Il aura fallu quatorze ans de patience aux joueurs PC pour enfin avoir le droit au tout premier Red Dead Redemption, mais l'attente est désormais terminée. Ce portage tardif arrive avec quelques ajouts propres au PC, avec une résolution 4K native jusqu’à 144 Hz, la possibilité d’utiliser des écrans ultra-larges (21:9) et super ultra-larges (32:9), l’HDR10, la mise à l’échelle du DLSS 3.7 de NVIDIA et du FSR 3.0 d’AMD, la génération d’images DLSS de NVIDIA, des paramètres graphiques divers totalement réglables (niveau de détail de la géométrie, du terrain, des arbres, de l'herbe, distance d'affichage des arbres), et évidemment une prise en charge complète du clavier et de la souris. Le jeu est de plus parfaitement jouable sur le Steam Deck, à 60 fps ou plus en faisant quelques concessions sur les réglages graphiques, mais aussi à 40 fps en Ultra avec le soutien du FSR en mode Qualité. On vous propose une petite virée à cheval pour profiter du paysage en très haute qualité, car si le jeu montre bien quelques rides au niveau des éclairages, il reste encore impressionnant pour son âge. Le Tom Cruise du jeu vidéo en somme !
Tous les commentaires (11)
J’admets qu’un remake avec le moteur du 2 j’aurais signé tout de suite.
Dans une partie de RDR, tu reprenais dans une minuscule vide, visuellement identique ou si peu à toutes celles du début et peu importe que tu sois maintenant au Mexique et tu partais vers des objectifs sur la carte, en chemin, souvent du désert, tu repérait de loin des plantes et quelques petits animaux à chasser et comme il te fallait collecter des ingrédients ou des objets pour fabriquer voir amasser des peaux de bêtes (rares) pour gagner aussi de l'argent, tu éteignais souvent la console en ayant voulu avancé dans l'histoire mais en ayant été complétement détourné par la chasse, la collecte de plante et le marchandage dans une boutique.
L'histoire de RDR est beaucoup plus banal et propre à nombre de western, que celle de RDR2 ou on va croiser et se mettre à dos tout le pays et pas que des shérifs. RDR, c'est juste l'histoire, d'un cowboy qui à une femme et un gosse mais qui n'arrive pas à se consacrer à eux, à cause de son passé et d'ancien associer qui refont surface, le héros veut régler l'affaire et retourner chez-lui, on est loin des enjeux de sa suite. Les péripéties de l'histoire de RDR servent juste à traverser les States et le Mexique mais encore un fois, quand tu es change de pays, la différence visuelle et en terme de gameplay est minimaliste, tu continues à parcourir à cheval essentiellement de vaste zone déserte et croiser de minuscule ville, "toutes identiques".
Si il fallait encore donner un exemple de ce qui diffère entre les deux jeux, c'est vraiment que sur 20/25 heures de jeux et sans atteindre la fin, on passe beaucoup plus de temps sur RDR à être occuper à se faire de l'argent, des remèdes et mieux s'équiper en chassant, explorant le désert et collecter mille plantes. Là ou l'essentiel des à côté du second jeu sont de tombé sur des événements aléatoires. Il existe aussi dans RDR mais sont moins nombreux et plus simplet.
Ceux qui regrettent dans la suite d'être dans une histoire ou on passe son temps à rejoindre des personnes de la bande et pas qu'on nous laisse parcourir le monde et vivre des aventures, peuvent vraiment préférer le premier. Paradoxalement et de manière contradictoire, on vie dans RDR, une histoire d'un homme qui malgré lui est emporté loin de sa famille à cause des événements alors que dans le second, on incarne l'un des principale personnages d'une célèbre bande qui vie justement pour vivre des choses fortes et d'ampleur. Ca change quelque chose, parce que l'histoire de RDR est plus celle d'un homme qui veut juste régler une affaire pour retourner dans sa ferme avec sa femme et son jeune fils alors que dans RDR2, on vie une histoire exceptionnelle, d'être dont c'est le quotidien de faire parler d'eux et de vivre, vouloir vivre de grand événements.
En 95, il y avait pas des éditions collectors hors de prix ou alors c'était très rare.