je viens de finir le jeu sur Stadia (une sorte d'adieu au service on va dire). Je rejoins totalement cette review, c'est dommage que la mise en scène (les cutscenes) soit un peu en retrait mais l'ambiance, le gameplay et le moteur du jeu sont vraiment très réussis. Et même si le gameplay est effectivement un peu redondant, je trouve que le moteur physique contribue bien à varier les plaisirs, c'est un vrai feu d'artifice. C'est sur les derniers instants qu'on sent le manque de variété je trouve, lorsqu'on enchaîne les combats de manière un peu trop frénétique. En tout cas l'expérience valait le détour !

La réédition sur PS5/SX ou la version PC doivent être vraiment magnifiques en tout cas.
En réponse à
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